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Conseil : Comment jouer avec un vent de face?

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(Golf Canada)

Blog Gardez le contact avec Équipe Canada

Un homme en mission : Austin Connelly se penche sur ses récents succès

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(Photo Getty)

Le golf, comme la plupart des sports, est un sport de statistiques. Pour Austin Connelly, le cadet de la formation de développement d’Équipe Canada, il s’agit simplement de « jouer comme on sait en être capable ».

Occuper le neuvième rang du classement mondial amateur comporte des avantages. Celui, par exemple, de faire une telle déclaration avec une confiance absolue.

De la confiance, Connelly en a à revendre. À la suite de son élimination du championnat américain Four-Ball la semaine dernière, le champion de la Coupe Jones a tout de suite exprimé sa déception et endossé le blâme.

« Ça ne s’est pas passé comme prévu », dit-il à propos de son match de demi-finale avec son partenaire Sam Burns. « Il est sûr que nous aurions dû mieux jouer. Je ne me suis pas élancé à mon goût sur les neuf premiers trous, ce qui n’a pas aidé mon partenaire. »

Connelly arbore la confiance de la jeunesse, mais sans dépasser les limites. Il est conscient qu’il lui reste beaucoup à apprendre, ce qu’il a pu constater quand il jouait contre et avec son coéquipier d’Équipe Canada, Corey Conners.

« L’an dernier, Corey m’a battu en prolongation pour gagner la Coupe Jones. C’est un très, très bon joueur, dit-il. Nous sommes devenus amis et je lui voue un grand respect. »

En novembre, Connelly et Conners ont fait équipe en Argentine pour mener le Canada à son tout premier triomphe en Coupe Tailhade par la marge écrasante de 19 coups.

Trois mois plus tard, Connelly défaisait Conners à l’Ocean Forest Golf Club. Il gagnait ainsi la Coupe Jones et savourait une douce revanche. Selon lui, cette rivalité amicale les motive tous deux.

« Nous ne faisons pas vraiment de blagues à ce sujet, déclare Connelly. Nous sommes essentiellement des compétiteurs et c’est pour nous une façon de nous motiver. »

À vrai dire, c’est lors de la Coupe Jones que Connelly a rencontré par hasard Derek Ingram, entraîneur-chef de l’équipe masculine, ce qui a été à l’origine de son séjour au sein d’Équipe Canada.

« Mon père et moi, on est tombés sur Derek avant même le tournoi », explique Connelly qui s’entretient maintenant quotidiennement avec Ingram. « Il ne me connaissait pratiquement pas, il ignorait même que j’étais canadien. Après le match avec Corey, nous avons discuté plus souvent lors des tournois. J’avais constaté que les entraîneurs avaient fait un travail formidable pour améliorer les joueurs. Cela m’a beaucoup attiré. »

Depuis qu’il s’est joint à Golf Canada, Connelly, âgé de 18 ans et à sa dernière année de high school, a amélioré son classement mondial, grimpant d’une très respectable 48e place au top 10, ce qui en fait l’amateur le mieux classé du Canada.

« Je suis très fier d’être canadien et je suis très heureux de participer à ce programme, dit-il. Pour moi, il est important de profiter de ce soutien pour passer au niveau suivant. »

D’où Connelly est-il originaire? Quelle est son histoire?

Connelly a la double citoyenneté, partageant son temps entre la Nouvelle-Écosse et le Texas.

« J’ai passé plusieurs étés de mon enfance avec ma famille en Nouvelle-Écosse. Nous adorons le nord-est et nous y retournons chaque année. »

À l’automne, Connelly entend se qualifier pour un circuit professionnel. Entretemps, il a signé une lettre d’intention avec l’Université de l’Arkansas.

À sa dernière année peut-être dans les rangs amateurs, il faut s’attendre à ce que le nom de Connelly figure cet été au tableau des meneurs des championnats les plus prestigieux.

Blog Règles et situations de jeu

Pas de quoi se rendre malade

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Ben Crane (Christian Petersen/ Getty Images)

La répartition des coups de handicap est un concept si mal compris, au golf, qu’il entraîne parfois des discussions animées, sinon acrimonieuses, entre membres de clubs.

On aurait peut-être besoin d’une journée de trêve pour évacuer la tension et éviter l’apoplexie. Vous avez sans doute été témoin, à votre club, d’un désaccord quant au trou classé no 1 dans l’ordre de répartition des coups de handicap. Peut-être même avez-vous déjà été impliqué dans une discussion du genre : « Le 4e trou n’a aucune raison d’être classé premier, c’est une simple normale 4 de 404 verges. Le 7e trou est sans contredit le plus difficile du parcours, un monstre de 438 verges où je n’arrive jamais à réussir la normale. »

RÉPARTITION DES COUPS

Qu’est-ce que la répartition des coups de handicap? C’est une ligne intitulée HDCP ou Handicap sur la carte de scores, qui indique l’ordre dans lequel les trous 1 à 18 sont classés pour l’allocation des coups. On croit souvent, à tort, que cet ordre représente le degré réel de difficulté de chaque trou du parcours. On pourrait aussi penser que c’est Golf Canada ou l’Association provinciale de golf qui décide de ce classement pour chaque parcours, mais c’est faux. Golf Canada émet des directives et des recommandations quant à la façon de déterminer l’ordre de répartition des coups de handicap sur un parcours (voir Section 17 du Manuel de handicap de Golf Canada), mais il appartient à chaque club, préférablement au comité du handicap, de déterminer cet ordre. Il y a deux façons principales de procéder : la Méthode de comparaison et la Méthode de régression (régression linéaire).

