Jocelyne Bourassa ou savoir comment servir son sport pour toujours, de même que d’autres nouvelles automnales
Au golf, l’Action de grâce possédait un nom cette année. Le tournoi-bénéfice Golf Québec 2024, au club Ki-8-Eb de Trois-Rivières, s’avérait un hommage posthume à Jocelyne Bourassa, en rappel de ses multiples accomplissements au golf et de l’essor du sport féminin, comme quoi elle a été une pionnière.
Le moment de haute estime était si bien synchronisé qu’il coïncidait avec la présentation du 50e anniversaire de la victoire à « La Canadienne », qu’elle a remportée devant son monde, ici, au club Municipal de Montréal, avant d’enchaîner avec 25 autres années de dévouement dans le rôle de directrice de l’Omnium du Canada en y apportant incontournablement sa signature personnelle qui consistait à toujours mettre les talents canadiens en évidence.
80 000$ DE PLUS VERS LE MILLION
Personne ne s’étonnera que notre « grande dame du golf » demeure toujours aussi appréciée pour son implication depuis son décès, le 3 août 2021, au trop jeune âge de 74 ans.
C’est une somme d’au-delà de 80 000$, avant la fin de la comptabilité au retour du long congé, qui a été amassée pour poursuivre la mission qu’elle a portée corps et âme, soit le développement et la croissance du golf féminin.
Debbie Savoy Morel et Luc Boisvert, professionnel en titre du Ki-8-Eb, agissaient à la coprésidence.
Une plaque commémorative a été dévoilée.
À propos de la Fondation Jocelyne-Bourassa, elle va très bien. Les amies, incluant Diane Dunlop-Hébert, portent le flambeau avec brio.
Officialisé en juillet dernier, dans le cadre de l’Omnium Canada CPKC à Calgary, le Fonds Jocelyne-Bourassa s’est donné comme objectif, l’an prochain, l’atteinte d’un million de dollars pour servir encore et toujours le golf féminin.
Ex-présidente de Golf Québec et de Golf Canada, Mme Dunlop-Hébert était accompagnée, au Ki-8-Eb, de Jacques Nols et de Charlie Beaulieu, deux ex-collègues aux organismes précités.
Une preuve de la popularité inconditionnelle de Jocelyne Bourassa est certes que plus de la moitié du magot escompté est déjà bien en caisse pour lancer les programmes au plus tôt.
« BOMBE » AVEC LE PUTTER
C’est la distance de 282 verges qu’a atteinte Bryson DeChambeau.
Le fait notable est que c’était avec un putter en main depuis le tertre de départ.
Cela se trouve et se voit dans l’univers des podcasts.
CONGRÈS À VENIR
Parmi les dates à retenir chez nous, il y a celles du 20 au 23 novembre, correspondant au congrès de l’Association des terrains de golf du Québec.
Cela se tiendra à l’Auberge Godefroy.
DON DE CINQ MILLIONS
Voici un bel exemple de générosité d’Augusta National, avec un don de cinq millions au Fonds de secours pour les victimes de l’ouragan Hélène, malgré les dommages importants qu’ils ont eux-mêmes subis.
DES RETOURS DE RENOM ?
Préparons-nous à un retour de Phil Mickelson chez les Américains à la Coupe Ryder. Le capitaine Keegan Bradley reconnaît qu’il pourrait lui attribuer un rôle l’année prochaine à Bethpage (New York). Du côté des Européens, Luke Donald ne ferme pas non plus la porte à Sergio Garcia.
Les deux sont amis de très longue date.
Ce sera à l’Auberge Godefroy, en Mauricie.
UN PÈRE TRÈS FIER
C’est le cas de Gerry Piette, une figure emblématique en Abitibi, plus particulièrement à Rouyn-Noranda.
La PGA d’Ottawa a déterminé ses finalistes pour les prix de fin d’année, et son fils Marc-André, du club Camelot, figure parmi les trois finalistes pour le trophée Bud Mulloy, remis au professionnel par excellence.
« FORE ! »
Lorsque Caitlin Clark, véritable sensation du basketball, au point de révolutionner son sport, affirme qu’elle ambitionne de devenir « professionnelle » en golf, il faut la prendre très au sérieux.
En novembre, elle participera au « pro-am » du tournoi d’Annika Sorenstam aux côtés de la légende.
LE SUCCÈS RAPPORTE
Étienne Papineau en est un bon exemple. La compagnie canadienne Levelwear (vêtements) lui offre un contrat pour rejoindre Corey Conners, Adam Hadwin et Taylor Pendrith en tant que représentant.
