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Le Royal Québec n’a pas de secrets pour le nouveau Lieutenant-gouverneur

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J. Michel Doyon (Canadian Press)

Comprenez bien que cette chronique n’en est pas une politique, mais si jamais il vous arrive de rencontrer J. Michel Doyon, entré en fonction ces derniers jours dans le rôle de nouveau Lieutenant-gouverneur du Québec pour un mandat de cinq ans, n’hésitez pas à lui parler de… golf.

Avocat émérite nommé pas une mais deux fois bâtonnier du Québec, professeur accompli, détenteur d’un doctorat en histoire, il est également auteur au golf.

On doit à J. Michel Doyon la recherche et la rédaction du livre très bien fait sur le Royal Québec publié en 1999 à l’occasion des fêtes du 125e anniversaire et réédité en 2005 avec ajouts en version anglaise.

Après tout, le Royal Québec n’est-il pas le seul club francophone avec appellation «Royal» incluant le sceau et le reste comme homologation officielle sur les six au pays.

Parler d’un travail de très grande référence sur l’histoire du golf à Québec, au Canada et ailleurs est juste avec la fondation du Royal Québec en 1874 en faisant le deuxième plus ancien club en Amérique après le Royal Montréal lancé un an plus tôt.

«Monsieur Doyon a effectué un travail de haut niveau de qualité et absolument inlassable afin de retrouver et rassembler les archives. Il a dû beaucoup fouiller dans les bibliothèques. La tâche était d’autant plus ardue qu’une partie de la documentation du club était disparu en 1929 lorsque le pavillon a été rasé par un incendie», rappelle Marc Grenier, directeur général du Royal Québec pendant presque deux décennies avant sa retraite.

Il faut préciser que J. Michel Doyon possédait un vaste champ de connaissances de son sujet.

«Bon golfeur (moins de 10 de marge d’erreur), Monsieur Doyon possèdent des liens étroits avec le Royal, lesquels remontent à ses années comme membre chez les juniors», poursuit Grenier.

En plus du livre, l’historien-auteur a fait davantage.

«Toutes les photocopies ont été plastifiées et rangées dans des cartables pour devenir la mémoire du Royal pour toujours. La passion du golf de Monsieur Doyon est aussi à l’origine des rencontres biennales des clubs «Royal» au Canada après qu’il soit allée au 250e anniversaire de St. Andrews à l’occasion du 250e pour tout initier en défrayant ses dépenses comme cela a été le cas avec le bouquin, ce qui ajoute à son mérite», de terminer Marc Grenier.

NANCY LAYTON… DANS LES HONNEURS

La preuve que cette chronique n’est pas de teneur politique, laissez-nous vous apprendre que Nancy Layton est la championne du club Dufferin Heights, dans l’Estrie.

Elle est la sœur de Jack, ex-chef du NPD, en compagnie de qui elle a fait campagne avant le décès de celui-ci.

Nancy est une ancienne titulaire du Québec chez les séniors.

 

 

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«Le golf doit se sortir de la foutaise au plus vite» – Greg Norman

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Greg Norman (Dimitrios Kambouris/ Getty Images)

Un ténor parmi ceux qui croient qu’il y a urgence que golf se prenne bien en mains, Greg Norman est toujours aussi en voix sur le sujet.

« On doit vraiment se mettre ensemble pour se sortir de cette foutaise au plus vite!», passe-t-il comme message à l’ensemble dans une entrevue accordée à Patrick Durkin, de l’Australian Financial Review.

Vrai que le «Grand Requin Blanc» ne sort pas pour la première fois ses crocs envers son sport.

Force est d’admettre qu’il a des raisons tout à fait légitimes et financières que l’industrie fonctionne avec ses 235 millions de dollars en gains au jeu et en affaires durant sa carrière et un récent redressement d’une des compagnies qui vaut 100 millions.

Norman identifie la réalité comme un danger.

«Les «baby bombers» ne pourront pas toujours faire vivre le golf», dit-il.

Un coup de barre à 180 degrés s’impose pour éviter un grand vide démographique et essentiellement générationnel annoncé en vertu des chiffres qui ne mentent pas.

Les 14-25 ans ne peuvent définitivement pas être identifiés pour représenter l’avenir, ce groupe ne représentant que 2% de la pratique du golf en Australie où 50% des clubs comptent 100 membres ou moins.

«D’où l’importance de s’approcher des jeunes», insiste Norman sur le ralentissement planétaire.

QUOI FAIRE ET NE PAS FAIRE?

S’il croît encore au concept de 12 trous «pour la nécessité d’activer le jeu avec le temps qui manque à tout le monde, il condamne les nouveaux parcours de 7000 verges pour contrer les longs cogneurs qui coûtent beaucoup trop cher d’entretien et que dire de leur pavillon trop spacieux.

