Dollard St-Laurent laisse aussi son héritage au golf
Avec raison faut-il mentionner, le décès de Dollard St-Laurent a beaucoup été souligné par le Canadien et la LNH. L’ex-défenseur du Tricolore est décédé lundi à Beloeil, sur la Rive-Sud de Montréal, à l’âge de85 ans.
Aussi porte-couleurs des Blackhawks, Monsieur St-Laurent a été un des fondateurs avec Ted Lindsay et Doug Harvey du premier syndicat des joueurs, un moment-phare du sport lorsqu’on connaît le pouvoir des joueurs de nos jours.
Ce qui doit également être mis en évidence est l’impact du disparu au golf.
Après sa carrière au hockey, le golf est devenu le sport de Monsieur St-Laurent.
Il a été capitaine et président influent à Beloeil.
Avec Jean-Paul Alary, le disparu âgé de 85 ans a beaucoup cru au golf junior.
Monsieur Dollard a été précurseur en instituant ce stage pour les espoirs de partout au Québec avec Jack Bisseger, Luc Brien, Jean-Guy Périard, André Gagnier, André Maltais, Phil Giroux et combien d’autres.
«Dollard St-Laurent a été une personne remarquable. Il ne parlait jamais contre les autres et a accompli plein de réalisations dans notre sport», de dire Daniel Talbot.
Son fils Michel St-Laurent est un ex-président de Golf Québec. Il est aussi un gouverneur à Golf Canada.
De la part de l’ensemble du golf au Québec, l’auteur se joint aux René Noël, Guy Fabre, Mike DeFalco, Robbie Jackson, Bruce Heuchan, Michel Pépin, Daniel Talbot et tant d’autres afin de remercier Dollard St-Laurent pour son exemple et son influence positive.
Nos plus sincères condoléances à Michel St-Laurent et sa famille.
Nos hommages, Monsieur Lach
Nos sympathies vont également à la famille d’Elmer Lach, décédé à 97 ans, lui qui avait été un très fervent amateur de golf et membre du club Summerlea au terme de sa carrière au hockey durant laquelle il a connu des heures glorieuses comme centre de la « Punch Line » en compagnie de Toe Blake et Maurice Richard.
Denis Messier, un invité spécial à son 20e Masters
Il existe bien peu de différence entre Denis Messier et le champion en titre Bubba Watson, Rory McIlroy, Tiger Woods, Phil Mickelson, Adam Scott ainsi que tous les autres participants au Tournoi des maîtres cette année.
À l’instar de ces grands noms, le journaliste sherbrookois a aussi reçu une lettre personnelle signée de la main du président Bill Payne pour un moment quand même particulier.
Cette année marque le 20e séjour ou pèlerinage de celui qui demeure actif au quotidien La Tribune.
«Ma première expérience à Augusta remonte au début des années 1970. Je m’y étais arrêté sur le chemin de retour de la Floride. J’avais toutefois dû revenir avant la fin en raison du travail au journal», commence par expliquer celui qui était alors directeur des sports du quotidien des Cantons-de-l’Est.
Pour les plus jeunes, il y avait les Expos en plus du Canadien qui multipliait les Coupes Stanley dans la très agréable et fébrile réalité sportive des printemps de l’époque.
Les années ont filé, mais la flamme du «Masters», elle, ne s’est jamais éteinte chez Denis Messier.
Un jeune l’a ramené sur le site en 1997.
«Je voulais absolument voir Tiger alors le jeune phénomène», spécifie-t-il.
Il n’a plus jamais cessé d’y retourner.
Cette année s’avère sa 19e visite de suite avec le même rituel à l’égard de Martha Wallace, la digne dame responsable des accréditations qui a vu Sam Snead et les gros dactylos ce qui n’est pas d’hier dans un cas comme dans l’autre de toute manière.
«Bien sûr que j’ai encore cette année mon sirop d’érable à offrir en cadeau à Madame Wallace», affirme-t-il.
SES MEILLEURS SOUVENIRS…
On a demandé à Denis Messier les moments le plus mémorables durant ces deux décennies.
«La victoire de Tiger en 1997. Malgré un premier neuf de 40, il avait complètement dominé à la fois le parcours et la compétition (combiné de -18 pour une avance de douze coups) pour écrire l’histoire en devenant le plus jeune champion de l’histoire (à 21 ans)», mentionne-t-il.
«Il est impossible d’oublier Mike Weir en 2003 qui a mérité son veston vert en prolongation», enchaîne-t-il.