Il a pris le temps de remercier Peak-10/30 pour le soutien reçu auparavant.
FIN DE SAISON
C’est ce qu’a annoncé Viktor Hovland, sans donner de raisons officielles. Mais est-ce vraiment nécessaire ? Les résultats du 6e mondial sont en effet en deçà des attentes, avec aucune victoire cette année.
MILTON, LA SUITE…
Originalement prévue cette semaine à Venice, en Floride, la phase II des Q-Series est reportée à la semaine suivante par la LPGA, en raison de l’ouragan Milton.
Josée Doyon sera présente. Brigitte Thibault devrait la rejoindre.
À SURVEILLER CETTE SEMAINE
Couronné champion collégial de la province, le Boomerang d’André Laurendeau reprend l’action.
Le nouvel objectif est désormais le championnat canadien Ping au club Redwood, en banlieue de Toronto.
Le texte a été corrigé pour éliminer les erreurs grammaticales et améliorer la fluidité.
« Échange » Jack Nicklaus-Omnium du Canada, Mike Weir a déjà la tête à Montréal, le grand retour de David Skitt et d’autres nouvelles
Fait absolument inhabituel au golf, une transaction survient. Jack Nicklaus a obtenu, de la part de la PGA, le changement de dates désiré pour son tournoi Memorial, lesquelles étaient, ces dernières années, celles de Golf Canada et de l’Omnium canadien RBC.
En 2025, la seule visite de la PGA au Canada déménagera donc de la dernière semaine de mai à la première complète de juin, soit du 5 au 8, sur le nouveau site TPC Toronto.
L’idée de Nicklaus est d’éviter le choc avec l’Omnium des États-Unis la semaine suivante.
Sans être favorable, la nouvelle situation reste « gérable » avec l’Omnium américain qui ne sera pas très loin l’an prochain, soit à Oakmont, en banlieue de Pittsburgh, ce qui écourte le déplacement. Deuxièmement, il y a toujours un groupe de joueurs qui veut demeurer actif avant le championnat américain.
LA PRIORITÉ MONTRÉALAISE DE MIKE WEIR
Oubliez la date du 24 septembre pour le début annoncé de la Coupe des Présidents avec Mike Weir. Le capitaine de l’équipe internationale a déjà la tête au Royal Montréal depuis longtemps.
« Mon jeu vient vraiment deuxième dans les priorités même si je reste actif [chez les Champions]. Mon esprit est constamment accaparé par la Coupe », dit-il.
« Après les rondes, c’est toujours place aux appels et aux textos. Mon but est de rassembler la plus vaste base d’informations possible afin de prendre les décisions les mieux éclairées », précise-t-il.
En effet, Weir a un travail très déchirant à venir avec cinq Canadiens parmi les candidats potentiels. Il ne possède que six cartons d’invitation, ce qui représente bien peu pour la planète entière, à l’exception des États-Unis.
REVOICI DAVID SKITT !
Créateur de l’Omnium de Montréal au circuit canadien, qui allait devenir, à la demande de la PGA, le Championnat de Montréal (et de Québec une fois) à la série des Champions, David Skitt est de de retour dans le milieu du golf.
C’est encore tout « chaud » comme nouvelle.
Président du brave comité au club Farnham, Michel Paquette a annoncé aux membres, lors de fin de semaine, l’embauche de Skitt au poste de nouveau directeur général.
Des bénévoles très généreux de leur temps assuraient la gestion depuis le drame du 5 juin, alors que le précédent DG, Sébastien Denis, décédait dans un accident de la route.
Ces récentes années, Skitt était au Conseil du patronat, mais autrement, le sport a été son domaine d’action, notamment au Grand-Prix, aux Championnats du monde de gymnastique et à « Hockeyville », en plus du golf encore plus spécifiquement.
BIRDIE!
Le prix va à Serge Savard et à son complice, Richard Beaudry, président d’Ovation médias, pour le magot de 1 537 000$ amassé en soutien aux athlètes-étudiants du Vert et Or.
PLACE AUX FEMMES…
Pas le choix! Le golf change enfin pour le mieux, même si ç’a été trop long, avec la LPGA à St. Andrews, cette semaine, pour y disputer l’Omnium féminin de la Grande-Bretagne.
CHAOS OU « CASH » ?
Telle est la très judicieuse question que soulève GolfWeek au sujet du circuit LIV, qui disputait sa 100e ronde officielle, vendredi.
Ce qui est garanti, c’est qu’une entente avec la PGA est obligatoire au plus vite pour la santé du sport.