De retour dans la mode avec une nouvelle énergie et des $$$ injectés dans la ligne de vêtements, Il n’a pas changé d’avis non plus à propos du code vestimentaire.

On repassera si vous le permettez bien sûr sur son autre idée à propos des haut-parleurs dans les voiturettes motorisées. Un disc-jockey entre deux neuf avec ça peut-être?

Là où Greg Norman frappe cependant directement dans le mille, c’est lorsqu’il ressort l’exemple du ski.

«Lorsque les planches à neige sont devenues populaires, les stations ont tenté de résister autant comme autant pour interdire l’accès avec le résultat que des familles entières ont cessé de se rendre aux montagnes parce que les enfants ne voulaient plus suivre. D’où l’importance de rester à l’écoute des jeunes lorsqu’on connaît le regain qui a suivi lorsque cette industrie s’est ravisée», affirme-t-il.

UNE INVITATION À LA RÉFLEXION ICI AUSSI

Depuis le temps qu’il a la main appuyée sur le bouton d’alarme, il devient inévitable de retrouver parfois du «réchauffé» dans les propositions de celui qui fut numéro un au monde pendant 331 semaines.

Mais ce qui reste toutefois indéniablement intéressant est la période de cette autre sortie de Greg Norman. L’intervention rappelle à nos administrations qu’il serait approprié dans la situation actuelle d’ajouter dès maintenant à l’agenda en prévision de l’hiver une période de réflexion afin de trouver des pistes sur l’avenir appropriées à la réalité de chacun.

Précisons que le premier Sommet du golf québécois aura lieu le 10 décembre au Château Bromont!

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The Marshes Golf Club est prêt à accueillir le Championnat mondial junior féminin

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Peut-être l’ignorent-elles, mais les participantes au Championnat mondial junior féminin de la semaine prochaine ont plusieurs points communs avec le terrain sur lequel elles se produiront.

En effet, les golfeuses et le parcours sont à l’âge de l’adolescence, leurs feuilles de route sont impressionnantes et, comme souvent pour les ados, ils sont imprévisibles, capricieux et exigeants.

The Marshes Golf Club, situé à Kanata, en banlieue d’Ottawa, a été inauguré en 2002. Fait à signaler, c’est le dernier parcours conjointement conçu par le regretté Robert Trent Jones et son fils aîné du même nom. Autre caractéristique notoire : le parcours comprend six normales 3, six normales 4 et six normales 5.

Au fil de sa courte histoire, The Marshes a été l’hôte du Circuit canadien féminin, de cinq championnats canadiens séniors masculins ainsi que de nombreux tournois professionnels et amateurs de premier plan. Qu’il accueille des championnats de renom n’a rien d’étonnant. En effet, ses prestigieux concepteurs mis à part, le parcours est la propriété d’un homme qui sait une ou deux choses à propos de tournois majeurs. Né au pays de Galles, Sir Terry Matthews a plus tard fait fortune à Ottawa dans le secteur de la haute technologie. Passionné de golf, il a fait l’acquisition du Celtic Manor dans son pays natal en 1980 et y a construit deux parcours dont l’un fut le théâtre de la Coupe Ryder 2010.

Avec The Marshes, Matthews voulait attirer une clientèle, individus et entreprises, désireuse de vivre une expérience golfique haut de gamme. C’est pourquoi le luxueux hôtel Brookstreet surplombe le 8e tertre. Cet hôtel Quatre Diamants CAA/AAA propose un hébergement et une cuisine exceptionnels, agrémentés d’un spa, de piscines et de toutes les commodités imaginables. C’est là que séjourneront pendant la semaine du tournoi les concurrentes du Championnat mondial junior féminin.

Mais de retour au golf… Comme son nom l’indique – « marshes » signifie « marécages » –, le parcours baigne pour ainsi dire dans l’eau. En fait, l’eau joue un rôle sur chaque trou, note le professionnel attitré, Andrew Donaldson.

De plus, dit-il, chaque trou représente un défi propre. « C’est un parcours qui a des dents, mais le véritable défi, c’est de garder la balle en jeu. Si l’on respecte le parcours, il est possible de rendre une bonne carte. Si, par contre, l’on se montre trop cupide, on en paiera le prix. La distance des coups n’est pas le facteur principal. Il faut placer la balle où le trou vous dit de le faire. »

Cela est particulièrement évident sur le 2e trou, une normale 5, l’une de deux normales 5 ardues sur les six premiers trous. Contournant un lac sur toute sa longueur, il invite le golfeur à prendre bonne note de l’avertissement de Donaldson selon qui la partie risque de se jouer sur les six premiers trous.

Les trous intermédiaires ne sont pas une sinécure pour autant, mais, selon Donaldson, les trois derniers peuvent gâcher la carte de score. Au 16e, une normale 5, un plan d’eau traverse l’allée avant de serpenter jusqu’à la gauche du vert tandis que le 17e est une normale 3 bien protégée par les verts. Sur le trou de clôture, une normale 4, une fosse d’allée risque de bousiller le coup de départ et la présence d’un marécage exige un deuxième coup précis.

