A-t-on besoin de la Coupe FedEx?
Ce n’est pas encore cette année que je vais devenir un fan des éliminatoires de la Coupe FedEx, ces quatre tournois éliminatoires ajoutés au calendrier déjà trop lourd.
À ces rigueurs, il faut ajouter deux étapes du grand chelem et une autre du championnat du monde qui sont entassés entre la troisième semaine de juillet et la mi-septembre, ce qui est énorme.
« J’ai pris un mois complet de congé après l’Omnium des États-Unis pour faire le plein d’énergie en prévision de cette séquence », a admis Jim Furyk. Phil Mickelson, qui a opté de rentrer à la maison plutôt que disputer les quatre rondes à Denver, a prétexté mettre en priorité sa préparation pour la Coupe Ryder, alors qu’on sait très bien qu’il voulait faire comprendre à Tim Finchem qu’il n’est pas un robot.
La Coupe FedEx, une pure création du commissaire, oblige les étoiles à prendre des décisions d’horaire et qui paie pour ça? Les spectateurs…
Pourquoi les fans de golf de Hartford (Championnat Traveler’s), de la Virginie (Greenbrier), de l’Illinois (John Deere), de la Caroline du Nord (Wyndham) ou du Maryland (le tournoi Quicken Loans National de Tiger Woods), ne pourraient-ils pas voir les meilleurs eux aussi?
L’Omnium canadien est coincé
L’Omnium canadien est inclus dans ce stratagème. Pensez un instant au tableau qu’on a eu au club Royal Montréal.
Heureusement que la RBC rémunère Jim Furyk, Ernie Els, Matt Kuchar, Graeme McDowell, Graham DeLaet et Brandt Snedeker pour faire partie de son équipe…
Il faudrait repenser la Coupe FedEx même si cela ne fera certainement pas sous le règne de Tim Finchem.
Pas de marge de manœuvre
Bon an, mal an, les grandes pointures disputent une vingtaine de tournois.
Ils vont évidemment au Tournoi des Maîtres et à l’Omnium des États-Unis aux deux événements du grand chelem qui s’ajoutent aux deux nommés plus haut. Ils vont aussi au Championnat des joueurs au TPC Sawgrass, aux quatre championnats du monde qui sont aussi une création du commissaire et répondent parfois aux appels qui rendent les tournois des légendes Arnold Palmer et Jack Nicklaus incontournables. C’est sans compter leur participation aux coupes Ryder ou des Présidents et à quelques demandes de leurs commanditaires pour aller ici ou là. Et on ne tient pas compte des obligations, pour les Européens, de retourner parfois chez eux. On voit bien que la marge de manoeuvre est devenue bien mince.
Bref, bien vêtir Pierre en déshabillant Paul n’a jamais été l’idéal. C’est pourtant ce que fait le PGA Tour avec sa Coupe FedEx.
Le défi de Sara-Maude
Mes pensées accompagnent également Sara-Maude Juneau, qui joue son année 2015 à compter de jeudi, à Daytona Beach, site du tournoi final du circuit école Symetra.
Pour la deuxième fois en trois ans, elle pourrait devenir membre à part entière de la LPGA. Il lui faudra boucler sa présente saison parmi les 10 premières boursières de ce circuit.
La golfeuse de Fossambault est tout près de son but, se situant au 11e rang.
Laissons parler les $$$ qui décideront de tout : puisque ses gains sont de 36 538$ en 18 sorties, dont la plus reluisante fut sa 2e place au Kansas, il y a deux semaines. L’écart de 2941$ peut donc être comblé.
Cet important tournoi passe de trois à quatre jours, ce qui favorise l’expérience et la bourse bondit de 100 000$ à 150 000$.
Vérification faite, une place au top 10 sans égalité devrait faire l’affaire pour Sara-Maude qui devra finir à -3 si l’on se fie à ses résultats de l’an dernier.
Classée 21e dans les gains avec 25 229$ en 14 sorties parce qu’elle a fait la navette entre les circuits LPGA et Symetra, Maude-Aimée LeBlanc est presque condamnée à gagner à Daytona pour obtenir son accession automatique au plus puissant circuit féminin au monde.
Il restera toujours les qualifications de la LPGA féminin à compter de la semaine prochaine, mais il est préférable de régler ça tout de suite et le plus tôt est le mieux.
Chanceux vous dites?
On ne répétera jamais assez à quel point Greg Norman a été chanceux d’avoir encore sa main gauche après l’accident qu’il a subi avec sa scie mécanique lorsqu’il abattait des arbres chez lui.
« Pourquoi passer par les autres lorsqu’on peut le faire le travail soi-même? », a-t-il écrit plutôt très fier de son initiative.
Échos du 19e trou
Le club Kanawaki présente lundi le tournoi commémoratif Suzanne-Beauregard, longtemps directrice générale de l’Association de golf féminin du Québec…
Ajoutez Sherbrooke à la liste des terrains où l’on parle de créer un autre projet immobilier.
