Savoir exploiter la rétroaction
Comment se fait-il qu’on réussisse toujours ce roulé de six pieds après l’avoir raté une première fois? Le plus frustrant, c’est quand on répète toujours la même erreur, comme celle de frapper tous ses coups de départ loin vers la droite, durant une partie, sans être capable de corriger le tir.
Bien que les deux exemples soient très courants, le premier illustre l’effet d’apprentissage – l’avantage de savoir exactement ce qu’on doit faire autrement pour obtenir un bon résultat. Le deuxième exemple, lui, démontre ce qui peut arriver quand on ne comprend pas pourquoi on a obtenu ce résultat.
La capacité de redresser la barre rapidement est l’attribut des grands joueurs. Mais tout comme celle de frapper la balle avec constance, au centre de la face du bâton, c’est une habileté que tout golfeur peut acquérir. Il s’agit de bien saisir comment la rétroaction de chaque coup influence la performance. Voici comment :
- Demandez à votre pro ou entraîneur de vous expliquer pourquoi la balle s’envole comme elle le fait. En général, elle décolle dans la direction où pointe la face du bâton au contact. La courbure (crochet gauche ou droit) résulte de la différence entre l’orientation de la face et le sens de la trajectoire du bâton à l’impact.
- Avec son aide, apprenez comment vos mouvements influencent votre façon d’amener la tête du bâton à frapper la balle. C’est le plus important.
- Votre coach vous montrera comment déceler les erreurs. Quels indices vous donnent l’impact et l’envol de la balle sur la cause du problème?
- Apprenez ensuite comment vous corriger. En vous fondant sur ce que vous avez appris à l’étape 3 et sur votre connaissance, acquise à l’étape 2, de l’envol de balle et de votre élan, qu’est-ce que vous devriez faire différemment?
En développant votre capacité de détecter – et de corriger – vos erreurs de performance, vous êtes mieux équipé pour réussir et éviter d’être frustré.
Il faudrait un miracle pour Hugo!
Même une carte aussi spectaculaire que 63 comme il a si bien fait à la première étape au Nevada le mois passé ne suffira pas cette fois à Hugo Bernard pour atteindre la finale de la série web.com.
Hugo a joué 70 jeudi à Plantation, en Floride, pour son meilleur pointage de la semaine.
Mais il semble être trop peu trop tard. En vertu de ses cartes de 74 et 75 en première moitié, le gaucher d’Équipe Canada se retrouve à plus six pour la durée.
Puisque seuls les vingt premiers pourront progresser et que le chiffre magique se situe à moins six avec une seule ronde à faire, c’est un défit considérable de douze coups qui lui faudra combler vendredi.
Bref, il faudrait le miracle ou… presque.
L’Ontarien Matt Hill a joué 72 jeudi et a également beaucoup de besogne devant lui avec un combiné égal à la normale.
Hugo dans le gros embarras
Tout se complique très sérieusement pour Hugo Bernard après la deuxième des trois étapes de qualification de la série web.com disputée à Plantation, en Floride.
Il a enregistré mercredi une deuxième carte de 75. Le gaucher d’Équipe Canada a commis deux doubles bogueys au premier neuf ce qui n’aide en rien.
Ce pointage s’ajoute à son 74 de la veille qui le plaçait déjà dans l’embarras.
Énormément de travail attend le principal intéressé en deuxième moitié.
En vertu de son combiné de plus sept, il accuse un retard un retard de dix coups le séparant de la 20e place ou mieux qui vaudra vendredi un ticket pour la finale en Arizona au mois décembre.
Mentionnons qu’il avait scellé avec 63 au Nevada à la phase initiale le mois passé.
L’Américain Steve Ihm (67 deux fois) est le meneur à -8 et Matt Hill (72 et 69) est à moins un.
Claude Brousseau à Golf Channel, Mike Weir au panthéon, Luc Richard à la retraite et plus
Les nouvelles sont nombreuses à propos de Claude Brousseau, pro-enseignant québécois du Québec qui même une carrière enviable à Hawaii.