« Les golfeuses devront allier brio et prudence pour ne pas perdre une balle durant leur partie, dit Donaldson. Mais ce sont d’excellentes joueuses, et il devrait être excitant de voir comment elles s’y prendront pour relever le défi. »

Donaldson et sa femme ont eu un bébé juste avant le Championnat mondial junior féminin, ce qui devrait ajouter une dimension à ce tournoi disputé sur son parcours d’attache. À ses yeux, ce championnat est un « placement dans l’avenir » et il est « bénéfique pour le golf ». Il a tout à fait raison.

Outre les quatre rondes de championnat, du mardi 22 au vendredi 25 septembre, il y aura un symposium sur l’entraînement et un stage de développement le dimanche 20, sans oublier un tournoi-bénéfice junior-amateur le lundi 21. Ce championnat, en plus de mettre en scène l’élite mondiale des 18 ans et moins, vise à encourager plus de jeunes femmes à s’initier au golf.

Pour de plus amples informations sur le championnat et le parcours, veuillez visiter www.mondialjuniorfeminin.com et www.marshesgolfclub.com.

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Championnat mondial junior féminin : une célébration du golf pour les filles

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World Junior Girls Championship (Golf Canada Archive)

Vous avez des doutes sur la crédibilité du Championnat mondial junior féminin? En ce cas, pourquoi plusieurs entraîneurs haut cotés de la NCAA prendraient-ils la peine d’y assister?

« J’étais stupéfait de voir autant d’entraîneurs accrédités lors du championnat de septembre dernier », affirme Jim Clark, qui était le directeur du tournoi inaugural à l’Angus Glen Golf Club, à Markham en Ontario. « J’imagine qu’ils seront deux fois plus nombreux cette année. »

Ann Carroll, entraîneuse-chef de la formation nationale de développement d’Équipe Canada, occupera ces fonctions au The Marshes Golf Club d’Ottawa, du 20 au 25 septembre. « C’est un événement incontournable pour les entraîneurs universitaires, dit-elle, car, en réalité, le monde du golf a rendez-vous chez nous. »

Même s’il a été organisé dans des délais serrés, le tout premier Championnat mondial junior féminin a été couronné de succès. Initiative conjointe de Golf Canada et de la Golf Association of Ontario, ce tournoi pouvait alors être considéré comme un banc d’essai pour la compétition de golf des Jeux panaméricains TORONTO 2015, mais il mettait aussi en vitrine l’élite mondiale des golfeuses juniors.

En tant que pays hôte, le Canada a droit à deux équipes. En 2014, Équipe Canada 1 a pris la 3e place, derrière les États-Unis et la Suède grâce aux efforts concertés de Brooke Henderson, Grace St-Germain et Naomi Ko.

Depuis, Henderson est devenue une étoile montant du Circuit de la LPGA tandis que Ko est une étudiante de première année à l’Université North Carolina State. Seule St-Germain, d’Orléans en Ontario, sera de retour, elle qui à 17 ans est l’aînée d’Équipe Canada. Ses partenaires au sein d’Équipe Canada 1 seront Hannah Lee (Surrey, C.-B.) et la Vancouvéroise Tiffany Kong.

Âgée de 13 ans, Euna Han (Coquitlam, C.-B.) est la cadette des Canadiennes. Elle fera partie d’Équipe Canada 2 avec Alisha Lau et Kathrine Chan, toutes deux de Richmond, en Colombie-Britannique.

« Ces six athlètes ont obtenu des résultats remarquables cette saison », a déclaré Jeff Thompson, directeur en chef du sport à Golf Canada. « Dans l’ensemble, les golfeuses juniors canadiennes ont offert des performances très solides cette année, ce qui a compliqué le processus de sélection et qui témoigne de l’abondance de talents golfiques au Canada. Nous sommes impatients de voir ces jeunes filles apprendre et s’améliorer pendant cette compétition internationale. »

Le Championnat mondial junior féminin est certes un tournoi important, mais ce serait dénaturer le concept qui le sous-tend que de le limiter à une simple compétition.

Il s’agit vraiment, sur plusieurs plans, d’une célébration du golf pour filles.

Un sommet d’entraînement aura lieu le dimanche 20 septembre au The Marshes Golf Club. Durant les rondes d’exercice des concurrentes, des entraîneurs de la PGA du Canada, en partenariat avec des collègues étrangers, échangeront des idées et partageront leurs méthodes d’entraînement. Après les rondes d’exercice, les entraîneurs de la PGA du Canada se réuniront en table ronde avec l’entraîneur-chef de la formation féminine d’Équipe Canada, Tristan Mullally, et le directeur technique de la PGA du Canada, Glenn Cundari.