Les nombreuses images du passé défilent à la vitesse du kaléidoscope dans la tête de notre jubilaire.
«Deux autres moments très précieux sont les adieux d’Arnold Palmer et Jack Nicklaus (respectivement quatre et six fois titulaire). Je me considère comme très privilégié d’avoir pu suivre les deux légendes lors de leur dernier 18 trous», précise-t-il avec émotion.
Toutefois, il faut ajouter ses trois parties de golf à Augusta en 1998, 2005 et 2013, l’organisation du Masters faisant un tirage pour permettre aux médias de jouer le parcours le lendemain du tournoi.
«Cela est évidemment toujours très spécial comme occasion et 2013 l’a été encore plus alors que j’ai enregistré des normales sur les quatre normales trois du site», révèle-t-il très fier.
UN À LA PROCHAINE…
Tout cela dit, il faudrait bien savoir la teneur de la lettre de Bill Payne qui n’écrit pas à Sherbrooke toutes les semaines quand même.
«Pour ce 20e, il m’offrait des billets pour que je sois accompagné d’une personne à mon choix », annonce-t-il.
Le très heureux chanceux est Marc Grenier, un ami en remontant aux années du Country Club de Sherbrooke et la présidence à Milby avant de devenir directeur général à Royal Bromont, au Ki-8 Eb et Royal Québec où il a fait 20 ans ou presque avant de revenir à Sherbrooke y savourer la retraite.
«Marc est un grand passionné de golf et je sais qu’il va donc apprécier», est convaincu le généreux donateur qui comptait déjà comme compagnon de séjours ses collègues journalistes André Rousseau (Les coulisses du sport) et Réal Labbé (Le Soleil) aussi des réguliers sur place.
Pour ceux et celles qui n’ont pas été retenus, Denis Messier nous donne tous de l’espoir.
«On m’a aussi appris que c’est ma famille que l’on me permettra alors d’inviter après 40 ans», termine Denis Messier.
Il risque donc d’être tout un paquet à vouloir devenir son cousin ou sa cousine de la fesse gauche. Faites-nous confiance, on trouvera bien un moyen de vous refiler son numéro de cellulaire à ce moment…
L’enseignement des règles du golf du point de vue d’un instructeur
Pour certains, l’enseignement est le plus noble des métiers. Après avoir acquis des connaissances, il importe de les transmettre pour le bien d’autrui, mais aussi pour assurer leur propagation et leur multiplication.
Le week-end dernier, on m’a demandé d’assumer le rôle de l’expert en matière de règles du golf à l’occasion d’un séminaire de Golf Canada sur les règles du golf. Au Point Grey Golf and Country Club de Vancouver, j’ai eu l’honneur de partager mes connaissances en compagnie du président du Comité des règles, Dale Jackson, et de deux membres du Comité du statut d’amateur, Susan White et Dan Sabourin. Voilà une responsabilité que nous ne prenons pas à la légère.
Certes, il y a beaucoup à apprendre pour mieux comprendre ce sport que nous chérissons tous, mais transmettre ses connaissances est une autre paire de manches. Nous sommes confrontés au problème inhérent à l’enseignement, toutes matières confondues : quelle est la meilleure méthode pour faciliter l’apprentissage de vos élèves? Que puis-je faire de plus pour livrer un message clair et net? Tel est le défi de l’enseignement. Vous pouvez passer des heures à disserter, jeux de rôles et diagrammes à l’appui, mais en fin de compte c’est la performance de l’élève qui détermine la qualité du maître. De ce point de vue, je sais que je peux faire mieux.
Je veux que chacun de mes élèves passe son examen haut la main. Je veux qu’ils excellent et qu’un jour, ils me côtoient sur le podium pour transmettre à leur tour leurs connaissances. J’espère seulement m’améliorer à chaque séminaire, à chaque leçon, pour que mes élèves comprennent mieux les règles du golf et se souviennent de la bonne décision à rendre dans telle ou telle situation.
Quatre autres séminaires auront lieu cette saison, et je serai à la barre de trois d’entre eux. À Toronto, du 16 au 19 avril, il sera question de règles et de la gestion d’un tournoi. À Regina, aura lieu du 23 au 26 avril, un séminaire sur le Niveau 4 des règles du golf où je serai accompagné de Mary Beth McKenna, Jack McDonald et Brian Lee. Enfin, je dirigerai un dernier séminaire à Halifax, du 30 avril au 3 mai. Le séminaire de Montréal, du 23 au 26 avril, sera donné par deux experts aguerris, Jacques Nols et Diane Barabé.