HISTOIRE D’EAU
Si vous cherchez le lac le plus immense d’un parcours québécois, c’est direction le Maître, à Tremblant.
Rien de moins que huit trous y ont été inondés pour un exemple des graves dégâts causés par la tempête « Debby ».
DÉJÀ BYE BYE 2024
L’année est déjà terminée pour Mackenzie Hughes (52e) et Nick Taylor (58e), les éliminatoires étant maintenant réservées aux 50 premiers pour l’ensemble de 2024.
Champion de l’Omnium du Québec, Taylor Pendrith (27e) coiffe la liste des trois survivants canadiens, incluant Corey Conners (33e) et Hadwin Hadwin (42e).
« CEST FOU ! »
Cette citation appartient au numéro un mondial, Scottie Scheffler, à propos de la formule de fin de calendrier à la PGA.
QUOI SURVEILLER?
La fin de semaine qui vient et celle de la fête du Travail qui suivra sont celles des championnats dans nos clubs, comme le veut la tradition. Bon golf !
« Merci de m’avoir aidé à gravir les échelons » – André Maltais
Cessons les recherches. Le golf a trouvé son joueur le plus heureux à Laval-sur-le-Lac.
« C’est un honneur dont je n’avais même jamais rêvé », a déclaré André Maltais, comblé, lors de sa soirée d’intronisation au Panthéon québécois dans la grande salle de bal.
Laval est définitivement la pierre d’assise de la carrière à grand succès de la nouvelle légende. Il a d’abord agi dans le rôle d’adjoint de Jules Huot, avant de lui succéder dans les fonctions de professionnel en titre.
Parfait gentilhomme, notre « jeune homme » de 82 ans en a parcouru du chemin depuis ses débuts à East Angus.
Il a aussi été pro et proprio du club Waterville.
Côté associatif, il a toujours été fort impliqué avant et aussi après sa présidence de la PGA du Québec. Il a également été un auteur.
LA VRAIE RICHESSE
« Je n’ai jamais été riche sauf en… amis », admet aussi André Maltais.
Plus d’une centaine de personnes sont venues lui rendre hommage.
Chez ses ex-employés, René Noël, Guy Faucher, Raymond Richer, Serge Thivierge et Gino Gaudreau ont pris la parole pour des hommages.
Parmi les collègues, il y avait Dave Ross et Duke Doucet, les deux membres du Panthéon, Jean Morin, Ben Boudreault, Daniel Pesant (via vidéo), Richard Demers, André Harvey et Christian Lavoie.
Une mention à Bob Mailloux pour l’apport à la mise en scène.
Respectivement président de Golf Québec et du Panthéon, il y avait François Gagnon et Marcel Paul Raymond pour représenter les deux organisations.
Très important au plan familial, il faut nommer son fils, Éric, et petit-fils, Karl, tous deux pros de golf également, ainsi que sa très fidèle Claire.
« Vous savez, j’ai tenu plein de rôles auprès de mon père, notamment être son psychologue de putting. Heureusement, je n’ai pas hérité de son élan arrière », a commenté Éric en déridant la salle.
REMERCIEMENT
Le mot de la fin revient à André Malais. Il verbalise sa reconnaissance.
« Merci du fond cœur à ceux et celles qui m’ont aidé à gravir tous les échelons. »
Présence d’ici au British, la semaine la plus « chaude », trou d’un coup sur une normale 4 et… autres nouvelles
N’allez surtout pas imaginer que l’intronisation au Panthéon de Golf Québec va ralentir Diane Dunlop-Hébert. La dame est toujours aussi active et en demande.
Mario Brisebois | Au19e.ca
Collaboration spéciale
Cette semaine, elle retourne en Écosse, plus précisément à Royal Troon, pour assister à l’Omnium britannique. Cela pas comme spectatrice, mais plutôt comme directrice au « general committee » de l’auguste Royal & Ancient.
Au retour, ce sera immédiatement direction Calgary, cette fois pour l’Omnium féminin CPKC du Canada, au club Earl Grey.
L’évènement est une affaire de cœur cette année. Il s’agit de la 50e présentation de cet évènement remporté à son lancement par Jocelyne Bourassa, ici, à Montréal. Diane Dunlop-Hébert, ex-présidente de Golf Québec et de Golf Canda, aura alors certainement des annonces très intéressantes concernant l’envol de la Fondation de la regrettée championne.
À suivre…
QUELLE SEMAINE !