MÉTHODE DE COMPARAISON

La méthode de comparaison est une répartition basée sur les scores. Le comité recueille 200 scores joués trou par trou par des golfeurs de bas handicap (8 ou moins), ainsi que 200 scores trou par trou sur les cartes de golfeurs ayant un handicap plus élevé (on suggère environ 15 à 20 coups de plus que le handicap moyen du groupe précédent). On calcule le score moyen sur chaque trou pour chacun des deux groupes, puis on établit un classement de 1 à 18 où le trou no 1 est celui qui montre la plus grande différence entre les scores moyens des deux groupes, jusqu’au trou no 18 où la différence est la plus petite. Il existe une autre variante où les scores sont comparés à la normale pour chaque trou, mais pour plus de simplicité, tenonsnous en à la méthode principale. On peut ensuite retoucher les résultats pour s’assurer, entre autres, que le trou classé no 1 soit celui où un coup alloué serait le plus utile dans un match entre golfeurs aux handicap semblables, et aussi pour assigner les coups chiffrés impairs sur le premier neuf d’un parcours et les coups pairs sur le neuf de retour. Pour de plus amples détails, veuillez consulter la Section 17-2a dans le Manuel de handicap de Golf Canada.

La difficulté d’un trou joue évidemment un rôle, mais l’objectif principal de la répartition des coups est d’allouer des coups au golfeur ayant le plus haut handicap là où celui-ci en aura le plus besoin pour égaliser le trou dans un match contre un joueur au bas handicap. La difficulté de réussir la normale sur un trou n’est pas nécessairement un critère justifiant l’allocation d’un coup. Plus vous en saurez sur le sujet, mieux vous comprendrez la logique de cette affirmation. Nous recommandons aussi d’éviter d’attribuer les premiers coups de handicap à la fin de chaque neuf, de façon à permettre aux joueurs qui en bénéficient de les utiliser avant que le match soit déjà décidé. Dans le même ordre d’idée, il faudrait éviter d’attribuer les chiffres les plus bas au premier et au deuxième trou, au cas où une éliminatoire trou par trou s’avérait nécessaire pour départager une égalité.

MÉTHODE DE RÉGRESSION

La méthode de régression exige de recueillir et d’analyser au moins 400 scores bruts de joueurs représentatifs de tous les niveaux de handicap, à partir des jalons les plus souvent utilisés au club. Le score et le handicap du joueur sont utilisés sur chaque trou pour établir le classement final des trous. Cette méthode utilise une fonction mathématique complexe qui est illustrée à la section 17-2b du Manuel de handicap.

Est-ce qu’un club devrait réviser l’ordre de répartition des coups inscrit sur la carte de scores et le modifier au besoin? Si votre club n’a pas utilisé l’une de deux méthodes décrites plus haut au cours des dix dernières années, ou si des changements importants ont été apportés au parcours, nous vous recommandons de procéder selon les méthodes suggérées. Comment faire? Le Centre de scores de Golf Canada peut vous être utile à cet égard. Si vous voulez faire l’évaluation de vos données, vous pouvez faire exécuter un programme qui va générer automatiquement les résultats. Le hic est que vous devez inscrire les scores trou par trou afin de permettre au programme de s’accomplir, ce qui vous oblige à recueillir les scores de vos membres tout au long de la saison. Contactez Golf Canada ou votre Association provinciale de golf pour obtenir les modèles de feuille de calcul à utiliser pour effectuer votre analyse.

Nul besoin de se rendre malade ni de s’arracher les cheveux au sujet des coups alloués. Les discussions sont inévitables, mais certainement plus cordiales quand on connaît bien le processus.


Pas de quoi se rendre malade

Cet article a été publié dans l’édition d’avril 2015 du magazine Golf Canada. Pour lire l’article dans le format original, cliquez sur l’image à la gauche.

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Autre victoire pour le golf: le club East Angus est sauvé!

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Jack Newman (Michael Cohen/Getty Images)

Le Club de golf East Angus ne pouvait demander mieux comme cadeau pour son 80e anniversaire: la compagnie Cascades cède le parcours à la municipalité.

« Je te dis qu’il y a de très larges sourires ici depuis ces derniers jours, mentionne le professionnel, Yves Mandeville. Cela assure considérablement la survie du golf à East Angus ».