Un stage de développement d’habiletés pour golfeuses juniors sera dirigé par des entraîneurs de la PGA du Canada qui aideront des golfeuses juniors de la communauté à peaufiner leurs habiletés. Le tournoi-bénéfice junior-amateur rassemblera des participantes au Championnat mondial junior féminin et des adeptes de golf de la région dans le but de collecter des fonds pour le développement du golf en Ontario.

« Nous souhaitons que cet événement contribuera au développement et à l’essor du golf pour les filles », de dire Mary Beth McKenna, directrice du tournoi qui est aussi gestionnaire des règles et des compétitions pour Golf Canada. « Nous voulons qu’il soit une source d’inspiration pour la prochaine génération de golfeuses. »

Pour y arriver, il faudra plus que de bonnes idées et de l’enthousiasme.

Depuis plusieurs années, une compétition similaire est présentée au Japon pour les garçons. Avec le soutien de Toyota et d’autres partenaires commerciaux, le tournoi est toujours un franc succès.

Cela ferait plaisir de voir des sociétés appuyer de leurs commandites les éditions futures du Championnat mondial junior féminin.

Veuillez visiter www.mondialjuniorfeminin.com pour de plus amples informations.

Blog Gardez le contact avec Équipe Canada

Rétrospective avec Tristan Mullally

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Tristan Mullally peut réciter chaque réplique de Caddyshack, mais ses préoccupations quotidiennes sur le parcours n’ont rien à voir avec les pitreries qui ont fait le succès de ce film-culte.

Il est au contraire profondément convaincu que si vous vous donnez totalement au golf, le golf vous le rendra – philosophie qu’il inculque aux golfeuses de la formation nationale d’Équipe Canada.

Natif de Straffan en République d’Irlande, Mullally occupe ses présentes fonctions à Golf Canada depuis 2011. Membre Classe A de la PGA du Canada, il a à ce jour dirigé les destinées de cinq formations nationales (la sixième sera dévoilée fin septembre).

Mullally a pris sous son aile des joueuses qui, à force de succès, en sont venues à représenter la prochaine génération des golfeuses d’élite du Canada. Mentionnons tout particulièrement la sensationnelle adolescente Brooke Henderson, de Smiths Falls en Ontario, qu’il a conseillée tout au long de son cheminement vers le Circuit de la LPGA – un épisode de sa carrière qui lui tient à cœur.

« Nous savions que Brooke était une joueuse hors de l’ordinaire au moment où elle s’est jointe au programme, en 2011. C’est un privilège que d’avoir été son entraîneur, ainsi que celui des autres filles de la formation nationale qui ont de leur côté obtenu des résultats impressionnants. »

Au cours de la seule saison 2014-2015, Équipe Canada a signé deux victoires sur le Circuit Symetra, l’une par Sue Kim (Langley, C.-B.), membre de la formation Jeune pro, et l’autre par Augusta James (Bath, ON), une ancienne de la formation nationale. Quant à Rebecca Lee-Bentham (Richmond Hill, ON), elle aussi membre de la formation Jeune pro, elle a remporté sa première victoire professionnelle sur le Circuit canadien féminin en juin.

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En 2014, Mullally a vu son rôle prendre une dimension additionnelle à la suite du lancement de la formation Jeune pro dont fait aussi partie Henderson.

« Dorénavant, le personnel d’entraîneurs de l’équipe nationale assume des responsabilités supplémentaires en aidant les jeunes amateurs d’élite à faire la transition vers les rangs professionnels », indique Mullally, lauréat en 2014 du Prix d’excellence de Petro Canada. « Il est vrai que mon emploi du temps est plus chargé, mais j’appuie totalement cette initiative qui est conforme à notre objectif de placer nos athlètes parmi l’élite mondiale. »

Nonobstant les succès professionnels d’Équipe Canada, la stratégie de Mullally est axée sur le développement de la formation nationale amateur qui elle aussi a récolté des résultats probants cette année, notamment des victoires aux championnats amateurs de l‘Ontario et de l‘Alberta, ainsi que sur le Circuit Cactus.

Comme prévu, Brittany Marchand (Orangeville, ON) et Jennifer Ha (Calgary, AB) sont devenues professionnelles à la fin août. Cela signifie que l’équipe passera par une période de transition, le processus de sélection pour 2016-2017 étant en cours.

« C’est une période excitante de l’année pour les entraîneurs. Tout en réfléchissant aux succès de nos athlètes, nous accueillons de nouvelles golfeuses à la personnalité différente, ce qui pose de nouveaux défis », conclut Mullally.

La composition des formations d’Équipe Canada sera dévoilée au début d’octobre. On peut prendre connaissance des critères de sélection en cliquant ici.