Il est encore temps de vous inscrire. Vous trouverez de plus amples renseignements ici. J’espère que vous prendrez autant de plaisir à apprendre que moi à enseigner.
Les snowbirds étaient de retour en Floride cet hiver au bonheur de Daniel Pesant
Avez-vous passé un bel hiver? La réponse est très agréablement oui dans le cas de Daniel Pesant, notre plus international des pros du Québec en histoire.
Après avoir été à la barre du club Saint-Jean, sa très belle carrière l’a amené à des endroits comme Casa de Campo (République Dominicaine) et Saint-Nom-la-Bretèche (France) qui ont retenu ses services avant son aventure floridienne à Boca West, Aberdeen, Doral et depuis treize ans déjà au Village Golf Club devenu le club des Québécois dans la région de Royal Palm Beach.
«Parler de 400 à 500 golfeuses et golfeurs du Québec qui sont venus jouer chez-nous chaque semaine représente un chiffre réaliste», déclare le pro-proprio à The Village.
Encourageante nouvelle donc pour les clubs, il a senti un retour d’intérêt chez les snowbirds.
«Même si les chiffres ne pas sont ceux de 2006 et 2007, les gens sont revenus. Ils disputent moins de parties, mais ils jouent. Le défi de notre industrie est de stimuler la relève», déclare ce visionnaire depuis des années.
La chute du dollar canadien a-t-elle ralenti les ardeurs?
«Les gens étaient plus serrés à la fin, mais encore là, ils jouaient même si cela a été réduit à deux fois semaine plutôt que trois ou quatre», affirme-t-il.
Un allié de Daniel Pesant est la mouvance.
«Ils commencent à être nombreux les Québécois à quitter les endroits plus au sud pour venir s’installer à West Palm Beach ou même Boynton Beach où nous avons de la clientèle», révèle-t-il.
Il faut admettre que Daniel Pesant, un véritable Jean Béliveau des verts, gâte son monde.
DÉJÀ PRÊT EN PRÉVISION DE L’HIVER PROCHAIN!
Une promotion pour acheter des parties à 38$ plutôt que 58$ au prix régulier en prévision de l’hiver prochain est en cours jusqu’au 30 avril.
L’impact des snowbirds est majeur.
«Même si les signes sont évidents que la Floride se sort de sa très difficile passe financière avec l’emploi et l’immobilier qui ont repris pour les résidents permanents, il reste que les affaires ici se passent l’hiver. L’été nous coûte 50 000$ par mois. Il faut donc être créatif au bon moment», poursuit-il.
Par ailleurs, il reste une marge à combler pour revenir à la profitabilité des années 2006 et 2007. Mais bon.
«On n’est pas des millionnaires avec un terrain golf, mais je peux dire que nous sommes riches en bons moments connus cet hiver», de conclure Daniel Pesant.
Il en va de même pour les habitués à «The Village».
AU PAYS DE LA PELLE!
Après les palmiers en début de chronique, place à la neige et Rémi Bouchard qui en aura par-dessus la tête.
Il passe le début de la semaine au Nouveau-Brunswick enseveli comme jamais pour rencontrer les gens de l’Association provinciale et des clubs de golf dans son rôle de directeur à Golf Canada.
Cela nous permet de saluer les gens des Maritimes qui nous lisent et de les remercier de continuer de nous suivre.
STATISTIQUE
Jim Walker est devenu le premier en dix tournois à la PGA à l’emporter après avoir entrepris la dernière journée en tête du classement.
JOUERA-T-IL, JOUERA-T-IL PAS?
Réponse à la question la plus demandée: non, Tiger n’a pas encore décidé s’il sera du Tournoi des Maîtres et oui il a encore toute la semaine pour se faire une idée.
Lui aussi à la même interrogation : comment peut-il espérer retrouver la magie une semaine donnée alors qu’elle est disparue depuis des mois, sinon des années, du côté des grands chelems?
FORE!
L’ami Gilles Terroux nous apprend que le club International 2000 a reçu 70 golfeurs dimanche et plus renversant encore, il n’y aurait zéro fracture des poignets avec le gel au sol.
Pour la difficulté, on repassera…
Il semblerait que le golf soit un sport difficile et que ce serait pour ça qu’on perd des golfeurs actuels ou potentiels? Désolé, mais à mes yeux, cette excuse ne tient pas la route.