Quelle sera la suite?
Pas sûr de s’envoyer en l’air!
En plus de l’aider à sceller une troisième place lors de l’Omnium KLM, au Pays-Bas, Andy Sullivan a vu que son trou d’un coup réussi à l’aide d’un fer 9 sur une distance de 163 verges) lui a valu un voyage orbital à 100 kilomètres d’altitude. « Pas sûr que je vais accepter », a affirmé Sullivan, tout pâle.
Il faut savoir qu’il avait récemment été soigné en Suisse pour contenir ses craintes de l’avion!
Le Championnat du PGA TOUR Canada laissera un héritage durable à London
À l’époque où les dinosaures rôdaient sur la terre – pardonnez-moi, disons vers 1987 -, Bob Beauchemin et sa femme, dans le sous-sol de leur maison de Brampton, en Ontario, inséraient des lettres dans des enveloppes et léchaient des timbres.
Rien de remarquable de prime abord, sauf que Bob était le président de la division des joueurs de l’Association canadienne des golfeurs professionnels (qui allait bientôt être rebaptisée « Circuit canadien ») et que les enveloppes contenaient des formules d’inscription au tournoi de qualification du circuit. Le budget, voyez-vous, était minime.
Le budget a varié au fil des ans mais, grâce à Bob et à ses successeurs au poste de commissaire jusqu’en 2012 – Richard Grimm, Jacques burelle, Rick Janes -, les bons golfeurs ont toujours eu à leur disposition un circuit où ils pouvaient peaufiner leur talent. Les dotations, les sites et le nombre de tournois étaient certes inconstants, mais notre circuit maison pouvait au moins s’agripper à une bouée de sauvetage.
L’année 2012 aura été significative, car c’est alors que le PGA TOUR a acquis le Circuit canadien, maintenant connu sous l’appellation « PGA TOUR Canada ». Portant désormais une marque reconnue à l’échelle mondiale, le nouveau circuit a gagné en constance. En 2014, par exemple, il a présenté 12 tournois, chacun également doté de 150 000$. De plus, Golf Canada a maintenant la chance d’obtenir des laissez-passer pour les jeunes pros et amateurs les plus méritoires, comme les membres d’Équipe Canada.
« Pour les jeunes joueurs, c’est l’occasion idéale d’évaluer leur talent en se mesurant à des concurrents chevronnés », affirme Bill Paul, directeur en chef des championnats de Golf Canada. « Ils ont ainsi la chance de tester la qualité de leur jeu à ce niveau, ce qui les aide à s’auto-évaluer et à prendre conscience des domaines où ils devront s’améliorer s’ils veulent un jour évoluer sur le PGA TOUR. »
Le calendrier de 2014 se termine ce week-end à London avec le Championnat du PGA Tour Canada présenté par la Financière Liberté 55 et organisé par Golf Canada au Sunningdale Golf and Country Club. En plus d’être le commanditaire attitré du Championnat du PGA TOUR Canada, la Financière Liberté 55 est aussi le commanditaire de deux prix : Joueur canadien de la semaine Liberté 55, prix remis après chaque tournoi du PGA TOUR Canada, et Joueur de l’année Liberté 55, prix présenté à la fin de la saison.
L’enjeu est considérable pour les joueurs qui se sont qualifiés pour le tournoi final – les 60 premiers de l’Ordre du mérite du circuit. Dimanche, les cinq joueurs de tête obtiendront leur carte du Circuit Web.com pour 2015. Les joueurs classés de la 6e à la 10e place obtiendront un laissez-passer pour la phase finale des qualifications du Circuit Web.com. Les joueurs classés de la 11e à la 20e place obtiendront un laissez-passer pour la phase II des qualifications de ce même circuit.
Et grâce au commanditaire principal, une division de la London Life, Compagnie d’Assurance-Vie, l’enjeu est grand pour l’avenir du golf dans la région de la plus importante ville du sud-ouest de l’Ontario.
Golf en milieu scolaire, un programme tout à fait remarquable de Golf Canada, est l’organisme caritatif officiel du Championnat du PGA TOUR Canada de cette semaine.
« Désireux de voir le Championnat du PGA TOUR Canada présenté par la Financière Liberté 55 laisser un héritage à la communauté d’accueil, Golf Canada invitera tous les clubs de golf de London et du sud-ouest de l’Ontario à participer à une campagne d’adoption d’écoles dans le cadre du programme Golf en milieu scolaire », disait le communiqué annonçant l’initiative.
Golf en milieu scolaire est actuellement proposé dans plus de 2 225 écoles élémentaires et près de 230 écoles secondaires du Canada. Le programme vise à initier les enfants au golf par le biais de leurs cours d’éducation physique. Entériné par Éducation physique et santé Canada, Golf en milieu scolaire est un programme mis sur pied par Golf Canada en collaboration avec la PGA du Canada et les associations provinciales de golf. On trouvera de plus amples renseignements sur Golf en milieu scolaire, y compris le volet Adopter une école, en cliquant ici.