 

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« Monsieur Cocheur » Bob Vokey en visite à Cowansville

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Mark Roe et Bob Vokey (Ross Kinnaird/ Getty Images)

Il y avait de la grande visite mercredi dernier au club de golf Cowansville : Bob Vokey, le réputé créateur de cocheurs chez Titleist.

Il faut d’abord savoir que Vokey est natif de Verdun et qu’un membre de sa famille est associé au parcours de Cowansville, soit son frère Derek, qui y est le surintendant.

Il ne faudra donc pas se surprendre de lire que la distingué personne trouve l’endroit «très bien» ce qui est aussi tout vrai.

Cette implication de Bob Vokey s’inscrivait dans le cadre du « Défi du jeu court », lequel consistait à jouer 18 trous de cent verges et moins mettant l’accent sur les coups de finesse.

« Si frapper à 300 verges n’est pas donné à tous, jouer à cent verges ou moins est possible pour tous », affirme l’expert.

L’HOMME DE DIX MILLIONS

En plus des membres, les golfeurs de l’extérieur, incluant les professionnels, pouvaient vivre l’expérience.

Bob Vokey, qui a « équipé » plein de champions de Tiger à Rory, la liste étant très longue, a donné une conférence d’une durée d’une heure.

« Le cocheur parfait n’existe pas puisqu’il est différent pour chaque golfeur selon la taille, la technique et le style de jeu de chacun », a déclaré le concepteur plusieurs fois millionnaire avec son produit.

On raconte que le nombre de cocheurs vendus portant son nom frise les 10 millions.

UN CHAMPIONNAT DU QUÉBEC EN 2016 

Directeur de l’Académie de Cowansville et instructeur bien connu, Pierre Dugas était sur place.

Il en va de même pour Roger Bélisle, président de Cowansville une 21e saison consécutive pour un record.

Celui-ci éteint les rumeurs qui circulent concernant la situation financière à Cowansville. De fait, il annonce à André Rousseau, des Coulisses du sport, que le championnat provincial chez les 18 ans y sera présenté l’an prochain comme quoi on fonctionne en prévision de l’avenir.

Très bonne initiative, les profits du « Défi » allaient au programme de relance du golf junior à Cowansville.

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Une fin qui doit aussi servir de leçon à Montréal et au Québec

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Wes Short Jr. (Christian Petersen/ Getty Images)

Après la fête du Travail, ces dernières années, c’était le Championnat de Montréal devenu celui de Québec qui suivait au calendrier sportif.

Si on parle au passé, c’est que cette étape jadis permanente de la PGA et du golf majeur au Québec n’est pas de retour.

Tom Lehman, Bernhard Langer, Mark Calcavecchia, Kenny Perry et bien d’autres ont fait passer de très bons moments aux amateurs au Fontainebleau, à La Vallée du Richelieu et à La Tempête. Fred Couples aussi quoique plus de fidélité dans ses présences aurait fait que le Championnat existerait possiblement encore cette semaine.

Le promoteur Synchro Sports ne s’est pas égaré dans les explications sur son désistement, mais on peut très bien comprendre par le même fait qu’il ne nageait pas dans l’argent quand même malgré l’aide des divers paliers gouvernementaux.

C’est à regret qu’on voit l’industrie du golf perdre une bonne tête comme David Skitt qui va réussir sous d’autres cieux; Guillaume Béland, aussi, va faire sa niche ailleurs.

Au plan de l’aspect sportif, le Championnat signifiait un apport économique important avec les visiteurs dans la région, sans compter la vitrine qu’il projetait sur le reste du monde avec la diffusion dans 200 pays via Golf Channel.

Cette fin très hâtive doit servir pour passer un message.

Quoique le temps file vite pour ramener l’Omnium canadien RBC de 2017 à Montréal, l’organisation étant accordée des années à l’avance, il n’est pas trop tard.

Depuis Jean Drapeau et ses J.O., jamais Montréal n’a eu un maire capable de s’intéresser et de parler autant de sports que Denis Coderre.

Retour des Expos, Formule E (électrique) et un toit au stade Uniprix pour le tennis sont des sujets qu’il évoque en tout temps.

Avant que Montréal et Québec ne disparaissent des grands événements de la planète du golf, quelqu’un chez les autorités doit parler à Denis. Pas vrai que la PGA à Montréal en 2017 irait bien avec les fêtes du 375e?

LA TOURNÉE EN ASIE DE BROOKE SE JOUE… EN FRANCE

Brooke Henderson a besoin d’une méga performance à Évian-les-Bains, en France, cette semaine lors du cinquième tournoi majeur de l’année si elle ne veut pas chômer le prochain mois.

Parce que la LPGA refuse ses 600 000$ et plus amassés en gains avant de l’accepter comme membre régulière, Brooke risque de rater la série en Asie cet automne, les participations étant attribuées selon les gains officiels qui se situent à 41 000$ pour la jeune phénomène qui aura 18 ans jeudi.