Ah notre beau Canada, pays du hockey!
Nos enfants n’ont pas trois ans qu’on leur met des patins dans les pieds, un casque sur la tête [du moins, j’espère que quiconque tient à la santé de son rejeton fait ça…] et qu’on leur fait pousser un appareil conçu spécifiquement pour l’apprentissage du patinage tout en rêvassant de le voir un jour gagner bien plus qu’une médaille ou des millions : du bonheur et du plaisir!
Quand on revient sur terre, on voit bien que cet apprentissage ne se fera pas tout seul, que ça prendra un certain temps et des efforts soutenus, car patiner n’est pas simple. Et apprendre le hockey, la ringuette ou le patinage artistique l’est encore moins, puisque plus de 70 % des mouvements qu’on doit effectuer le sont au moment où l’on n’est pas en parfait équilibre.
Parlons de baseball. L’une des choses les plus difficile à faire – voire la plus difficile, tous sports confondus – est de frapper une balle de baseball. Avec un bâton dont la forme est ronde, il faut frapper une balle… ronde! De plus, cette balle nous arrive en mouvement, à une vitesse, une rotation et une direction qu’il faut juger en une fraction de seconde, tout en synchronisant son élan pour que celui-ci nous permette de réussir à faire un bon contact. Les meilleurs ont une chance de succès de 30 %.
Voulez-vous qu’on parle de tennis maintenant? De soccer? De basketball? De boxe? D’entraînement au gym? Quoi d’autre?
Loin de moi l’idée de faire le procès des autres sports. Toute activité sportive comporte ses difficultés et le golf n’est pas différent.
Mais ce qui me motive à en parler, c’est que le golf n’est pas plus difficile à jouer qu’un autre sport. Il suffit de s’y mettre, de s’y intéresser et de le pratiquer. Si l’on exposait nos jeunes au golf autant qu’on le fait au hockey, il y aurait de bonnes chances qu’ils continuent de jouer et qu’ils partagent leurs moments de plaisir avec leurs amies et amis.
L’autre grande qualité du golf, c’est qu’on peut le jouer pendant toute sa vie. Et il est plus sécuritaire que bien d’autres: personne ne t’accroche ou te donne une mise en échec. Les chutes sont pas mal plus rares qu’à vélo et tu n’as pas besoin d’être dans une grande forme physique pour avoir du plaisir à le pratiquer.
En fait, mon collègue Mario Brisebois m’a rappelé que Phil Giroux disait toujours : « Le golf n’est pas un sport, mais un jeu. » Alors, commençons donc par le jouer.
Et si on a des aptitudes pour « compétitionner », on verra…
Pour des informations sur les programmes de golf junior de Golf Canada, visitez premierselanscn.com.
Adams Golf lance sa gamme de produits Blue
En ce 30 mars 2015, Adams Golf, chef de file en matière d’innovation et de technologie hybride, lance aujourd’hui sa nouvelle gamme de produits Blue, un ensemble exclusif de bâtons composé d’un bois de départ, de bois d’allée, d’hybrides et d’une combinaison de fers. Chacun des bâtons au sein de l’ensemble Adams Blue a été conçu pour aider les joueurs à frapper leurs coups plus en hauteur de façon plus constante.
La gamme de bâtons Blue offre un look esthétique et un sentiment de confiance aux joueurs. Chaque bâton est muni du tout nouveau système Easy Launch exclusif à Adams.
La principale caractéristique du système Easy Launch, qui tire son origine des précédents modèles Adams, est l’encoche d’accélération située sur la semelle du bâton et qui procure à la fois plus de flexibilité sur la face du bâton et une vitesse de balle plus constante à l’impact. Les joueurs obtiennent ainsi plus de distance et de précision sur leurs coups et retirent donc davantage de satisfaction et de plaisir de leur jeu grâce à la haute performance des bâtons Blue.
Le système Easy Launch offre également un CG surbaissé et en retrait avec tous les bois de métal et les fers de la gamme Blue. Un centre de gravité surbaissé et le plus en retrait possible procure un envol plus élevé, une rotation accrue et finalement une trajectoire prolongée dans les airs à tous les coups. Plus la balle reste dans les airs, plus elle parcourt de distance. La position du CG des bâtons Blue aide tous les joueurs, peu importe leur élan, à atteindre des conditions d’envol optimales.