Parler d’une semaine « très chaude » s’applique au calendrier (trop) surchargé avec deux Championnats du Québec (femmes et hommes), au Blainvillier et à Milby, et l’Open de Bromont, ce qui fait beaucoup en même temps.
Vrai que l’été est court, mais le passé a néanmoins démontré qu’il était possible de donner de l’air à tout le monde en séparant les dates.
AUTANT DE « FLOTTE » QU’EN UN MOIS
Pas surprenant que les parcours aient été « lavés » par Dame Nature, la semaine dernière, ce qui n’était vraiment pas nécessaire.
La véritable trombe d’eau a déversé entre 80 et 100 millimètres, dont 40 en moins d’une heure à plusieurs endroits. C’est énorme lorsqu’on sait que les moyennes en juillet se situent autour de 90 milimètres.
COUP DE THÉÂTRE !
Une nomination surprise comme il en existe peu est certes celle de Keegan Bradley dans le rôle de capitaine de l’équipe américaine à la Coupe Ryder 2025, à Bethpage.
« Je crois que jamais je ne pourrai être aussi surpris du reste de ma vie », admet Bradley, lui-même sous le choc.
Évidemment que le refus de Tiger Woods a déçu, mais en toute réalité, c’est à Phil Mickelson que revenait le capitanat avant les folies entre la PGA et le LIV GOLF, qui doivent cesser au plus tôt.
CE QU’ILS ONT FAIT…
La fin de semaine dernière, Étienne Papineau (69, 72, 69 et 69) a terminé 48e au tournoi Korn Ferry du Colorado. De son côté, Joey Savoie (67, 67 et 71) a fini 65e à l’Omnium du Nouveau-Brunswick, écourté à trois jours en raison de la météo.
LE NOUVEAU NUMÉRO UN EST…
En remportant son troisième titre de l’année, à Firestone, Ernie Els a délogé le Canadien Stephen Ames du sommet du classement de l’année chez les Champions.
SAVIEZ-VOUS QUE ?
Bien que dominant avec déjà six titres cette année, Scottie Scheffler ne possède pas l’exclusivité de la victoire.
Ils sont déjà dix à la PGA à avoir enregistré leur première victoire en carrière cette année et le compteur tourne toujours.
LONG ET DROIT
Dans la catégorie des trous d’un coup, Pierre Chalifoux a déjà pris option très sérieusement sur le plus long réussi au Québec cette année.
Le puissant cogneur et franc-tireur a réussi son as sur une normale 4 du club Sainte-Flore, en Mauricie. La distance était de 318 verges.
BIRDIE !
Yohann Benson est vraiment dans une ligue à part pour l’obtention du prix, cette semaine, avec son pointage de 60 (-12), à Elm Ridge, pour égaler la marque de tous les temps détenue par Martin Brunet. C’est du très gros golf ça, les amis!
À JEUDI !
La semaine sera courte parce qu’on se rejasera vite de golf. Notre coordonnateur web, Simon Bédard, est à finaliser le spécial sur l’Omnium britannique, qui sera envoyé jeudi matin.
Parmi les sujets, un Montréalais d’origine a déjà failli gagner et il y aura plein d’autres nouvelles, bien sûr. À jeudi pour la suite !
Quel genre d’arrivée du printemps côté météo pour le golf au Québec et autres infos
On a réussi encore une fois…
Après avoir compté les mois et plus récemment les dodos, on se rapproche de la prochaine saison de golf alors qu’on est rendu à égrener les heures et les minutes pour le printemps.
Officiellement, il arrive lundi à 17h24, mais LA question est de savoir quand s’installera-t-il après un hiver gris comme tout?
Selon ses experts, MétéoMédia prévoit un changement de saison « décalé, actif et surprenant. »
Qu’est-ce que cela signifie exactement?
« Le printemps va tarder à se manifester », raconte le chef météorologue André Monette.
Or, patience pour le moment, le golf en cette fin mars à des clubs au début hâtif sur la Rive-Sud de Montréal semble très problématique. Mais la patience sera de mise combien de temps?
En attendant la réponse de Dame Nature et pour vous aider à garder la sérénité, la très bonne nouvelle est qu’il y a eu de la neige partout au Québecet quoiqu’il en soit tombé plus dans les Laurentides, Lanaudière, en Maurice, Québec et vers le bas du fleuve qu’ailleurs, les parcours au Québec ont été bien protégés et meilleure nouvelle encore, il n’y pas eu jusqu’ici (beaucoup) d’épisodes de verglas, ennemi numéro juré lorsque la racine du gazon est coupée d’oxygène trop longtemps par la glace tout en espérant que cela dure.