Il y a toujours la possibilité que les Asiatiques, qui connaissent mieux que quiconque le golf féminin, aient une invitation spéciale mais vaut toujours prendre soi-même le contrôle des choses au golf comme dans tout.

Sachez que Brooke en est très bien capable avec deux cinquièmes places au Championnat de la PGA féminine et à l’Omnium des États-Unis cet été et sa victoire à Portland à la fin août.

SURPRISE!

L’annonce de Bernard Vaillancourt à l’effet qu’il ne reviendrait pas au club Le Cerf l’an prochain et qu’il réorienterait sa carrière dans un autre milieu à la fin de son contrat le 31 décembre a beaucoup surpris l’industrie du golf. Lire la suite ici.

JOYEUX 25e

C’est l’anniversaire que célèbrera le Grand Portneuf avec une journée spéciale le 25.

PARCOURS RECHERCHÉ

À moins que cela ne soit réglé ces deniers jours, Golf Canada n’a pas encore trouvé de façon officielle un club au Québec pour la tenue du Championnat canadien mid-amateur masculin de 2016 réunissant les 25 ans et plus.

Tel qu’annoncé dans ces lignes, le championnat national chez les amateurs aura lieu club Royal Ottawa localisé à Gatineau malgré son nom.

RECORD ÉGALÉ

Dans les Cantons-de-l’Est, l’ami André Rousseau nous apprend dans son blogue « Les coulisses du sport » que le professionnel Yves Robillard a égalé la marque de Gerry Leblanc jouant 64 (-8) au club Venise.

Le plus bas compte compétitif à cet endroit de 66 est co-détenu par Steven Brosseau et Stéphane Talbot.

L’énigme du numéro mondial 

À la question légitime à savoir pourquoi Jordan Spieth peut redevenir numéro au monde devant Rory McIlroy alors qu’il a été mis de côté à mi-chemin une deuxième fin de semaine de suite, la réponse est que les points sont calculés sur la période d’un an et non un tournoi ce qui provoque parfois des algorithmes de la sorte.

Cela dit, pas vrai que quiconque peut faire la différence entre une balle de golf et une de ping-pong sait que Jason Day est le vrai numéro un de la planète!

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Gilles Bourassa honoré pour ses trois 50e

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On voit ici le jubilaire avec ses frères Réjean et Yvon en compagnie de leur épouse. On aura reconnu Jocelyne Bourassa, membre du Panthéon du sport, à l'extrême droite. (Nathalie Millette/ Le fin quartier)

Gilles Bourassa n’oubliera pas de sitôt l’hommage absolument surprise que quelques 250 amis lui ont réservé à Shawinigan, vendredi dernier.

«Je me doutais de rien. De fait, j’étais si convaincu que la fête était destinée à Jocelyne pour son intronisation au Panthéon du Canada (ce sera le 21 octobre) que je lui ai dit de passer devant moi pour que les gens puissent l’applaudir dès son entrée», raconte le jubilaire encore soufflé par les événements.

Grave erreur!

C’est lorsque celui-ci est apparu dans la salle que les gens ont entonné en chœur «C’est à ton tour, mon cher Gilles…» dans le nouveau complexe Le Fin Quartier.

Gilles Bourassa est un véritable monument du sport (l’aréna de Shawinigan-Sud portant d’ailleurs son nom) et de l’ensemble de la communauté.

L’hommage a été organisé pour célébrer trois 50e anniversaires, soit à titre de membre de la PGA du Canada, du club Optimiste au sein duquel il s’avère un rouage majeur et chroniqueur de golf à l’hebdo local.

NOMBREUSES PERSONNALITÉS SUR PLACE

Le monde du golf en Mauricie était représenté au grand complet en commençant par Robert Rousseau, George Arnold, Guy Lefebvre, Clément Ladouceur et Jean-Marie Laforge.

Il faut ajouter ses «élèves» Gilles Yergeau, Jean-François Morand, Luc Boisvert et Luc Richard, le véritable homme-orchestre qui a suivi les traces de Gilles Bourassa qui a passé la majorité de sa carrière au Mémorial.

Président de Golf Québec, Marcel-Paul Raymond a fait le voyage de Montréal.

Toujours du côté sportif, il ne faut pas oublier la légende du canot Serge Corbin et Jocelyne bien sûr.

Le maire de Shawinigan, Michel Angers, était présent de même que le député Pierre Giguère, qui a remis une décoration de l’Assemblée nationale.

Jean Chrétien, un ami de longue date a tenu à participer via vidéo-conférence quoique retenu à l’extérieure.

«C’est énorme et tellement touchant comme attention témoignée», mentionne Gilles Bourassa, un professeur de formation toujours actif même à la retraite.

François Paradis et Luc Morin ont été les piliers de l’organisation.