Mandeville est l’homme orchestre de l’endroit depuis 32 ans et connaît très bien le maire, Robert Roy, à qui il a d’ailleurs enseigné le golf. « Il y avait passablement de rumeurs dans le coin dernièrement », reconnait-t-il.

La vente potentielle à une entreprise privée pour transformer le golf en projet immobilier ne se concrétisera donc pas pour l’alma mater de plusieurs noms connus comme André Maltais, Marcel Dion, Pierre Lessard et Guy Faucher, tous des élèves de «Putter» Bernier. « Ça représente bien sûr un soulagement et aussi une belle source de motivation », précise Mandeville.

Cascades cède le fond de terrain à la municipalité, alors que le pavillon et les équipements d’entretien demeurent la propriété des actionnaires. Comme ailleurs, East Angus ne roule pas sur l’or : « Puisque nous sommes entre 170 et 175 membres, nos défis ne sont pas terminés. La différence maintenant est que nous pouvons recommencer à travailler sur des assises solides », a conclu Yves Mandeville qui a toutes les raisons d’être optimiste. Chaque terrain sauvé constitue une victoire réelle pour le golf!

Oiselet de la semaine

À qui d’autres que le Montréalais Beon Yeong Lee qui a franchi avec brio la première étape des qualifications de l’Omnium des États-Unis, à Jupiter, en Floride. Son magistral 64 lui permet d’aller à la finale au début juin. Bravo!

En direct de la NCAA…

C’est terminé pour Josée Doyon, de St-George de Beauce et Valérie Tanguay, de St-Hyacinthe, l’équipe de leur université respective (Kent State et Oklahoma) n’ayant pu parvenir à se qualifier, durant le week-end, pour le Championnat national. Avec trois victoires individuelles et le titre de joueuse par excellence de la division « Mid-American », Josée a obtenu des résultats qui pourraient peut-être lui valoir une invitation à titre personnel. Mais ça reste à voir…

Francis Berthiaume et les Hornets d’Alabama State ont remporté le Championnat des minorités au club PGA National, en Floride, durant le week-end qui vient de se terminer.

À l’instar de Raoul Ménard avec l’Université de la Caroline du Nord à Charlotte, Berthiaume sera en action lors des championnats régionaux. Joey Savoie et son institution (St. Leo, en Floride) sont qualifiés pour les finales NCAA, groupe 2, qui se dérouleront la semaine prochaine.

Douce revanche…

La victoire de Rickie Fowler survient une semaine après que le Sports Illustrated l’ait identifié comme le joueur le plus surestimé du PGA Tour avec Ian Poulter. Voilà ce que peut parfois donner un sondage anonyme…

Mention spéciale

Elle va à Étienne Papineau, de Saint-sur-Richelieu, pour sa quatrième place, à trois coups du vainqueur lors du premier tournoi 2015 de la série Premiers élans CN, qui a eu lieu à Qualicum Beach, en Colombie-Britannique. Trevor Ranton, de l’Ontario, l’a emporté avec une fiche de -13. Ça donne une idée du calibre très relevé chez les juniors.

Chez les filles, l’Ontarienne Grace St-Germain a eu le dernier mot en prolongation devant la Britanno -colombienne Michelle Kim. Grace est la même qui avait subtilisé le Championnat amateur du Québec, au club Milby, l’été dernier.

Tel père, tel fils

Diplômé en administration des HÉC et ex-Carabin, Iannick Lamarre a décidé d’accéder aux rangs professionnels. Il travaille au club Whitlock sous les ordres de Gregg Cuthill. Iannick est le fils de Jean-Louis Lamarre, qui a déjà gagné les championnats québécois et canadiens.

En deuil

Le golf a perdu un de ses fidèles serviteurs lors du décès ces derniers jours de Roger Lévesque. Celui-ci a été adjoint au club Municipal durant les années de Phi Giroux et Damien Gauthier. Il a par la suite travaillé à Beloeil, sous l’autorité de Jean-Paul Alary avant de devenir préposé au départ. Bien qu’il faisait la navette Montréal-Beloeil en autobus, il n’a jamais été en retard au travail.

Bill Kerr honoré en Ontario

Le très actif Panthéon de l’Ontario a intronisé Bill Kerr à titre posthume, bien qu’il ait mené la partie la plus importante de sa carrière au Québec, plus précisément à la direction du club de Beaconsfield.

Quand on se compare…

Il n’y a surtout pas à se décourager de la pluie au rendez-vous en début de semaine. Il y a pire ailleurs côté au Dakota qui a reçu jusqu’à 30 centimètres de neige dimanche.

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Josée Doyon élue joueuse de l’année de la Conférence Mid-American de la NCAA

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Golf Canada's CEO, Scott Simmons

Même en congé de compétition avec son équipe, les Golden Flashes de Ken State qui était en phase récupération et d’examens, Josée Doyon est demeurée dans les grands honneurs.