« Nous sommes emballés de promouvoir Golf en milieu scolaire », de dire Mike Cunneen, vice-président principal, Financière Liberté 55/Groupe de planification patrimoniale et successorale. « Nous nous sommes engagés dans le programme parce qu’il initie au golf, prône un style de vie sain et, éventuellement, convaincra un plus grand nombre de jeunes de pratiquer le golf. »
Bill Paul souligne également que l’Omnium féminin Canadien Pacifique, tenu récemment au London Hunt and Country Club, a collecté plus de 700 000 dollars pour la Children’s Health Foundation, fonds qui serviront au traitement des maladies cardiovasculaires infantiles, au Children’s Hospital, London Health Sciences Centre.
Ainsi donc, il est indubitable que le golf continuera d’améliorer le sort de plusieurs personnes de cette ville et de ses environs.
« Dimanche, nous ne ferons pas qu’annoncer le nom du vainqueur et ceux des joueurs qui accéderont au Circuit Web.com, mais aussi le nombre d’écoles qui ont été adoptées, de dire Paul. Selon nous, c’est un outil formidable pour laisser un héritage durable à la communauté. »
Québec ne risque pas de devoir attendre 58 ans cette fois…
Parler d’une réussite pour le premier retour à Québec d’un tournoi sanctionné par la PGA américaine depuis l’Omnium Labatt en 1956 est tout sauf exagéré.
Sur le plan sportif, Wes Short Junior en a mis plein la vue en bouclant les trois derniers trous oiselet-oiselet-aigle avec un hybride frappé au-dessus de l’eau au 18e pour un roulé de quelques pieds lui valant 29 au dernier neuf et 64 lors de la journée finale. Il a terminé un coup devant Scott Dunlap.
Dunlap aussi avait enregistré l’aigle au 18e au sein du trio précédent avant de mettre la table pour le suspense.
Vainqueur l’an dernier à La Vallée du Richelieu, Esteban Toledo a failli devenir le premier à l’emporter deux fois au Québec en bouclant troisième à -11 en compagnie de Brad Faxon.
Côté spectacle, les amateurs en ont eu plein la vue avec 57 des 80 inscrits qui ont complété sous la normale.
L’intérêt n’a pas menti
« Nous avons réussi notre meilleur succès en cinq ans », de dire le directeur David Skitt.
Il faudra attendre pour savoir s’ils ont été 45 000 spectateurs ou plus, mais cela n’est pas vraiment nécessaire.
« Juste pour dire à propos de l’enthousiasme, ils étaient 1200 personnes à attendre sous la pluie dans les gradins du terrain d’exercice une bonne heure avant l’arrivée des premiers joueurs, qui n’en revenaient pas », de préciser Skitt.
Toujours à propos des joueurs, ils ont adoré la ville.
L’équipe de La Tempête a été à la hauteur. Une mention spéciale va au directeur général André Raymond et à son épouse Carole.
Comme il y a place à amélioration dans tout, la série des Champions et son président Mike Stevens devront faire leurs devoirs pour amener davantage de grands noms, quoique ceux sur les rangs ont très bien animé le spectacle.
L’avenir s’annonce prometteur
Maintenant, quel est l’avenir de la PGA à Québec? Bien évidemment, aucune annonce ne sera faite dans l’immédiat, dans un sens ou un autre.
Les indices incitent toutefois à penser que les amateurs n’auront pas à attendre un autre 58 ans, à moins qu’une compagnie se présente avec une commandite de quelques millions à la condition de revenir à Montréal, ce qui n’est vraiment pas dans les cartes pour le moment.
Il faut savoir que Synchro fonctionne traditionnellement en bloc de deux ans avec ses parcours hôtes.
De plus, il faut ajouter la présence du maire Régis Labeaume et du ministre Denis Lebel au Championnat. Les politiciens ne font jamais de sortie du dimanche en sachant qu’il y surviendra de mauvaises nouvelles.
À la prochaine, donc!
Échos du 19e trou
- Le golf féminin québécois pleure le décès de Maureen Comisso après un très courageux combat conte le cancer. D’un dynamisme peu commun, c’est elle qui soutenait son entourage affligée par sa maladie. Une ancienne de l’Abitibi issue du milieu du patinage artistique, Maureen a remporté 22 fois le Championnat du club BeauChâteau.
- Le collègue André Rousseau nous apprend que Phil Doucet devient le premier capitaine de l’histoire de Royal Montréal, berceau du golf en Amérique, a être couronné champion du club. Le titulaire a de qui retenir, lui qui est le fils de Duke Doucet.
- Pas vrai qu’il y a de quoi se consoler avec nos problèmes sur les verts lorsque Rory McIlroy commet des quadruples roulés deux jours de suite au 12e trou du Championnat BMW. La différence est qu’il a néanmoins joué 66 lors d’une de ses deux journées de malheur avec le fer droit.