Cette semaine, il est à Golf Channel.
Il est membre de du personnel d’enseignants du diffuseur. De fait, son académie est associée à Golf Channel.
Or, les gens de la télé l’ont invité deux jours à l’écran (mercredi et jeudi) à refiler ses conseils sur les bons mouvements au jeu. Il participe à l’émission du matin «Morning Drive» comme le titre le dit.
«Nous ne devons pas être nombreux les Québécois reçus en direct sur ce plateau?», demande-t-il.
Les Abitibiens non plus, Claude étant natif de cette région très productive côté technique avancée du golf tout comme Mary Lee Cobick et Denise Lavigne.
Chose certaine, le gagnant du prix d’enseignant de l’Aloha PGA l’an dernier est apprécié à Golf Channel. Cette invitation s’avérait sa deuxième après mai 2016.
On vous revient avec d’autres nouvelles dans la vie de Claude Brousseau au quotidien qui va très bien à Hawaii. À bientôt.
LE MÉMORIAL DEVRA REMPLACER SON PRO DE QUALITÉ
Le club Mémorial perd un bon homme et une bonne personne suite à la décision de Luc Richard de prendre sa retraite après presque trente ans (1989 à 2017) dans le rôle de professionnel.
On est fidèle à Shawinigan, l’alma mater de René Noël et Jocelyne Bourassa bien sûr et oui, moi aussi.
Dans l’histoire du Memorial, il n’y a eu que trois pros en ajoutant Gilles Bourassa (1964 à 1978) et Gilles Yergeau (1979 à 1988).
Sage et généreux tuteur de plusieurs générations de jeunes, Monsieur Bourassa était auparavant en poste au site de neuf trous d’Almaville entre 1960 et 1964.
Luc Richard était efficace et dévoué envers la famille Buisson (proprio) et à son sport. Il avait occupé diverses fonctions parallèles à celles de pro, dont celle aux opérations du club, notamment à la supervision du terrain.
Le nouveau retraité a fait tout son golf au Mémorial, cela à partir des rangs juniors. Il est une figure populaire à Shawi et l’ensemble du golf en Mauricie. Les amis lui ont d’ailleurs organisé une fête pour souligner toutes ses années au Mémorial, où il demeurera associé à titre d’ambassadeur.
BERNARD VAILLANCOURT REPREND DU SERVICE
On peut sortir un homme du golf, mais jamais le golf d’un homme avec le résultat que Bernard Vaillancourt reprend du service.
André Rousseau m’apprend qu’après un passage dans le milieu de l’automobile, Bernard accepte la direction générale du club l’Épiphanie.
Ex-président de l’Association du Québec, le «revenant» avait auparavant été à la barre des clubs Le Blainvillier, Saint-Raphaël, La Vallée du Richelieu et le Cerf qui sont des opérations de 36 trous.
QUI A ÉTÉ ÉLU ET NE L’A PAS ÉTÉ…
Nos félicitations à Bertrand Collin, l’efficace d.g du club Vieux Lennox appartenant à l’Université Bishop, qui a remporté ses élections et est devenu échevin à Sherbrooke.
Toujours à Sherbrooke, Danièle Berthold a conservé son poste de conseillère. Elle a été longtemps dirigeante de l’Association de golf des Cantons.
Ex-proprio du club Rivera, Bruno Harvey a terminé 3e à la maire de Saint-Bruno.
MIKE WEIR AU PANTHÉON
Au calendrier des activités de la semaine, Mike Weir est intronisé jeudi au Panthéon du sport canadien un an après Jocelyne Bourassa.
Le champion du Tournoi des maîtres de 2003 y fait son entrée en grande compagnie avec Cindy Klassen, Lanny McDonald et Simon Wittfield pour ne nommer que ceux-ci.