C’est sans surprise qu’à la suite de sa domination au cours des dernières semaines, la golfeuse gauchère de Saint-Georges de Beauce a reçu le titre de golfeuse par excellence en 2014-2015 de la conférence Mid-American de la NCAA. Ce titre est d’autant plus flatteur qu’il est décerné à la suite d’un vote tenu auprès des entraîneurs de l’ensemble des universités.

À ses trois derniers tournois, l’étudiante en criminologie a inscrit trois victoires consécutives. Elle a gagné les tournois de Mississippi State et d’Ohio et le Championnat de sa division. Les championnats régionaux de la NCAA auront lieu en fin de semaine. Golf Channel présente une émission spéciale pour déterminer qui jouera où.

On pourra ainsi savoir quelles seront les institutions opposées aux autres et qui, parmi les Québécois, en seront concernés. Comme on sait, Raoul Ménard (Université de la Caroline du Nord, à Charlotte), Valérie Tanguay (Oklahoma), Joey Savoie (St. Leo), Élyse Archambault (Penn State) et Francis Berthiaume (Alabama State) participeront tous à ces championnats.

Fin du lock-out au Royal Québec

Ce lundi passé en était un très spécial pour les membres et les préposés à l’entretien du terrain du Club de golf Royal Québec. Le personnel est rentré au travail pour la première fois depuis qu’ils se sont fait imposer un lock-out qui aura duré trois semaines.

Échu depuis 2013, le nouveau contrat sera valide jusqu’en 2017.

« L’entente a été finalisée samedi matin, juste avant la réunion d’information qui a réuni 225 membres », a informé Mario Bouchard, joint très tôt lundi matin sur le parcours où il apportait son aide. Pendant le conflit, les trois employés non-syndiqués (incluant le surintendant, Michel Tardif), ont nettoyé le site avec des actionnaires-bénévoles.

« Cela nous permettra d’ouvrir nos deux terrains aussitôt qu’en fin de semaine prochaine », a déclaré le DG pour montrer que tout a été fait pour éviter les retards.

La convention est rétroactive à 2014 : « Et les clauses sont respectueuses de la réalisé de notre industrie », spécifie Bouchard.

Au sujet de l’industrie du golf, inutile de dire qu’elle a énormément surveillé la situation qui a sévi au club Royal Québec.

Stéphane loue son golf

La saison est sauvée au club Montpellier, et cela, au moins pour cette année. On apprend que le propriétaire, l’ancien 44 du Canadien, Stéphane Richer, a accepté une offre location-achat de Daniel Déziel, un entrepreneur de Gatineau.

Richer disait qu’il voulait réorienter sa vie quand il a annoncé qu’il mettait un terme aux opérations de ce golf dans la région de la Petite Nation.

Plus compliqué à Dorval

Toujours concernant l’avenir des parcours, l’ADM (Aéroports de Montréal) décide de ne pas vouloir déroger et de ne pas rouvrir le Golf municipal de Dorval (le neuf trous) ce printemps malgré l’opposition à laquelle elle fait face.

La population s’objecte à cette décision d’autant plus que l’espace vert deviendrait un local de sécurité pour répondre aux nouvelles règles de l’aviation internationale qui doivent entrer en vigueur en 2016.

Le nombre de parties jouées annuellement dépassait les 30 000 au Golf municipal de Dorval. Pour les gens désireux de connaître l’histoire de ce club, rappelons qu’il s’agit de l’ancien Elm Ridge, avant son déménagement à l’Île Bizard.

Les 50 ans du club du Lac Mégantic

Il faut ajouter Lac Mégantic parmi les clubs dont c’est le demi-siècle d’existence cette année.

On le mentionne tôt parce que les braves gens mériteraient que les visiteurs soient nombreux à aller les voir pendant l’été après les terribles évènements que l’on sait et qui ne permettent pas au site de rouler sur l’or.

Un quart-de-million amassé

C’est le 14 mai, donc dans deux jeudis, que le Club de golf Le Blainvillier organisera son 10e tournoi-bénéfice pour son académie.

L’initiative, lancée par un groupe ayant Marcel-Paul Raymond à sa tête, doit être soulignée, puisque c’est quand même 250 000$ qui ont été amassés pour financer les programmes de l’élite du club.

Rory sort de la boîte à surprises

Rory McIlroy devient seulement le deuxième numéro un à remporter le Championnat mondial par trous, l’autre ayant été Tiger Woods. Voilà qui en dit long sur la boîte à surprises que représente ce rendez-vous annuel.

Réouverture du Village olympique

Après un arrêt d’un an pour faire place à l’exécution des travaux de modernisation, le golf du Village olympique a repris les opérations avec un nouveau pavillon.

Il faut dire que la réalisation de ces travaux a pris plus de temps que prévu. Roger Bouchard et Daniel Talbot sont de retour à l’enseignement ce qui s’avère une autre bonne nouvelle.