En se souhaitant que le soleil reste, les situations changent vite. On vous vous tient informés des ouvertures, espérons-le pour le long congé de Pâques.
On ne l’aura pas volé, les amis.
Rencontre du golf à Montréal élargie
L’Association de Montréal annonce son assemblée générale cette semaine, soit mercredi. L’organisation demande aux intéressés de se présenter à 17h30 à la nouvelle Maison des loisirs et des sports.
La rencontre en est une importante avec le début de l’incorporation. Il y aura des élections en plus.
Le territoire est considérable incluant Laval, la Rive-Sud, Lanaudière, les Laurentides et la Montérégie.
Moment toujours très attendu, les interclubs en classe A seront de retour début juillet avec les dames le 2 et les hommes le 9.
L’assemblée est également sur Zoom.
C’est aussi cette semaine que Steven Brousseau entre officiellement en fonction dans le nouveau rôle de directeur général auBlainvillier.La nomination d’un professionnel est au-dessus de la pile de dossiers sur son bureau.
Le Père Gédéon précurseur du golf sans le savoir
C’est le regretté Doris Lussier qui doit se virer dans sa tombe en voyant Tommy Fleetwood avec un bois numéro neuf dans son équipement pour obtenir une haute trajectoire de balle qu’avec ses fers longs en vertu de l’angle de 24 degrés.
Voilà 40 ans de cela, le Père Gédéon ne possédait que des bois dans son sac incluant le fer droit.
In memoriam
Une semaine après le décès de Roger H. Legault, les messages de sympathie entrent toujours saluant la compétence, mais aussi sa très agréable personnalité.
Une très belle façon de Golf Estrie, sa région d’adoption, de remercier Roger serait un hommage lors de l’omnium du Québec au Château Bromont. La suggestion est faite et Martin Ducharme a toute notre confiance pour la réalisation.
Double boguey
Qu’en pensez-vous du golf lorsque Fred Couples traite de Sergio Garcia de « clown » et Phil Mickelson de « sac de noix »?
Nick « Birdie » Suzuki aux Étoiles avec une victoire au « Pich ‘N Putt » LNH et Corey Conners, plus autres nouvelles d’ici
Lors de la fin de semaine à geler littéralement qui fut aussi celle du match des étoiles au hockey de la LNH à Sunrise, en Floride, Nick Suzuki a vécu ses moments les plus vibrants… au golf.
Se décrivant comme un joueur « d’environ 10 comme marge d’erreur », le capitaine du Canadien a remporté le volet «Pitch N’ Puck» curieusement inscrit au programme des tests d’habileté en étirant un peu beaucoup.
Sur une normale quatre, le bâton de hockey servait à frapper la rondelle blanche dans l’allée avant que de sortir la balle une fois sur le vert.
Toujours est-il que le porteur du chandail numéro 14 avec le CH a été le numéro un sur le parcours.
Suzuki a de bonnes mains et bon œil aussi l’ayant remporté en enregistrant rien de moins que le « birdie ».
Autre très belle qualité, il a aussi de… l’humilité.
« Pas sûr du tout que j’aurais pu faire aussi bien avec mon vrai équipement », a-t-il déclaré à la fin.
Cela rappelle le film « Happy Gilmore » côté divertissement, mais bon… C’est moins violent que « Slap Shot »!
Expérience PGA… en boni
Avec Sidney Crosby, Connor McDavid, Alex Ovechkin et compagnie, Nick Suzuki s’est retrouvé avec les plus grands.
Ajoutons donc la rencontre avec le Canadien Corey Conners, 35e mondial et mordu de hockey qui habite la région.
Ils ont joué cinq trous ensemble.
« Corey frappe tellement bien la balle. Il a fait moins quatre », a-t-il dit au journaliste Jean-François Chaumont au sujet de l’expérience.
Précision essentielle
Pour votre info, Nick Suzuki ne portait pas le chandail bleu poudre du CH les deux fois.
Ouf!
En direct de l’Arizona
Dans les nouvelles de l’Arizona pour se réchauffer un peu, des cartes de 71, 69 et 68) ont valu à Étienne Papineau, d’Équipe Canada, le 6e rang lui rapportant 2750$ à l’Omnium McCormick.
Malgré son très intéressant 67 en pré qualification, c’est néanmoins par deux coups que Brandon Lacasse a manqué la sélection finale du tournoi Wasted Management de Phoenix, à la PGA, cette semaine.
Nomination
Alors que le sprint à l’embauche se poursuit dans l’industrie, l’Atlantide va faire des envieux ayant trouvé son nouveau pro-gestionnaire.