Québec ne risque pas de devoir attendre 58 ans cette fois…
Parler d’une réussite pour le premier retour à Québec d’un tournoi sanctionné par la PGA américaine depuis l’Omnium Labatt en 1956 est tout sauf exagéré.
Sur le plan sportif, Wes Short Junior en a mis plein la vue en bouclant les trois derniers trous oiselet-oiselet-aigle avec un hybride frappé au-dessus de l’eau au 18e pour un roulé de quelques pieds lui valant 29 au dernier neuf et 64 lors de la journée finale. Il a terminé un coup devant Scott Dunlap.
Dunlap aussi avait enregistré l’aigle au 18e au sein du trio précédent avant de mettre la table pour le suspense.
Vainqueur l’an dernier à La Vallée du Richelieu, Esteban Toledo a failli devenir le premier à l’emporter deux fois au Québec en bouclant troisième à -11 en compagnie de Brad Faxon.
Côté spectacle, les amateurs en ont eu plein la vue avec 57 des 80 inscrits qui ont complété sous la normale.
L’intérêt n’a pas menti
« Nous avons réussi notre meilleur succès en cinq ans », de dire le directeur David Skitt.
Il faudra attendre pour savoir s’ils ont été 45 000 spectateurs ou plus, mais cela n’est pas vraiment nécessaire.
« Juste pour dire à propos de l’enthousiasme, ils étaient 1200 personnes à attendre sous la pluie dans les gradins du terrain d’exercice une bonne heure avant l’arrivée des premiers joueurs, qui n’en revenaient pas », de préciser Skitt.
Toujours à propos des joueurs, ils ont adoré la ville.
L’équipe de La Tempête a été à la hauteur. Une mention spéciale va au directeur général André Raymond et à son épouse Carole.
Comme il y a place à amélioration dans tout, la série des Champions et son président Mike Stevens devront faire leurs devoirs pour amener davantage de grands noms, quoique ceux sur les rangs ont très bien animé le spectacle.
L’avenir s’annonce prometteur
Maintenant, quel est l’avenir de la PGA à Québec? Bien évidemment, aucune annonce ne sera faite dans l’immédiat, dans un sens ou un autre.
Les indices incitent toutefois à penser que les amateurs n’auront pas à attendre un autre 58 ans, à moins qu’une compagnie se présente avec une commandite de quelques millions à la condition de revenir à Montréal, ce qui n’est vraiment pas dans les cartes pour le moment.
Il faut savoir que Synchro fonctionne traditionnellement en bloc de deux ans avec ses parcours hôtes.
De plus, il faut ajouter la présence du maire Régis Labeaume et du ministre Denis Lebel au Championnat. Les politiciens ne font jamais de sortie du dimanche en sachant qu’il y surviendra de mauvaises nouvelles.
À la prochaine, donc!
Échos du 19e trou
- Le golf féminin québécois pleure le décès de Maureen Comisso après un très courageux combat conte le cancer. D’un dynamisme peu commun, c’est elle qui soutenait son entourage affligée par sa maladie. Une ancienne de l’Abitibi issue du milieu du patinage artistique, Maureen a remporté 22 fois le Championnat du club BeauChâteau.
- Le collègue André Rousseau nous apprend que Phil Doucet devient le premier capitaine de l’histoire de Royal Montréal, berceau du golf en Amérique, a être couronné champion du club. Le titulaire a de qui retenir, lui qui est le fils de Duke Doucet.
- Pas vrai qu’il y a de quoi se consoler avec nos problèmes sur les verts lorsque Rory McIlroy commet des quadruples roulés deux jours de suite au 12e trou du Championnat BMW. La différence est qu’il a néanmoins joué 66 lors d’une de ses deux journées de malheur avec le fer droit.
Rémi Bouchard avec les champions à Québec
On ne pourra jamais accuser Rémi Bouchard de prendre à la légère son invitation obtenue afin de participer au Championnat de Québec, cette semaine, au Club de golf La Tempête.
Il a fait un voyage aller-retour à La Tempête, vendredi passé, pour être sur place lorsque Dave Skitt, directeur du volet compétitif chez Synchro, a dévoilé la liste officielle des inscrits comptant son nom. Il en a aussi profité pour disputer une ronde de reconnaissance même s’il est le seul familier avec le site qui offrira 1,6 million de dollars en bourses.
Bouchard, Padraig Harrington et Michael Campbell figuraient au nombre des invités spéciaux du « Skins Game ».
Cette sélection fait suite à sa conquête du Championnat sénior de la PGA du Canada en y devançant Rod Spittle et Jim Rutledge chez les Champions.
Les prochains jours ne seront qu’une étape et non une finalité dans son cas.
Le représentant de Golf Canada au Québec et au Nouveau-Brunswick a l’intention de prendre part aux qualifications chez les Champions à compter de novembre dans l’espoir de devenir membre à part entière chez les 50 ans et plus en 2015.