En plus de l’encoche d’accélération et du centre de gravité surbaissé et en retrait, les bâtons Blue sont munis des nouvelles tiges SlimTech exclusives à Adams, dont la pointe plus étroite procure un point de flexion plus bas et un envol accru à tous les coups, peu importe la position de la balle.
« C’est tout simple, les bâtons Adams Blue sont conçus pour aider le joueur à frapper des coups plus hauts et plus précis de façon plus constante, explique Brian Bazzel, Directeur principal, Création des produits. Avec leur design à la fois simple et raffiné, leur look esthétique et leur performance éprouvée, les bâtons Blue procurent encore plus de plaisir aux joueurs. »
Pour plus de détails et des coups plus en hauteur, visitez AdamsGolf.ca.
Sonny Michaud s’affirme au «mini tour» de l’Arizona
Après deux cartes identiques de 70 pour l’ex-Rouge et Or natif de Rouyn-Noranda, Sonny Michaud a bouclé avec 69 pour un cumulatif de -7 au rendez-vous d’Ocotillo au pays des cactus.
Ancien champion du Québec chez les juniors alors qu’il était l’élève de Gerry Piette, celui-ci pro pendant plus de deux décennies au club Dallaire, Michaud a pris la 8e à place au classement final.
L’Américain Jake Younan-Wise est sorti victorieux par la ronflante marge de neuf coups à -18 comme quoi il se joue du golf inspiré dans les ligues de développement.
Sonny Michaud compte donc maintenant trois top dix en quatre participations en Arizona, dont une 2e position plus tôt en mars.
Deux autres gradués du Rouge et Or, Charles Côté (71-75-71 ) de Thetford-Mines, et Clément Hervioux (72-78-74), un Français établi à Québec par ses études à l’Université Laval, ont scellé 22e et 35e à +1 et +8 respectivement.
Ping s’adapte aux femmes
Lors de la Founders Cup disputée à Phoenix la semaine dernière, le fabricant PING a profité de la visite de 17 de ses golfeuses associées à la LPGA à assister au lancement du nouveau logo de la compagnie.
Ce nouveau logo servira à mieux identifier la marchandise destinée aux femmes. Il apparaîtra sur leur sac, leur casquette et leur parapluie, de même que sur la nouvelle collection des bâtons Rhapsody.
PING est le premier grand fabricant d’équipement à identifier si clairement la marchandise qui s’adresse aux femmes.
La semaine dernière, Nike Golf était la première compagnie à proposer une collection proposant un nouveau code vestimentaire afin de plaire à une clientèle plus jeune.
Le golf est en grande transformation et on se rend compte que beaucoup d’efforts sont déployés par les fabricants afin de hausser leurs parts de marché.
La ruée vers l’or
Des émissions de télévision comme Antiques Roadshow, Auction Hunters ou Storage Wars nous ont appris que nous possédons souvent sans le savoir des objets de valeur. Qui sait? Peut-être tel bidule poussiéreux qui fait partie du patrimoine familial depuis des générations est-il précieux. Chose certaine, connaître sa valeur est une grande source de plaisir.
Posséder un trésor enterré est une chose, mais partir à la découverte d’un joyau caché est une autre paire de manches. Que vous soyez un adepte de la chasse aux trésors, un collectionneur ou un colporteur, le salon et encan annuels de la Golf Historical Society of Canada (GHSC) a de quoi satisfaire tous les goûts. Vous avez dans votre grenier des bâtons ayant appartenu à votre grand-oncle ou un petit trophée d’une autre époque? Soyez assuré que la GHSC veut au moins y jeter un coup d’œil. Le 19 avril, au Musée et Temple de la renommée du golf canadien, des évaluateurs et collectionneurs seront sur place pour séparer le bon grain de l’ivraie…
Les membres et historiens de la GHSC, toujours à l’affût de la perle rare, prendront le temps d’identifier et d’évaluer vos objets de golf. Bâtons et tees, balles et trophées, livres et photographies : l’heure est venue d’en avoir le cœur net quant à la valeur réelle de ces pièces.
Vous êtes un collectionneur débutant? Vous cherchez le cadeau parfait de la fête des Pères? Des marchands vous éclaireront et dénicheront pour vous la plus rare des reliques.
Magazinez. Partagez. Soumissionnez. Et passez un après-midi de plaisir à découvrir l’histoire du golf. L’entrée à cet événement et le stationnement sont gratuits.
Les portes ouvriront à 10h et l’encan commencera à 14h. Tous sont les bienvenus.