Gino Verilli passe au club de l’Île-Perrot en provenance du Versant.
Le Portage (à l’Assomption), Sainte-Marguerite (Sept-Îles) et Windmill (aussi à l’Île-Perrot) demeurent en recherche d’un pro alors que Le Blainvillier s’affaire à recruter son prochain directeur général.
Tous les endroits ont été surpris par les récentes démissions.
Ultime hommage
Le très sélect club St.James va beaucoup devenir le Royal Montréal le 25 mars.
La famille annonce des hommages à la mémoire de Denzil Palmer, directeur général retraité décédé l’an dernier. Ce sera à compter de 13h avec une cérémonie à 16h.
Direction Victo, nouveaux champions, la retraite d’une légende et plus!
Maintenant que l’Omnium du Québec est terminé, place cette semaine à la Coupe Canada offrant 125 000$.
Vainqueur à la PGA malgré un abominable huit pour commencer
Nouvelle sensation du golf asiatique à ce qu’on dit, Joohyung Kim devient lepremier à la PGA en 40 ans à remporter un tournoi après avoir commis un compte de huit (quadruple bogey) au premier des 72 trous.
Âgé de 20 ans seulement, le Coréen s’est racheté avec 67, 74, 68 et 61 pour enlever le titre Wyndham par cinq coups devant tout le monde.
On change d’adresse
Golf Québec et la PGA provinciale sont dans les boîtes.
Comme l’ensemble des Fédérations, ce sera bientôt, soit à la fin août, le grand déménagement du stade Olympique à de nouvelles installations aussi dans l’Est de Montréal.
Vince Scully, la suite
Voix du golf en plus du baseball, le regretté descripteur-icône Vince Scully, décédé la semaine passée, était golfeur. Il a quasi été un classe A avec une marge d’erreurs de 12.
Son partenaire de jeu a longtemps été son analyste Lee Trevino. Ils ont été ensemble pendant cinq ans sur NBC à suivre la PGA.
C’est terminé
La pandémie continue de faire des victimes et c’est la situation de la compagnie de bâtons Ben Hogan obligée de fermer boutique.
Les nouveaux champions sont…
Félicitations à Florence Ho et Zander Zhang (moustique), Léonie Tavares et Noah Moreau (pee-wee) de même que Charlotte Boudreau et Charles-Edmond Proulx (bantam). Ils sont les nouveaux titulaires provinciaux de leur catégorie.
Birdie
Le prix va au brio combiné de Jean-Philippe Parr, Christopher Vandette et Laurent Desmarchais dans la victoire du Québec à Vancouver la semaine dernière à la coupe Willingdon, emblème du championnat des provinces.
Bonne retraite, Sir Faldo
C’est avec grande émotion que Nick Faldo a analysé son dernier tournoi à la télé. Ce n’est pas rien non plus 16 ans à CBS comme a fait le sextuple titulaire au Grand Chelem.
«Je suis enfant unique et voilà que je découvre trois frères à 65 ans», a-t-il gentiment dit pour remercier ses très proches collèges Jim Nantz, Ian Baker-Finch et Frank Nobilo.
Pour la suite, Sir Faldo possède une terre au Montana.
Brooke 7e
Telle a été la position de Brooke Henderson à l’Omnium britannique.
North Hatley, Ukraine, l’Estérel ferme et record de canicule de plus de cent ans et autres infos d’ici
Non, non, il n’existe pas de confusion géographique dans le titre comme il s’agit plutôt du grand humanisme du golf de North Hatley envers l’Ukraine et sa si brave population tenant tête à l’invasion de la Russie.
Malgré la distance de 7014, 69 kilomètres séparent le neuf trous des Cantons-de-l’Est et la capitale Kiev, le support est installé pour rester au quotidien.
Le drapeau jaune et bleu de l’Ukraine est impossible à rater flottant au vent à-côté du premier départ.
«L’idée est d’un grand bénévole au club, Bob Kyffin, dont deux des petits-enfants sont de descendance ukrainienne et nous avons décidé de l’appuyer, la cause le justifiant amplement», affirme le directeur général Tony Card.
Le golf laurentien perd l’Estérel finalement
Comme nouvelle, il existe mieux alors qu’une page d’histoire se ferme sur le golf dans les Laurentides avec la cessation des opérations au club de golf de l’Estérel.
Lors de l’achat de l’endroit tôt au printemps, le nouveau proprio voisin du parcours avait manifesté sa volonté de poursuivre la tradition du golf, mais voilà que tout le contraire survient alors qu’il change d’idée et ferme les 18 trous.