ROYAL QUÉBEC DANS LA FLOTTE
Même si les activités ont cessé, oubliez les vacances pour Michel Tardif, surintendant du Royal Québec, lequel doit composer avec une situation plutôt particulière en novembre.
Les pluies torrentielles la semaine dernière ont provoqué le débordement de la rivière et donc provoqué des inondations à quelques endroits, m’annonce l’ex-directeur général Marc Grenier.
La nouvelle encourageante est que le RQ aura le temps d’évacuer le trop plein d’eau avant le golf. Le contraire aurait causé bien des ennuis avec le gel au retour au printemps.
LA PREMIÈRE ÉTOILE VA À JOEY
Joey Savoie mérite l’honneur haut la main pour sa double victoire de la fin de semaine passée à la Coupe Tailhade, à Buenos Aires, avec des cartes de 68 et 66 en deuxième moitié afin d’aider le Canada à remporter le titre en équipe pour la troisième fois en quatre ans.
Joey est resté en Argentine pour un autre tournoi. Il était d’ailleurs encore parmi les meneurs au moment de terminer ces lignes.
Bonne semaine.
Hugo déjà en mode rattrapage
Hugo Bernard a entrepris, mardi, à Plantation, en Floride, la deuxième des trois étapes de la série web.com en enregistrant des oiselets sur les premier et dernier trous.
Tout s’est toutefois compliqué par la suite pour le porte-couleurs d’Équipe-Canada.
Quatre bogueys et un double boguey contre un seul autre oiselet lors des seize autres trous ont obligé le gaucher du Mont Saint-Hilaire à se contenter d’une carte de 74, trois au-delà de la normale.
Le Floridien Ben Polland est le meneur en vertu de son scintillant 64.
La PGA a annoncé que les 20 premiers au classement final obtiendront leur ticket en prévision de la finale en Arizona au début décembre.
Hugo se situe 59e après la première des quatre journées à cinq coups du rang de passage pour le moment. Il lui reste trois jours pour combler le déficit.
Au Nevada en octobre, il avait scellé avec un spectaculaire 63 pour avancer à la phase suivante.
Aussi chez les Canadiens, Matt Hill a joué 72.
Mobilité maximale
La mobilité des chevilles est essentielle à la production de puissance à l’élan, en particulier la dorsiflexion, c’est-à-dire la flexion du pied vers le haut. Au cours de l’élan descendant, la cheville plie de plus en plus jusqu’à atteindre son degré maximum de dorsiflexion, juste avant le contact avec la balle. Plus grande est votre capacité de dorsiflexion, plus vous pouvez exercer de force musculaire sur le sol et ainsi provoquer une force de réaction. C’est cette réaction qui vous permet de générer un maximum de puissance à partir des muscles fessiers et de la jambe. Voilà ce qui donne toute sa vitesse au bâton, donc sa distance à la balle.
Mais là ne s’arrête pas l’effort exigé de la cheville, cependant. On veut en effet que celle-ci reste stable et ne s’affaisse pas durant l’élan descendant, provoquant ce qu’on appelle une pronation. Le muscle tibial postérieur (A) est ici le principal stabilisateur. Il est donc important que ce muscle soit à la fois puissant et souple.
Il faut aussi tenir compte du fait qu’un manque de mobilité des chevilles – ou une asymétrie à ce niveau – entraîne des problèmes d’élan, comme un relâchement hâtif de la posture à l’élan descendant, ce qui se traduit souvent par de mauvais tics sur le parcours, tel l’effleurement du sommet de la balle ou le balayage exagéré du bâton.
Pratiquez ces exercices pendant au moins trois semaines et vous verrez la capacité de compression de vos chevilles augmenter et vos balles voler plus loin.
Massage des mollets
C’est très simple : servez-vous de la tige d’un fer pour vous masser les mollets, à l’arrière de vos jambes. Massez chaque côté pendant trois minutes avant de monter sur le tertre.