Un deuxième permanent au sein du PGA TOUR Canada

Ajoutez le nom de Dominic Racine à celui du Montréalais Beon Yeong Lee comme permanent au sein du circuit PGA TOUR Canada.

Mais Racine ne jouera pas. Il agira plutôt comme officiel/arbitre de cette organisation. D’ailleurs, il sera présent lors de la troisième qualification du circuit PGA TOUR Canada qui figure au programme cette semaine, en Colombie-Britannique.

Retour en forme de Maude-Aimée

Le congé aura été de courte durée pour Maude-Aimée LeBlanc qui a repris l’action jeudi au sein du circuit Symetra Tour. Le tournoi a lieu en Caroline du Sud et sera d’une durée de quatre jours au lieu de trois ce qui explique le magot bonifié à 200 000$.

Après trois quatrièmes places et une deuxième, cette semaine pourrait être la bonne!

Comme en été

Alors que plusieurs clubs dans la région des Cantons-de-l’Est arborent les cicatrices d’un hiver de misère, le parcours du club Milby est tout en verdure.

« Nous sommes déjà à plus de 90% de nos conditions optimales », prétend le professionnel et directeur de golf, Guy Faucher, toujours très fiable.

La Nouvelle-Écosse y a goûté

Il ne faut pas se plaindre lorsqu’on se compare avec ailleurs. En plus du froid, il est tombé tellement de neige en Nouvelle-Écosse que plusieurs parcours ne lanceront pas leur saison avant deux semaines encore et peut-être même plus tard, dans certains cas.

19e trou Blog

Championnat du monde de match-play : s’inspirer d’une formule de jeu!

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Le Parcours du Cerf

Est-ce que c’est moi ou bien le golf nous en donne pour notre argent ces temps-ci? La saison de golf est finalement commencée.

Merci au froid intense qui a sévi l’hiver dernier. Ne riez pas! Ceci a permis aux parcours de golf de la belle province de ne pas avoir à lutter contre l’accumulation de glace sur les verts, généralement formée par le redoux « habituel » du temps des Fêtes. Dame Nature nous a rien donné de cela. Résultat : des conditions de jeu exceptionnelles compte tenu que le mois de mai n’est qu’embryonnaire. En plus, la quasi totalité des parcours de golf publics proposent des droits de jeu à rabais. On serait fou de ne pas en profiter.

Bon, revenons à mes moutons. Même si la nouvelle formule de jeu utilisée à l’occasion du Championnat du monde de match-play n’a pas donné les résultats voulus, (selon les propos du commissaire du circuit PGA TOUR, Tim Finchem), cela n’a pas empêché de mettre en lumière deux choses : la première est que peu importe la formule de jeu utilisée, votre rang mondial, si vous êtes dû pour jouer une bonne partie, vous pouvez venir à bout de n’importe quel adversaire. La preuve : les Anglais Tommy Fleetwood et Danny Willett se sont affrontés en quart de finale. Pardon? Qui? Il est très important de ne pas confondre Dany Ouellette et Danny Willett. Ce dernier a remporté la finale consolation contre Jim Furyk et a ainsi mis la main sur un petit chèque de 646 000$.

Le deuxième point est le concept des formules de jeu. Pourquoi on ne voit pas davantage des formules de jeu différentes? L’année dernière, le Circuit de la LPGA y est allé d’une belle initiative, à mon avis, avec le tournoi International Crown, où huit nations ont aligné leurs quatre meilleures golfeuses, s’affrontant ainsi à tour de rôle pendant quatre jours selon différentes formules de jeu en partie par trou. Certains affirment que la formule doit être peaufinée, mais je suis convaincu qu’elle mérite d’évoluer et d’être utilisé sur les circuits masculins. En bout de ligne, ce n’est pas un meilleur spectacle que l’on veut offrir?

19e trou Blog

Naviguer sur golfcanada.ca

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La communauté canadienne golfique a parlé, Golf Canada a écouté. Mordus du golf, fans, golfeurs, membres : tous souhaitaient vivre une expérience en ligne plus interactive et intuitive. Et c’est pourquoi le site Web de Golf Canada – www.golfcanada.ca – vient de franchir une autre étape de son évolution.

Dorénavant, les utilisateurs auront accès à une interface réactive, dotée d’une version mobile conviviale, qui s’adapte à l’appareil utilisé, que ce soit un ordinateur de bureau, une tablette ou un téléphone intelligent.

Le nouveau site de golfcanada.ca, lancé aujourd’hui, fait partie d’un vaste projet en cours impliquant une refonte de tous les points de contact numériques de Golf Canada. Plutôt cette année, nous avons lancé la nouvelle application mobile Golf Canada qui permet aux membres de faire le suivi en ligne de leur Facteur de handicap Golf Canada®. La nouvelle application, disponible gratuitement sur iOS et Android, offre une nouvelle interface qui facilite considérablement l’affichage des scores et le suivi des statistiques de jeu.