Très dommage avec une pensée spéciale envers le populaire professionnel Dave Ross qui a tant donné à l’endroit et à ses habitués.
À suivre et pourquoi pas un changement positif au golf la prochaine fois avec les pressions, notamment de l’administration municipale qui avait été très claire dans la protection de l’environnement lors de la transaction.
Le birdie du printemps va à…
S’il y a des gens qui méritent le prix, ce sont bien les surintendants qui ont dû composer ces derniers jours avec la plus hâtive canicule dans les annales météorologiques remontant au 20 mai 1911.
Pas facile faire pousser le gazon surtout que rappelons nous qu’il neigeait encore il y a trois semaines et grâce aux connaissances et la patience, les surintendants réussissent néanmoins à faire verdir.
Nos talents en action à la NCAA cette semaine
Après nos filles Brigitte Thibault (Texas) et Céleste Dao (Georgia) dont les universités viennent d’obtenir leur ticket au championnat national féminin de la NCAA, c’est au tour de Christopher Vandette (Kent State), Rémi Chartier (East Tennessee), William Duquette (Kansas) et Laurent Desmarchais (Tennessee) d’en espérer autant cette semaine.
Boguey!
L’essence qui exige des révisions à la hausse dans les budgets d’entretien des parcours.
Bon changement
Golf Québec a pris la bonne décision de décaler d’une semaine et donc lundi sa qualification de l’Omnium du printemps à Royal Québec en même temps que le Country Club en raison du début de saison plus tardif dans la région.
Mention spéciale
Elle va pour sa première position à Maude-Aimée LeBlanc garantissant sa place à l’Omnium des États-Unis du début juin pour un premier retour depuis 2016.
On compte les dodos
Le décompte est entrepris pour Étienne Papineau et Joey Savoie, nos deux réguliers du Québec au circuit PGA Tour Canada Fortinet, qui reprend du 2 au 5 juin à Victoria.
Mais auparavant, la paire de Pinegrove s’arrêtera à Beaconsfield étant des inscrits à l’Omnium printanier le 27 mai.
L’étape québécoise reviendra au Blainvillier au début août avec le retour de l’Omnium du Québec comme appellation.
Le golf féminin au Canada perd son plus ardent supporter
En plus du monde des affaires au Canada, le golf féminin a perdu son plus grand supporter lorsque Hunter Harrison a décidé de quitter son poste de chef de la direction de la compagnie de chemins de fer CP avant la date du 1er juillet tel que préalablement annoncé.
Le gestionnaire à succès a été le plus ardent supporter de l’Omnium canadien féminin tout en aidant une autre cause puisque des levées de fonds sont organisés en parallèle pour soutenir les hôpitaux pour enfants.
Il a financé l’Omnium féminin à ses années à la barre de CN à Montréal. Après son passage chez CP, il a récupéré la commandite du championnat national certifié LPGA lorsque celle-ci est devenue libre.
Lorie Kane, qu’il avait engagée dans le rôle d’ambassadrice à CN d’abord et CP plus tard, de même que Jocelyne Bourassa, Debbie Savoy-Morel, du Mirage, et Diane Dunlop-Hébert, ex-présidente de Golf Canada, pourraient vous en raconter bien davantage.
L’actuelle entente CP et Golf Canada à propos de l’Omnium féminin est valide jusqu’à l’an prochain. Pour la suite prometteuse avec Brooke Henderson pour garder bien haut le flambeau, il est particulièrement intéressant de savoir que le successeur Keith Creel est un protégé de Hunter Harrison.
ORFORD CHOISIT UN D.G. EXPERT EN TOURISME
La Corporation du Mont-Orford possède un nouveau directeur général en vertu de la nomination ces derniers jours de Pascal Mongeau en remplacement de Luc Chapdelaine, lequel a choisi d’aller relever de nouveaux défis après avoir sorti l’endroit d’une situation précaire.
Orford est plus qu’une station de ski, le site comprenant aussi un parcours de 18 trous.
Natif de l’Estrie, Mongeau arrive avec un très intéressant bagage de connaissances dans le tourisme, notamment l’hôtellerie aux Caraïbes.
La façon de faire ailleurs peut certes aider les nouvelles idées n’étant jamais de trop dans le domaine récréotouristique.
LA FILLE D’YVES TREMBLAY OPÉRÉE EN SKI
Populaire professionnel au club Boucherville, Yves Tremblay joue à l’infirmier par la force des choses.