Force des chevilles
Passez une solide bande élastique sous votre pied, en la retenant des deux mains à l’autre extrémité. Au compte de deux, poussez l’avant du pied vers le bas, à partir de la cheville, et maintenez la pression une seconde avant de revenir en position initiale pour trois secondes. Recommencez aussi souvent que possible.

Cet article a été publié dans l’édition septembre 2017 du magazine Golf Canada. Pour lire l’article dans le format original, cliquez sur l’image.
Première étoile à Joey Savoie dans un tour du chapeau canadien à l’international
Parlez-moi d’un début fulgurant pour Joey Savoie. À son premier tournoi à titre de membre officiel d’Équipe Canada n’y ayant été nommé que le mois passé, il a mené la formation canadienne à la victoire à la Coupe Tailhade à Buenos Aires, en Argentine.
BILLET MARIO BRISEBOIS, GOLF CANADA
Joey a connu une fin de semaine de rêve. Le porte-couleur du club Pinegrove a gardé le meilleur pour la deuxième moitié inscrivant des comptes de 68 samedi et 66 dimanche sur le parcours Los Lagartos les deux plus bas chaque jour, après 69 et 73 en ouverture.
Cette Coupe internationale en est une avant tout en équipe pour douze pays, tous d’Amérique du Sud et… du Canada, ce qui n’empêche pas d’avoir un classement individuel que Joey a coiffé avec sa fiche de -8 et une priorité de deux coups.
Son coéquipier Josh Whalen, de Napanee, en Ontario, a très bien fait également avec ses pointages de 73-69, 70 et 68 pour -4.
Compte tenu d’un tel brio, le Canada a donc continué de dominer la Coupe Tailhade. Ce succès est celui du tour chapeau. Cette réussite canadienne s’avère la troisième en quatre ans.
De fait, la paire unifoliée a littéralement survolé la compétition. Son total de -12 procure une marge quand même ronflante de seize coups devant le Brésil.
BIENTÔT AU TOP CENT MONDIAL
C’est de Plantation, en Floride, où il encadre Hugo Bernard comme entraîneur et cadet cette semaine à la deuxième des trois étapes de qualification du circuit web.com qui commence mardi, que Daniel Langevin a commenté le succès de Joey Savoie, aussi son élève.
«Je ne suis aucunement surpris de la performance. En plus de posséder l’éthique de travail, Joey est un solide compétiteur, a-t-il mentionné.
La promotion à Équipe Canada s’imposait, selon son opinion.
«Même s’il y en aura pour dire que je biaisé étant son entraîneur, voilà deux ans que Joey y méritait sa place. Ses études achèvent et on le verra l’an prochain parmi les 80 premiers au monde», de poursuivre Langevin.
DES AIRS DE FAMILLE
Si Joey Savoie a été plus obscur sur la scène québécoise ces derniers mois et qu’il n’a d’ailleurs pas défendu son titre de champion amateur du Québec, c’est qu’il est retourné à l’été à son université Middle Tennesse, où son habileté au golf lui a valu une bourse, afin de compléter ses études en décembre et dès lors pour se concentrer entièrement au golf.
Aussi ex-titulaire de la province chez les juniors et les juvéniles de même que du championnat NCAA, division II, avec Hugo Bernard à St.Leo l’an dernier, Joey a de qui tenir.
Ancien champion de la PGA du Canada et multiple lauréat à celle du Québec, Jean-Louis Lamarre est son oncle. Iannick Lamarre, ex-champion junior devenu pro, est son cousin.
Il ne faut pas oublier le grand-père Jean-Guy Lamarre, un ami du golf. Il a passé la journée au téléphone et sur les sites internet pour suivre le petit fils.
Tiens. Félicitations donc au papi aussi!
Beau Hossler et J.J. Spaun à égalité en tête après trois rondes
LAS VEGAS – Beau Hossler et J.J. Spaun se partagent le premier rang à l’issue du troisième parcours de l’Omnium Shriners Hospitals for Children disputé par une autre journée venteuse, samedi, sur le terrain du TPC Summerlin.