Si le site a été visuellement rafraîchi, l’utilisateur retrouvera sur golfcanada.ca un contenu qui lui est familier. Par exemple :

  • Informations et ressources complètes au service des membres de Golf Canada et des clubs membres;
  • Résultats actualisés des divers circuits professionnels et tournois amateurs;
  • Dernières nouvelles du monde du golf;
  • Opinions des experts et chefs de file de l’industrie canadienne du golf;
  • Informations sur les équipes nationales et les étoiles montantes du golf canadien;
  • Informations sur les championnats nationaux amateurs du Canada ainsi que sur l’Omnium canadien RBC et l’Omnium féminin Canadien Pacifique.

Un des principaux objectifs était de faire ressortir le contenu et les fonctions les plus souvent recherchés par les visiteurs. Une analyse détaillée des données recueillies au cours de plusieurs années a permis d’identifier ces éléments et de se servir de ces constatations pour développer la nouvelle interface. Des boutons pour afficher les scores, vérifier les facteurs de handicap et rechercher des parcours apparaissent en haut de la page pour faciliter aux membres l’accès à ces ressources essentielles. Avant d’entrer les détails de leur partie, les membres devront se connecter. Ils peuvent le faire en cliquant sur le bouton Afficher un score ou sur le bouton Connexion, toujours dans la partie supérieure droite de la page.

FR - Top - Web

Une fois connectés, les membres seront redirigés vers la nouvelle section personnalisée pour les membres. Ils y trouveront tous les détails de leurs performances antérieures ainsi que leurs statistiques les plus récentes.

Sur la page d’accueil, un défilement rapide révèle une interface Nouvelles où figure de l’information sur les diverses facettes de l’industrie. Blogues, reportages, commentaires, équipes nationales, équipement, etc. : il suffit d’un seul coup d’œil pour être au courant de tout.

FR - News - Web

Tous les résultats – circuits professionnels, tournois auxquels participent des membres d’Équipe Canada, championnats nationaux amateurs – seront encore accessibles sur la page d’accueil.

FR - Leaderboards - Web

Une rotation aléatoire permettra de faire connaissance avec les membres des équipes nationales de golf du Canada.

FR - Team - Web

Un menu déroulant figure dans la partie supérieure gauche. Pour faciliter la navigation, la carte du site est disponible au bas de la page.

La nouvelle version de golfcanada.ca est loin d’être définitive. Nous continuerons de procéder au besoin à des révisions dans l’espoir de mieux informer la communauté golfique canadienne et d’interagir avec elle. Nous lancerons bientôt un nouvel outil de Recherche de parcours, qui fournira des renseignements sur les parcours et clubs de golf du pays.

C’est avec grand plaisir que nous lançons ce nouveau site et nous vous invitons à nous faire part de vos commentaires. C’est ainsi que nous continuerons de construire le site ensemble.

Pour nous contacter :

Courriel : membres@golfcanada.ca
Téléphone : 1-800-263-0009 p. 299
Twitter : @thegolfcanada
Facebook : facebook.com/thegolfcanada

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Tout est affaire de synchronisme : une leçon de Derek Ingram

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Corey Conners and Derek Ingram

Disputer le Tournoi des Maîtres est un défi pour un athlète, encore plus quand c’est la première fois. Ce n’est pas non plus une sinécure pour un entraîneur.

Derek Ingram, entraîneur-chef de la formation masculine d’Équipe Canada, a pris les bouchées doubles dans les mois précédant le Tournoi des Maîtres, aidant l’étoile canadienne Corey Conners, l’un des sept amateurs du tableau, à vire de façon positive cette formidable expérience.

Ingram, qui assistait également à son premier Tournoi des Maîtres, a recouru à un mantra simple : « mettre la balle dans le trou ». Parfois, dans le grand ordre d’un championnat majeur, ce sont les petites choses qui comptent.

« Il faut se rappeler que c’était Corey Conners qui devait mettre la balle dans le trou, de dire Ingram. À chaque seconde de chaque journée, il devait sentir que je le soutenais totalement. Il ne fallait surtout pas l’inonder de conseils et paniquer. Le mot d’ordre était à la patience. »

Rétrospectivement, il explique qu’il n’est pas toujours facile pour un entraîneur de proférer toujours les bonnes paroles 12 ou 14 heures par jour.

« Il est impossible de savoir quelle chose dite durant la journée fera la plus grande différence. Tout est affaire de synchronisme – et il ne faut pas oublier qu’il vaut parfois mieux se taire », déclare Ingram, membre de classe « A » de la PGA du Canada.

Conners, 23 ans, a obtenu son visa pour le Tournoi des Maîtres en 2014, grâce à sa deuxième place au Championnat amateur masculin des États-Unis. L’Ontarien de Listowel a été le meilleur amateur sur le parcours Augusta National, un fait impressionnant mais qui ne surprend pas Ingram.