Selon le directeur David Skitt, les compétiteurs à La Tempête revendiquent près de 300 victoires à la PGA.
Yvan Beauchemin, invité à titre de porte-couleurs du club hôte, et Marc Hurtubise, qualifié via le circuit provincial, sont les autres de la province assurés de leur place lors du premier départ, vendredi. Le nombre pourrait toutefois s’accroître avec Serge Thivierge, André Nols, Marc Girouard et Jean Laforce, qui sont de la qualification finale à Royal Québec mardi.
La sérieuse Coupe Ryder à « Saturday Night Live »
Il y a du golf à la télé ce soir et celui-ci est de grand intérêt. Capitaine de l’équipe américaine, le respecté Tom Watson dévoilera ses trois choix discrétionnaires en prévision des rencontres de la Coupe Ryder, qui auront lieu du 26 au 28 septembre à Gleneagles, en Écosse.
Quoi que Tiger Woods ait enlevé des maux de tête en se retirant sa candidature à la mi-août, Watson a des décisions déchirantes à prendre suite à l’ajout de Chris Kirk, victorieux à Boston lundi.
Keegan Bradley, Webb Simpson, Hunter Mahan et Brandt Snedeker sont d’autres poids lourds chez les sérieux candidats.
La PGA fera les choses en grand en présentant les annonces à New York dans les studios de la populaire émission satirique « Saturday Night Live ». Golf Channel y sera en direct à 19h pour la première nomination.
Paul McGinley a révélé ses choix mardi martin, qui sont Lee Westwood, Ian Poulter et Stephen Gallacher. Il a laissé de côté l’ex-numéro un au monde, Luke Donald, très déçu de la tournure des évènements.
L’Europe a enlevé la palme des cinq dernières éditions de la Coupe Ryder.
Mickey Batten et la passion du golf
Lorsqu’on dit que le « golf est le sport d’une vie », Mickey Batten représente l’incarnation de ce dicton.
Chef de file incontesté du golf amateur à la fin des années 70 et au début de la décennie 80, Batten revient de la Colombie-Britannique, plus précisément du parcours mythique de Capilano, où il a remporté le titre national chez les super séniors canadiens.
On le félicite pour son succès et, surtout, d’avoir gardé la flamme de la compétition bien allumée pendant toutes ces années.
Salut Carol!
Si le hockey a perdu un solide joueur, les carrières de 17 saisons dans la LNH n’étant pas légion à son époque, le golf perd un ami avec le décès de Carol Vadnais au cours de la fin de semaine.
En plus d’avoir été un fidèle membre du club Islesmère, où il a été plusieurs fois champion sénior, l’ancien coéquipier de Bobby Orr à la ligne bleue de Bruins a certainement été un des principaux animateurs de l’endroit ou ailleurs.
Jamais je n’ai entendu un propos négatif à son égard. Ses nombreux s’ennuient déjà de lui. Nos condoléances à sa fille Michelle.
Contestations sur le parcours : les règles à la rescousse
Alors que la saison de golf bat son plein, nous avons été témoins de plusieurs contestations, qu’il s‘agisse de championnats de club, locaux, provinciaux et même nationaux. Nos membres, nos clubs membres, nos bénévoles et notre personnel ont été appelés, d’’une façon ou d’une autre, à gérer ces compétitions.
La plupart de ces compétitions se sont déroulées dans l’ordre, sans contestations ni affrontements. Un article récent (vous pouvez le lire en cliquant ici) faisait état de deux golfeurs de Pennsylvanie qui, disputant une partie prétendument « amicale », ont échangé des propos aigres avant d’en venir aux coups à la suite d’un différend sur l’interprétation des Règles du golf.
La complexité des Règles du golf – et des Décisions qui y sont associées – est indéniable. Cela dit, ces « gentlemen » auraient pu recourir aux règles, même s’ils les ignoraient ou ne les comprenaient pas. En outre, ils auraient pu éviter que des accusations ne soient portées contre eux – sans compter un bref séjour à l’hôpital – s’ils s’étaient tournés vers la Règle 2-5 qui a trait à la partie par trous et qui, ironiquement, s’intitule : « Doute quant à la procédure; contestations et réclamations ».
2-5. Doute quant à la procédure; contestations et réclamations
Lors d’une partie par trous, si un doute se présente ou si une contestation est soulevée entre les joueurs, un joueur peut faire une réclamation. S’il n’y a pas de représentant autorisé du comité disponible dans un temps raisonnable, les joueurs doivent continuer le match sans délai. Le comité peut considérer une réclamation seulement si elle a été faite en temps opportun et si le joueur faisant la réclamation a avisé son adversaire à ce moment (i) qu’il fait une réclamation ou qu’il désire obtenir une décision et (ii) des faits sur lesquels sa réclamation ou la décision doit être basée.