«Ils ont énormément bien travaillé avec Nathalie Milette (patronne du Fin Quartier) n’ayant jamais eu la moindre indication de ce qui se tramait quoique François et Luc sont des partenaires de golf réguliers!», dit notre jubilaire.

Sachez, Monsieur Bourassa, que cette marque d’appréciation et reconnaissance était super méritée.

PS: Gilles Bourassa a aussi été le mentor de Mario Brisebois de même que René Noël, le patron du Mirage, aux débuts de ceux-ci à Shawinigan.

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LNH ou PGA pour l’arbitre-champion golfeur

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Garrett Rank (Mike Bernard/ Golf Canada)

La preuve est faite deux fois plutôt qu’une. Le plus habile golfeur de la Ligue nationale de hockey ou le plus auréolé très certainement est un arbitre.

Il s’agit de Garrett Rank, couronné pour la deuxième année de suite la semaine dernière champion canadien de la catégorie «mid-amateur» (25 ans et plus) au club Abercrombie, en Nouvelle-Écosse.

En complétant les quatre jours avec une fiche de -3, le chevalier du sifflet d’Elmira, en Ontario, a survolé ses rivaux pour enlever la palme nationale avec la très confortable marge de sept coups.

«C’est un honneur se retrouver sur le même parcours que Graham Cooke qui est sorti victorieux à sept reprises», de dire Rank, auteur d’un spectaculaire 65 en ouverture.

Rank, qui a 27 ans, a arbitré neuf matches de LNH l’hiver dernier quoique la Ligue américaine était son premier lieu de travail comme c’est le cas des recrues.

Cet été, Garrett Rank a représenté le Canada aux Jeux panaméricains et a vécu sa première à la PGA en prenant le départ à l’Omnium canadien RBC au club Glen Abbey où il sera de retour l’an prochain, le champion canadien mid-amateur recevant une invitation automatique.

Sait-on jamais, il pourrait devoir choisir entre la LNH et la PGA un jour!

LA VALSE DES NUMÉROS UN ET JORDAN SPIETH… EN CHIFFRES

En subissant l’élimination à mi-chemin du premier tournoi éliminatoire de la Coupe Fedex, Jordan Spieth cède cette semaine sa place de numéro un mondial à Rory McIlroy quoique ce dernier ait pris congé pour mieux guérir sa cheville.

Un autre changement pourrait survenir lundi prochain avec Jason Day.

Gagnant de quatre titres cette année dont trois à ses quatre plus récents tournois (Omnium canadien RBC, le PGA et le Barclays), Day pourrait mathématiquement être le prochain au sommet selon ses résultats au Deutsche Bank à Boston durant le long congé.

Au cours des quatre tournois du grand chelem cette année, Spieth a complété avec une fiche de -54.

La précédente marque était de -53 réalisée par Tiger Woods en 2000.

Pour montrer la domination du jeune homme de 21 ans, il a bouclé 19 coups devant Jason Day lointain 2e.

Ces chiffres ne font que confirmer qui est le golfeur de l’année qu’importe le classement mondial.

Dans l’ensemble, ils ne sont que 18 à avoir complété les quatre jours des quatre grands rendez-vous, nous apprend aussi Jim McCabe de Golf World.

TIGER TOUJOURS AUSSI VENDEUR

Même s’il n’a rien fait depuis deux ans, Tiger reste… comme principale attraction et le réseau CBS peut très bien en témoigner.

Les auditoires du Championnat Wyndham il y a deux fins de semaine avec le Tigre dans la course avant qu’il finisse 10e ont bondi de 220% samedi et 180% dimanche.

Il s’agit du plus élevé total de téléspectateurs pour un tournoi régulier de la PGA depuis 2013.

L’INFLUENCE DE BROOKE RAYONNE SUR LE GOLF AU PAYS

Brooke Henderson est capable de plein de choses au golf comme on sait, notamment élever le talent.

C’est le cas auprès d’Alena Sharp, l’autre Canadienne régulière à la LPGA qui a été la meilleure du pays au tournoi Yokohama, en Alabama, en fin de semaine.

La golfeuse d’Hamilton, en Ontario, a brillé au cours du week-end avec des cartes de 69 et 67 après 71 et 72 en première moitié pour remonter 12e à -9.

Brooke, qui est de Smiths Falls, aussi en Ontario, a aligné des pointages de 71, 70, 70 et 69 pour un coup de plus au cumulatif à -8 pour la 16e place.

Alena avait bouclé 10e deux semaines plus tôt à Portland comme quoi le succès peut être contagieux.

En passant, Alena et Brooke se vouent un grand respect.

Profitant d’un congé au circuit Symetra qui reprend l’action cette semaine à Sioux Falls, Sara-Maude Juneau était des inscrites en Alabama. Des comptes 76 et 73 ne lui ont pas suffi pour éviter le couperet à mi-chemin.