« Le temps fort a été la carte de 69 qu’a signée Corey en deuxième ronde. Il a joué comme je sais qu’il en est capable, de dire Ingram. C’est quelque chose de spécial de jouer aussi bien sur un parcours aussi difficile et lors du plus important tournoi au monde. Mais Corey est un joueur de cette trempe. »

Diplômé de Kent State, Conners est devenu professionnel cette semaine à l’occasion du tournoi RBC Heritage, accédant du même coup à la formation Jeune pro d’Équipe Canada. La formation compte maintenant cinq hommes, ce qui, selon Ingram, est à la fois un signe positif et un nouveau défi.

« D’abord, je suis très content de l’existence du programme Jeune pro. Nous avons cinq joueurs vraiment talentueux. Mon défi, c’est d’assister à des tournois qui sont disputés sur plusieurs circuits. Cela dit, ces gars-là sont très solides et je suis fier de ce que nous avons fait pour leur apporter notre soutien. »

Ingram sourit quand on lui demande s’il a été en mesure de frapper quelques balles à Augusta.

« Je n’ai pas eu le temps, car ma responsabilité, c’était de soutenir Corey de mon mieux. De plus, Augusta a des horaires très serrés. La prochaine fois peut-être. »

Blog Gordon et le golf

La bonne chose au bon moment

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On pourrait dire que c’est l’équivalent golfique de l’expression « du berceau au tombeau ».

Baptisé Développement à long terme du joueur 2.0 (DLTJ 2.0), ce guide a été rendu public en février, à l’occasion de l’Assemblée générale annuelle de Golf Canada. Et il est d’une extrême importance. Pour tout dire, Glenn Cundari, directeur technique de la PGA du Canada, constate déjà « le fruit de nos efforts », sur les scènes amateur et professionnelles, depuis la publication de la version originale.

15-03-27 - LTPD 2.0 Cover FR

« Nous avons commencé à travailler la première mouture en 2006 », indique Cundari qui, en compagnie de plusieurs autres experts, a joué un rôle de premier plan dans l’élaboration du guide même, ainsi que dans la préparation des appendices. Il note en passant que le golf canadien, masculin et féminin, a amorcé son ascension dans la foulée de la publication du guide. Tout observateur sérieux de la scène golfique canadienne ne peut qu’en convenir.

La dernière édition comporte certes de nombreuses améliorations, mais, selon Cundari, le concept fondamental n’a pas changé depuis neuf ans. « L’idée, c’est de créer une culture basée sur le principe qu’il faut faire la bonne chose au bon moment. Nous devons penser à long terme et non seulement dans l’immédiat, ce qui constitue un défi pour tout le monde : les parents, les circuits, les médias et même les joueurs. »

C’est précisément à cette fin que, peu après que Sport Canada eut désigné Golf Canada Organisme national de sport pour le golf en 2005, a été recrutée une équipe d’experts en divers domaines. Initiateurs du projet, Golf Canada et la PGA du Canada ont retenu les services de spécialistes tels Stephen Norris, vice-président de l’institut WinSport Canada, et Istvan Balyi, scientifique du sport pour le mouvement Au Canada, le sport c’est pour la vie, pour qui le développement de l’athlète n’a pas de secret.

En compagnie de Cundari et de Jeff Thompson, directeur en chef du sport à Golf Canada, Balyi était présent à l’assemblée de Golf Canada où a été dévoilé le DLTJ 2.0. L’un des architectes du modèle Développement à long terme de l’athlète (DLTA), Balyi a été conseiller pour 50 sports dans sept pays et a aidé plus de 20 nations à implanter le DLTA. Il a beau ne pas être un maître-golfeur, il sait une ou deux choses à propos du développement du joueur.

Dans un article publié en 2013 dans la revue Actif pour la vie, Balyi écrivait : « Le DLTA intègre une gamme quelque peu complexe des sciences du sport et des meilleures pratiques d’entraînement afin d’optimiser la méthode pour développer des athlètes au Canada. En fait, il a une vocation unique : amener nos enfants à faire les bonnes choses au bon moment, dans de bonnes conditions, durant leur développement. »

15-04-22 - Golf For Life Image FR

L’influence de Balyi est omniprésente dans le guide, comme en témoigne la structure du document. La brochure de quelque 80 pages à reliure spirale décrit sept étapes de développement sur le sentier de la compétition sous l’en-tête Golf pour la vie : Enfant actif, S’amuser grâce au sport, Apprendre à jouer au golf, Initiation à la  compétition, Apprendre à compétitionner, S’entraîner à compétitionner et Compétitionner pour gagner. Comme on le voit, le processus commence à la naissance et, théoriquement, se termine à… vous savez quoi.

Cela ne fait pas pour autant du DLTJ 2.0 un document définitif en ce qui concerne le développement des golfeurs de compétition au Canada. Jeff Thompson y voit plutôt « l’ossature, le plan, le cadre sur lesquels bâtir la programmation ». Et d’ajouter : « C’est un processus en constante évolution. »

En effet – et à cet égard le guide est on ne peut plus clair -, le but est d’aider chaque golfeur canadien à réaliser son potentiel tout en augmentant la participation au golf.