Une réclamation est considérée faite en temps opportun si, lorsque les circonstances donnant lieu à la réclamation sont découvertes, le joueur fait sa réclamation (i) avant que tout joueur du match joue depuis l’aire de départ suivante, ou (ii) s’il s’agit du dernier trou du match, avant que tous les joueurs du match quittent le vert, ou (iii) lorsque les circonstances justifiant la réclamation sont découvertes après que tous les joueurs ont quitté le vert du dernier trou, avant que le résultat du match ait été officiellement annoncé.
Une réclamation concernant un trou antérieur dans le match pourra être considérée par le comité seulement si elle est fondée sur des faits jusqu’alors inconnus du joueur présentant la réclamation et que celui-ci a reçu un faux renseignement (règle 6-2a et règle 9) d’un adversaire. Une telle réclamation doit être faite en temps opportun.
Après que le résultat du match a été annoncé officiellement, une réclamation ne peut être considérée par le comité à moins que celui-ci soit convaincu que (i) la réclamation est basée sur des faits qui étaient antérieurement inconnus du joueur faisant la réclamation au moment où les résultats ont été annoncés officiellement, (ii) le joueur faisant la réclamation a reçu un faux renseignement d’un adversaire et (iii) l’adversaire savait qu’il donnait un faux renseignement. Il n’y a pas de limite de temps pour considérer une telle réclamation.
La Règle 2-5 fait souvent référence au comité, celui-ci étant le comité responsable de la compétition ou, si le litige ne survient pas dans le cadre d’une compétition, le comité responsable du parcours – ce pourrait être un bénévole local, un délégué responsable ou votre professionnel de la PGA du Canada.
Tout en fournissant une façon expéditive de régler une contestation, la Règle 2-5 aurait aussi aidé ces deux messieurs à éviter une altercation. Il faut espérer que l’application de la Règle 2-5 règlera toute contestation et réclamation et qu’ainsi vous pourrez jouer votre partie en toute quiétude, avec l’aide, le cas échéant, de votre comité, mais sans impliquer les autorités locales.
Pour de plus amples renseignements sur les Règles du golf, veuillez cliquer ici.
Pour comprendre la procédure concernant les règles, le Système de handicap de Golf Canada, etc., veuillez consulter nos publications sur les Règles du golf en vente à la boutique en ligne de Golf Canada ou dans une librairie près de chez vous.
Des nouvelles du Championnat de Québec
La semaine du 1er septembre au calendrier du Circuit des champions est identifiée depuis des mois comme étant celle du Championnat de Québec, à La Tempête, mais sachez que les activités auraient pu commencer dès aujourd’hui et même lundi dernier.
Tout est déjà prêt au club La Tempête… ou presque.
« Estrades, loges et chapiteaux pour le grand public sont bien en place », affirme David Skitt, le directeur du Championnat doté de 1,6 million en bourses.
Dans l’ensemble des sports, le site d’un grand tournoi est toujours plus compliqué et plus long.
Mettons que l’espace à structurer est plus vaste que le tennis, le hockey et le football.
« Nous avons une centaine de personnes au travail depuis le 1er août », explique Skitt, comme quoi l’avance à l’agenda ne tient pas du hasard comme de la planification.
Après quatre années à Montréal (les deux premières au Fontainebleau et les deux suivantes à la Vallée du Richelieu), le défi d’une première visite à Québec est donc relevé pour les promoteurs de Synchro-Sports.
Directeur de la commercialisation chez Synchro, Guillaume Béland mentionne que le record de foule de la première année du Championnat (42 500 spectateurs) est au bout du fer droit!
L’implication d’André Raymond, directeur de la Tempête, est appréciée.
« Il faut parler d’un compteur de 50 buts avec tous les dossiers qu’il a en mains », dit David Skitt.
La PGA arrive
À Calgary cette semaine pour la Classique de charité Shaw, les joueurs arriveront lundi prochain pour la très grande majorité.
Mais la PGA a déjà délégué son agronome pour inspecter le parcours, que l’on dit très bien.
Plus tard cette semaine, ce sera au tour des officiels de la PGA de se préparer à Québec.
Il est déjà décidé que le parcours mesurera de 7095 verges.
Lee Janzen prochain inscrit
Double champion de l’Omnium américain, Lee Janzen aura 50 ans ce jeudi 28 août.
Tout indique qu’il choisira Québec pour son baptême de feu chez les vétérans.
Échos du 19e trou
Malheureusement, l’Omnium féminin Canadien Pacifique n’aura duré que deux jours pour Sara-Maude Juneau (70 et 74) et Maude-Aimée LeBlanc (deux fois 73).
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Trois fois championne du Québec dans les rangs amateurs, Anne-Catherine Tanguay passe la semaine en Californie, plus précisément à Rancho Mirage, pour y disputer la phrase préliminaire des qualifications de la LPGA.
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Preuve que tout est fragile au golf, même une ronflante avance, Mary Ann Hayward a échappé sept coups (71 à 78) lors de la dernière des trois rondes à Milby pour finalement céder le titre sénior canadien à Hélène Chartrand au deuxième trou éliminatoire grâce à un oiselet.