Hossler a inscrit des oiselets aux 15e et 18e trous pour une ronde de 66, cinq coups sous la normale.
Spaun, qui occupait seul le sommet du classement après la conclusion de la deuxième ronde samedi matin, a commis un bogue au 17e trou et a eu besoin de sauver la normale au 18e, pour une carte de 73.
Hossler et Spaun affichent un score cumulatif de 204, neuf coups sous la normale, trois coups devant Tony Finau (69).
Tom Hoge (67), Gary Woodland (68), Chesson Hadley (69) et Patrick Cantlay (70) accusent tous quatre coups de retard.
Le meilleur canadien est Nick Taylor, avec un dossier global de plus-1 après une ronde de 74 samedi.
Corey Conners (74) présente une fiche de plus-2 et Ben Silverman (76), de plus-5.
J.J. Spaun joue une ronde de 65 et prend les commandes à Las Vegas
LAS VEGAS – J.J. Spaun a joué une ronde de 65 (moins-6), vendredi au TPC Summerlin, et il était aux commandes de l’Omnium Shriners Hospitals for Children quand le jeu a été interrompu en raison de la noirceur.
Après avoir commis un boguey au troisième trou, il a rebondi avec deux oiselets consécutifs. Il a terminé sa journée avec un autre oiselet au neuvième trou pour passer à moins-11.
Kelly Kraft occupait le deuxième rang à moins-8 avec trois trous
à compléter à sa deuxième ronde. Il a réussi un trou d’un coup au cinquième trou, une normale-3 de 174 verges.
Robert Garrigus suivait à moins-7 après une ronde de 65.
Whee Kim, meneur après la première ronde, a inscrit un score de 72 pour glisser à moins-5.
Nick Taylor, d’Abbotsford, en Colombie-Britannique, et Corey Conners, de Listowel, en Ontario, ont remis des cartes de 71. Taylor se retrouve à moins-2 après 36 trous, tandis que Conners fait partie du groupe suivant à moins-1. Ben Silverman, de Thornhill, en Ontario, était aussi à moins-1 avec quatre trous à jouer. David Hearn, de Brantford, en Ontario, a bouclé sa ronde en 73 coups pour s’installer à plus-2.
Comment façonner vos coups
Quand j’analyse un élan de golf, j’ai plusieurs objectifs en tête. Il importe d’aider à créer le coup souhaité, certes, mais il faut aussi laisser assez de marge de variabilité pour produire divers coups sur demande. Je vais souvent suggérer un ajustement de la prise de position, plutôt qu’une modification de la mécanique d’élan de l’athlète. C’est plus facile à gérer (tant que le confort n’est pas prioritaire) et les résultats sont presque immédiats.
Concentrons-nous sur deux paramètres qui altèrent beaucoup l’impact et l’envol de balle : l’alignement des épaules et la position de la balle.
Les athlètes performants, telle l’olympienne Alena Sharp, membre d’Équipe Canada aux Jeux de Rio en 2016, savent comment ajuster ces positions pour obtenir le résultat visé. Elle illustre ici deux prises de position différentes qui façonnent les coups différemment.

Crochet gauche
Les épaules s’alignent sur la droite de la cible, la balle est plus près du centre de la posture. Ceci oriente la trajectoire du bâton pour un impact sur la droite de la face et favorise un envol de droite à gauche.
Crochet droit
Les épaules s’alignent sur la gauche de la cible, la balle est plus près du pied d’attaque. Ceci oriente la trajectoire du bâton pour un impact sur la gauche de la face et favorise un envol de gauche à droite.
Au début, ces positions peuvent être inconfortables et l’impact sera moins constant. Mais persévérez et essayez les deux. Vous pourriez en avoir besoin pour réussir certains coups sur le parcours.
Cet article a été publié dans l’édition septembre 2017 du magazine Golf Canada. Pour lire l’article dans le format original, cliquez sur l’image.