Le Musée et Temple de la renommée du golf canadien est situé sur la propriété du Glen Abbey Golf Club, 1333 Dorval Drive, Oakville, ON, L6M 4X7.
Je suis à votre disposition pour répondre à vos questions. N’hésitez donc pas à me contacter, Meggan Gardner, au 1-800-263-0009, poste 411, ou à mgardner@golfcanada.ca.
Quoi de neuf dans la saison des championnats 2015?
Chaque année, des milliers de concurrents canadiens et étrangers participent aux championnats de Golf Canada : championnats Premiers élans CN, championnats nationaux amateurs, Circuit canadien féminin, Championnat mondial junior féminin, Championnat du PGA TOUR Canada présenté par la Financière Liberté 55 et les deux championnats nationaux ouverts du Canada, l’Omnium canadien RBC et l’Omnium féminin Canadien Pacifique.
Nous nous efforçons de présenter des tournois « premiers de classe », et c’est pourquoi notre personnel et nos bénévoles cherchent continuellement à améliorer nos championnats afin de rehausser l’expérience des participants et participantes. En 2015, des changements seront apportés à nos championnats féminins ainsi qu’à d’autres compétitions.
Championnats nationaux féminins

Notre personnel et le Comité des compétitions amateurs sont heureux d’annoncer des modifications à nos championnats féminins. Traditionnellement, les compétitions des divisions mid-amateur et mid-maître avaient lieu dans le cadre du Championnat canadien amateur féminin. Dorénavant, elles se dérouleront à l’occasion du Championnat canadien sénior féminin qui cette année aura lieu au Sawmill Creek Golf & Country Club, du 25 au 28 août, à Camlachie, en Ontario. Nous encourageons vivement les concurrentes des divisions mid-amateur et mid-maître à participer quand même au Championnat canadien amateur féminin, mais nous estimons que ce changement favorisera la participation d’un plus grand nombre de golfeuses de ces deux catégories. Pour en savoir plus sur les compétitions mid-amateur et sénior, consultez le formulaire d’inscription ici.
Championnat mondial junior féminin

Alors que le golf féminin est en essor à l’échelle mondiale, Golf Canada a eu l’honneur d’accueillir le tout premier Championnat mondial junior féminin en septembre 2014. L’édition 2015 aura lieu du 20 au 25 septembre au Marshes Golf Club, dans la capitale du pays. Voilà un excellent parcours, doté d’installations de première classe. De plus, il sera facile de s’héberger à proximité du club. Le tournoi se déroulera donc dans une ambiance digne d’un championnat du monde. On trouvera ici tous les détails sur le Championnat mondial junior féminin.
Circuit canadien féminin

Le Circuit canadien féminin entamera sa 14e saison. En plus d’être une plateforme compétitive pour les professionnels et les amateurs d’élite du Canada et de l’étranger, ce circuit offre des laissez-passer pour l’Omnium féminin Canadien Pacifique. Le Glencoe Golf & Country Club (parcours Meadows) de Calgary accueillera le premier tournoi du 25 au 27 mai. La deuxième étape aura lieu début juillet dans la région d’Ottawa. Finalement, le Championnat féminin de la PGA du Canada constituera le tournoi de clôture, du 20 au 22 juillet, au Burlington Golf & Country Club (Burlington, ON). Professionnels et amateurs peuvent s’inscrire au Circuit canadien féminin sur notre calendrier des compétitions.
Championnat du PGA TOUR Canada présenté par la Financière Liberté 55

Golf Canada et le Circuit de la PGA Canada présentent en partenariat depuis trois ans le tournoi de clôture de ce circuit. Cette année, le Championnat du Circuit PGA Canada présenté par la Financière Liberté 55 sera disputé au Highland Country Club (London, ON). Ce parcours classique de 6 600 verges, à normale 70, a été dessiné par Stanley Thompson. Situé au cœur de London et inauguré en 1922, c’est l’un des plus prestigieux clubs privés de la région. Organisé par Golf Canada, le Championnat du Circuit PGA Canada présenté par la Financière Liberté 55 permettra à cinq joueurs d’obtenir leur carte de membre du Circuit Web.com. Pour en savoir plus sur ce championnat, cliquez ici.
Les inscriptions sont ouvertes pour tous les tournois. On peut le faire par le truchement du calendrier des compétitions de Golf Canada. Les bénévoles peuvent s’inscrire de la même façon ou en passant par le club hôte du tournoi qui les intéresse.