SEULEMENT LA TROISIÈME PAIRE D’AS DAN LES ANNALES DE LA PGA 

Les deux trous d’un coup de Brian Harman dimanche lors de la ronde de finale du Championnat Barclays, première étape des éliminatoires Fedex, représentaient les 40e et 41e enregistré à la PGA cette année, mais seulement la troisième paire d’as lors d’une même ronde dans les annales de la PGA.

Un golfeur gaucher mini-format qui fait 5 pieds 7 pouces et 150 livres, Harman n’avait jamais réussi de trou d’un coup en 1567 occasions au grand circuit avant d’en réaliser deux dans le bref intervalle de 12 trous ceux-ci ayant été obtenus aux 3e et 14e.

Un troisième a failli s’ajouter lorsqu’il a logé sa la balle a douze pouces de la coupe au 17e, une normale trois.

Curieusement, Brian Harman, qui a fini avec 68 pour la 30e place, n’a pas remporté une auto de luxe de l’année et autres prix luxuriant malgré son rare doublé. Par contre, deux amateurs pourraient voir leur hypothèque payé pour un an grâce au Sweepstake Quicken Loans.

QUE FAIRE POUR QUE JOHN DALY COMPRENNE?

Moins de 24 heures après s’être affaissé au 18e trou d’un tournoi amical à Canton, au Mississippi, et conduit en ambulance à l’hôpital, John Daly était de retour au club de golf.

Daly a parlé d’un problème pulmonaire ce qui ne l’a pas empêché d’avoir la cigarette au bec lorsqu’il en jasait avec tout le monde sur le balcon.

MAC NOUS QUITTE!

C’est avec consternation qu’on apprend le décès de Ian MacDonald.

Ex-nageur de haut niveau, il a commencé à écrire parce que personne ne «couvrait» son sport.

En plus d’être assigné de très nombreuses années aux Expos, Mac est devenu un des journalistes le plus polyvalents étant quasi un habitué des Omniums canadiens à Montréal avec son collègue Randy Philips au quotidien The Gazette.

Bien qu’âgé de 88 ans, Ian Macdonald était resté actif jusqu’à récemment.

Nos condoléances à ses trois enfants.

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Brooke athlète de l’année au Canada

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Brooke Henderson (Golf Canada/ Chuck Russell)

Je suis tout à fait d’accord que c’est quand même tôt la fin août pour ce genre de choses, mais il existe de ces circonstances et ces réussites qui ne laissent pas le choix.

Brooke Henderson mérite tout de suite d’avoir son nom inscrit en haut de liste comme candidate au titre d’athlète par excellence au Canada cette année.

Désolé pour Eugénie Bouchard au tennis qui a monopolisé les honneurs ces dernières années, mais jamais le golf et aussi le sport en général au pays n’aura connu un talent de l’ampleur de Brooke à 17 ans.

La victoire de l’ado de Smiths Falls, Ontario, au tournoi de Portland il y a deux dimanches par la ronflante marge de huit coups sur sa plus proche rivale était immense comme réalisation d’autant plus qu’elle avait dû se soumettre aux qualifications du lundi.

Et que dire maintenant de cette promotion la semaine dernière à titre de membre à part entière avant l’âge obligatoire réservé aux surdouées comme Lydia Ko et Lexi Thomson qui est encore plus énorme et gigantesque comme accomplissement.

Son magot de 660 000 dollars amassés en dix tournois avec deux top cinq au Championnat de la LPGA et l’Omnium des USA au grand chelem ont complètement tordu le bras du commissaire Mike Whan.

S’entêter à ne pas bouger aurait risqué pour celui-ci de passer plus impopulaire que son homologue au football de la LNF Roger Goodell vraiment en très mauvaise position avec l’histoire Tom Brady et les ballons dégonflés.

La 23e place de Brooke à l’Omnium féminin Canadien Pacifique à Vancouver en fin de semaine est la dernière référence à tenir compte en ce sens que cela appartient au parcours normal de l’apprentissage.

Brooke n’a-t-elle pas scellé avec 67 au cours de cette expérience de laquelle elle a été plus sollicitée qu’une «rock star»?

Vérifications faites, il reste neuf tournois individuels (à part la Coupe Solheim) d’ici la fin du calendrier. Une autre victoire de Brooke Henderson est tout à fait logique pour la confirmer athlète par excellence avant l’annonce en décembre.

***

Malgré ses performances en série, Brooke Henderson se situe ce matin lointaine 132e chez les boursières à ses débuts comme membre officielle de la LPGA.

Curieuse décision, les autorités ont établi pour le moment de ne tenir compte que de ses statistiques depuis qu’elle a obtenu sa permanence ce qui se limitent en gains au chèque de 22 816$ empoché à Vancouver.

Cela enlève la possibilité d’une sélection à titre de recrue, mais n’est-ce pas celui de joueuse par excellence qui compte plutôt dans l’avenir!