***
Félicitations à l’ami Yvan Lécuyer pour avoir défoncé le plateau de 100 000$ en dons pour la sclérose en plaques grâce à son tournoi tenu à Cowansville.
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Commissaire de l’Association des pros du Québec, Jean Trudeau tente d’élargir le marché avec la présentation d’un premier tournoi dans le marché de Toronto cette semaine. Le tournoi a lieu au club Wyndance, un bijou conçu par Greg Norman dans une ancienne carrière.
Avant de prendre la route de Toronto, Trudeau est devenu grand-père, alors que sa fille Jessica a donné naissance à une fillette.
Le mot de la fin
« Une raison spéciale de prendre mes médicaments : Robin Willlams était mon idole. » – David Feherty
Nike dévoile les nouveaux fers Vapor
Des médias de partout autour du monde étaient conviés à New York, le 18 août dernier, afin de découvrir les bâtons Vapor en compagnie de deux golfeurs de renom; Rory McIlroy et Tiger Woods.
C’est aux pieds de la statue de la liberté, en début de soirée, que les médias ont vu le spectacle défiler sous leurs yeux. Pour l’occasion, Jimmy Fallon, le célèbre animateur de The Tonight Show, tournait un segment de son émission en compagnie des réputés golfeurs afin de voir les fers en action.
La nouvelle série Vapor combine la précision artistique du maître-concepteur de bâtons chez Nike, Mike Taylor; l’expérience et le génie du centre de développement interne The Oven; et l’imagination des designers de l’entreprise. Le résultat ? Trois fers qui offrent une innovation magistrale nommée Modern Muscle.
Le principe de la nouvelle technologie Modern Muscle est simple : on a modifié le traditionnel design des fers pour amener leur centre de gravité au centre de la face du fer. Cette innovation, conçue pour obtenir plus d’efficacité à l’impact, semble bien fonctionner puisque Rory McIlroy a remporté le Championnat du circuit avec un prototype du Vapor Combo-2 dans son sac en 2014.
La vidéo ci-dessous relate la création de la nouvelle série Vapor :
Trois modèles disponibles
La série comprend trois modèles : le Vapor Pro, le Vapor Pro Combo et le Vapor Speed. Le premier affiche une lame au look très moderne et a la prétention d’être le fer le plus précis à avoir été conçu chez Nike jusqu’à ce jour. Le Vapor Pro Combo, quant à lui, possède les lignes droites et fournit beaucoup de puissance à l’impact. Enfin, le Vapor Speed s’adresse aux golfeurs qui veulent frapper une distance maximale, tout en conservant une bonne dose de précision tout au long du parcours.
Si Rory McIlroy a remporté un championnat avec ces bâtons, c’est en partie grâce à Tiger Woods que la famille de fers a vu le jour. « Nos ingénieurs et nos designers à The Oven ont travaillé avec Tiger très longtemps afin de faire évoluer cette technologie et de l’amener à un niveau professionnel », raconte Rob Arluna, directeur global du département Golf Club chez Nike.
Tiger Woods se rappelle également de la première fois qu’il a testé cette nouvelle version de fers : « Cela fait des années, mais je me souviens que j’ai immédiatement remarqué plus de confort, je sentais le bâton plus équilibré et les résultats étaient constants », dit-il.
La nouvelle série Vapor sera en vente sur le site Nike.com et chez certains détaillants à compter du 31 octobre.

Prêts pour les Jeux olympiques d’été de la jeunesse
NANJING, Chine ─ Les Canadiens Tony Gil et Maddie Szeryk sont prêts à entreprendre ce mardi la ronde initiale de la compétition de golf des Jeux olympiques d’été de la jeunesse au Club de golf international de Zhongstan.
Cette compétition marque les débuts du golf aux Jeux olympiques de la jeunesse. Ce sport, est-il besoin de le rappeler, renouera avec les Jeux olympiques d’été en 2016, à Rio de Janeiro.
Szeryk et Gil ont assisté aux impressionnantes cérémonies d’ouverture où quelque 4 000 participants ont séduit plus de 62 000 spectateurs au Centre olympique de Nanjing. Ce spectacle grandiose a rendu hommage aux personnes et aux événements qui ont fait l’histoire de Nanjing.

La ronde d’exercice s’est déroulée lundi à Zhongstan par un temps extrêmement chaud et humide. Le parcours est dans un état impeccable, comme en témoigne notamment l’ondulation des verts. Les longs cogneurs devraient avoir un léger avantage en raison de la largeur des allées.
Robert Ratcliffe, entraîneur-chef de la formation de développement d’Équipe Canada, accompagne les joueurs qu’il a préparés à la compétition et aux nombreuses festivités.