Le DLTJ 2.0 reconnaît aussi que les objectifs ambitieux mais atteignables qu’il fixe exigent que toutes les parties prenantes mettent la main à la pâte. Outre les organismes nationaux comme Golf Canada et la PGA du Canada, ces intervenants comprennent les professionnels de club, les propriétaires de parcours, les administrateurs et les parents.

Certes, Cundari se réjouit de ce que ses collègues de  la PGA du Canada soutiennent le concept du DLTJ, mais en même temps il regrette que la notoriété du programme laisse à désirer. Cela devrait changer puisque l’on peut se procurer le guide à un coût nominal sur le site Web de Golf Canada où une version téléchargeable en format PDF est également disponible. Une application mobile innovante a été mise au point ainsi que d’autres ressources d’appoint, y compris des vidéos. Entraîneurs et instructeurs certifiés peuvent y accéder à www.golfcanada.ca/dltj, tout comme les parents et les autres parties intéressées.

Ces « parties intéressées » comprennent sans doute les entraîneurs de golf communautaire, un nouveau concept également dévoilé lors de l’assemblée générale de février.

Entraîneur de golf communautaire est un programme conçu par la PGA du Canada en collaboration avec l’Association canadienne des entraîneurs (ACE) et Golf Canada pour former des entraîneurs bénévoles au niveau communautaire, particulièrement des parents.

Soutenu par Premiers élans CN, l’atelier de formation Entraîneur de golf communautaire de la PGA du Canada est destiné aux personnes désireuses d’enseigner les rudiments du golf aux jeunes. Grâce à cet atelier, ces bénévoles pourront diriger des jeux et activités adaptés aux besoins des enfants, donner des leçons comprises dans la base de données de Premiers élans CN, diriger les niveaux 1 à 3 du programme Apprendre à jouer de Premiers élans CN et aider le professionnel local de la PGA du Canada dans la prestation des niveaux 4 à 7 de ce même programme. Finalement, l’association provinciale reconnaîtra l’entraineur de golf communautaire  comme entraîneur de l’ACE. Quiconque est intéressé peut s’enquérir auprès de son association provinciale.

« Notre vision doit englober toutes les personnes du pays à qui le golf tient à cœur. Il faut les convaincre de faire de notre vision un réalité », indique Scott Simmons, chef de la direction de Golf Canada. « Le DLTJ est un outil pour y parvenir. Tout le monde doit faire front commun pour concrétiser cette vision. »

Blog Règles et situations de jeu

Un début prometteur

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Dale Jackson, Mark Dusbabek, Adam Helmer and Grant Moir (Gerry Bower/ twitter.com)

Golf Canada a tenu son premier Atelier sur les règles et l’administration des tournois le week-end dernier à Toronto. Soixante personnes ont participé à ce séminaire de quatre jours qui a abordé les sujets les plus divers, de la préparation des parcours aux scénarios des règles en passant par le statut d’amateur. Plusieurs conférenciers invités renommés ont rehaussé de leur présence ce séminaire.

Grant Moir, directeur des règles du golf au Royal and Ancient, a partagé son expertise avec les participants. Ceux-ci ont tiré profit de sa rare compétence en matière de règles ainsi que de sa vaste expérience des championnats professionnels et amateurs d’élite.

Mark Dusbabek, officiel du PGA TOUR et délégué à l’Omnium canadien RBC, a proposé plusieurs histoires et scénarios tirés du PGA TOUR. Il a aussi donné un cours très apprécié sur l’allégement dans le cas d’obstructions inamovibles temporaires.

Dale Jackson, président du Comité des règles de Golf Canada, et Jack MacDonald, ex-président du même comité, ont utilisé leurs nombreuses années d’expérience pour offrir aux participants des points de vue uniques sur l’arbitrage.

Barbara Allan, présidente du Comité des compétitions amateurs de Golf Canada, a fait état des meilleures pratiques pour les préposés aux départs et aux scores. Adam Helmer, directeur des règles, des compétitions et du statut d’amateur à Golf Canada, a coordonné et dirigé plusieurs sessions du séminaire.

Bill Paul, directeur en chef des championnats à Golf Canada, a partagé sa vision de l’Omnium canadien RBC. Jeff Thompson, directeur en chef du sport à Golf Canada, a fait un exposé sur Équipe Canada et la deuxième version du Guide du Développement à long terme du joueur de Golf Canada.

Le succès d’un séminaire repose certes sur la qualité des présentateurs, mais aussi sur l’attention et la concentration des participants. Ceux du week-end dernier ont démontré que les tournois de notre pays étaient entre bonnes mains. Golf Canada  les remercie ainsi que les instructeurs. Avec des guides si passionnés et compétents, le sport du golf ne peut que progresser.