« Notre stratégie consiste à frapper la balle en flèche sur les coups d’approche, de dire Ratcliffe. Tony et Maddie frappent tous deux la balle d’aplomb et ils étaient confiants à la veille de la première ronde. »
Gil, membre recrue de la formation de développement d’Équipe Canada, tentera avant tout de maintenir sa concentration sur un parcours difficile et dans des conditions difficiles.
« La clé, ce sera l’hydratation », de dire le golfeur de Vaughan en Ontario. « Je tenterai aussi d’éviter les erreurs mentales en focalisant sur la préparation de mes coups. »
Gil, 16 ans, disputera la première ronde en compagnie du sixième favori, l’Italien Renato Paratore.
Quant à Szeryk, qui a la double citoyenneté canadienne et américaine, elle tentera de rester calme malgré la pression résultat d’un tournoi d’une si grande envergure.
« Je devrai garder mon sang-froid sur chaque coup en mettant à profit les techniques de respiration », a déclaré la championne junior du Canada de 2013, âgée de 18 ans. « Il sera important d’atteindre les verts en coups prescrits, et c’est pourquoi je tenterai d’effectuer des coups de départ précis. »
Les garçons et les filles joueront trois rondes en parties par coups jusqu’à jeudi. La compétition par équipes de trois jours commencera dimanche.
« Monsieur 59 » sera à Québec
Premier membre régulier du Circuit des champions à jouer 59 – ils sont six au sein du grand circuit – lors de la deuxième journée du tournoi d’Endicott, le week-end dernier, Kevin Sutherland aurait pu devenir le premier dans l’ensemble de tous les circuits de la PGA à inscrire 58 n’eut été d’un bogey au 18e.
Sutherland a échappé le record par la distance de huit pieds. C’est vraiment navrant lorsqu’on réalise qu’il avait été parfait pendant les 6 969 verges du parcours.
Vérification faite auprès du directeur David Skitt, Sutherland est au nombre des inscrits au Championnat de Québec, à La Tempête, du 1er au 7 septembre prochains.
David Skitt a fait le voyage à Endicott afin de poursuivre le repêchage. Un des plus illustres chez les séniors, Hale Irwin, sera en appel-conférence mardi afin de confirmer sa présence dans la Vieille-Capitale.
Un conseil de 27 000$ de l’ami Gilles
Vainqueur du tournoi d’Ottawa à la série PGA Tour Canada, la semaine dernière, le Britanno-Colombien Greg Machtaler est le même qui hésitait à défendre son titre à Victoriaville au début du mois en raison de sa profonde disette.
« Tu avais si brillamment joué l’an dernier à Victo (-21 avec deux dernières rondes de 63) et comme tu restes bon golfeur, tu devrais justement y revenir et y rebâtir ta confiance », lui avait fortement suggéré Gilles Terroux, rédacteur au circuit des pros du Québec, en vrai devin au cours d’une conversation téléphonique.
Non seulement Machtaler a-t-il terminé deuxième à son retour dans les Bois-Francs, mais il a calé la semaine suivante un roulé de 70 pieds au 18e vert qui lui a valu une magistrale carte finale de 62 et, plus important, le chèque de 27 000$, pour un premier succès cette année.
Bon gars, l’ami Gilles a décliné la commission de 15% pour trois balles neuves!
53 415 comme chiffre de la semaine
Tel est le total de gains en argent de Dave Lévesque depuis la fin mai avec trois victoires et une deuxième place.
On se réjouit pour…
Camilo Villegas et sa première victoire à la PGA depuis 2010 au tournoi Wyndham.
Deuxième Canadien aux États-Unis
Après Brooke Henderson plus tôt en août, ce fût au tour de Corey Conners, un autre talent de Golf Canada, de s’incliner en finale du Championnat des États-Unis, dimanche, à Atlanta. Comme quoi le programme national va allègrement…
Conners a obtenu des invitations au Tournoi des Maîtres et à l’Omnium américain l’an prochain. Pas pire prix de consolation…
Réussite 51 ans plus tard
Chez nous, le Québec a remporté la Coupe Williamson, la semaine dernière, chez les juniors à Laval-sur-le-Lac.
Il s’agissait d’une première en 51 ans dans cette présentation du groupe d’âge des 17 ans.
« La différence, cette fois, est que nous avons réuni nos meilleurs éléments disponibles », d’expliquer Jean-Pierre Beaulieu, directeur général de Golf Québec.
Charles-Éric Bélanger, de Royal Québec, Brendan Lacasse, de Kanawaki, Eric Marshall, d’Ottawa, et Félix Normand, de Beloeil, étaient les membres de l’équipe victorieuse dirigée par Daniel Langevin.
Avant de compléter, nos hommages à Michel Gagnon, de Royal Québec, pour son titre provincial chez les séniors enlevé à Hemmingford, trois coups devant Luc Guilbeault dans une météo extrême.
« La victoire fait d’autant plus plaisir à l’approche des 60 ans, car on ne sait jamais quand on va accrocher notre sac », a déclaré le champion pour qui il s’agissait également d’une première.