Membre de l’équipe de ski du Québec, sa fille Maxime voit sa saison compromise. Elle a dû passer au bistouri à l’hôpital Enfant-Jésus, à Québec, la semaine dernière. Dommage parce que la jeune athlète de 17 ans allait bien dans ses courses.
« Cela arrive dans le ski surtout lorsqu’on atteint ce niveau », de déclarer le paternel en grand philosophe, ce qui est recommandé en pareilles circonstances.
Oui, l’opération a très bien fonctionné pour la graduée du club Sutton. Deux heures après, Maxime recevait ses coéquipières qui voulaient aller saluer leur amie populaire comme son père.
77
C’est l’âge qu’a célébré la légende Jack Nicklaus samedi dernier.
APRÈS LE COUP DE L’ALLIGATOR, GILLES TERROUX RÉUSSIT (ENFIN!) LE COUP RÊVÉ
Longtemps mon patron à titre de directeur des pages sportives au Journal de Montréal, Gilles Terroux est la preuve que tout vient à point à qui sait attendre.
Après avoir patienté pendant 53 ans en remontant à la belle époque du « Municipal » de Montréal avec Damien Gauthier, Gilles a réussi la semaine dernière son premier trou d’un coup.
Il a obtenu son as au 17e trou au club The Village de Royal Palm Beach, lequel est dirigé par le pro québécois Daniel Pesant. Il jouait en compagnie de Gene Cardarelli, Russ Hodges et Marty Kocal, l’homme de confiance de Pesant depuis de nombreuses années.
« Mon meilleur coup de fer numéro six depuis toujours avec la balle qui est tombée à un pouce et demi du fanion avant de frapper l’arrière de la coupe pour disparaître », dit-il.
Un autre bel exploit courageux de l’ami Gilles avait été ce coup frappé à côté d’Oscar, un long alligator de 10 pieds qui vivait dans le lac en bordure du 15e trou au Village. Voici la preuve!

CARO ET RORY À NE PLUS INVITER AU MÊME PARTY
La joueuse de tennis Caroline Wozniacki ne comprend pas que Rory McIlroy revienne encore publiquement sur leur ex-relation. Bien des gens non plus.
Par l’entremise de mon autre métier de chroniqueur à Tennis Canada, je connais Caroline, championne de la Coupe Rogers 2010. Elle est une bonne fille toujours restée une visiteuse fidèle à Montréal et cela même après son ascension comme numéro un au monde.
Ce n’est pas la première fois que Rory ne paraît pas très bien dans ses propos. Peut-être devrait-il se concentrer sur ce qu’il fait de mieux : jouer au golf.
JIM CONNOLLY ÉTAIT UN ALLIÉ DU QUEBEC
Le golf au Québec perd aussi un allié suite au décès de Jim Connolly.
Associé au club Riverside à Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, pendant presque 60 ans, il a déjà été pro de l’année au pays et président de la PGA du Canada.
Jim a participé au pro-am de Dave Ross de l’Estérel. Son épouse Pamela (Godin) a effectué aussi le déplacement pour venir disputer le tournoi féminin au même endroit des Laurentides.
Dave Ross, aussi un ex-président de PGA du Canada ayant fait carrière avec succès dans cette province, a assisté aux funérailles de son ami.
UNE SEMAINE TRÈS « CHAUDE » EN PERSPECTIVE
Les choses à surveiller ne manquent pas pour conclure le premier mois de 2017 :
TIGER WOODS : Retour du Tigre qui dispute son premier tournoi officiel à la PGA depuis l’été 2015 en participant à l’Omnium Farmers Insurance à San Diego.
MARC-ÉTIENNE BUSSIÈRES : Double champion canadien individuel et en équipe (en compagnie de Dave Lévesque), Bussières, du club LongChamp, recevra mercredi le trophée Mike Weir à titre de joueur de l’année 2016 de la PGA du Canada.
JEAN LAFORCE : Le représentant du club Le Champêtre est au Portugal pour y entreprendre la première des deux étapes de qualification du circuit d’Europe chez les séniors. Il a terminé 5e d’une épreuve préparatoire dans l’Algarve.
MAUDE-AIMÉE LEBLANC : Elle entreprend jeudi la nouvelle année à LPGA lors du tournoi Pure Silk, aux Bahamas. Brooke Henderson et Alena Sharp sont aussi là.
L’AUTRE CHIFFRE DE LA SEMAINE
Il faut ajouter le fabuleux compte de 59, -13, enregistré en fin de semaine par le Britanno-colombien Adam Hadwin au Challenge CareerBuilder dans le désert de la Californie.
Il a totalisé 13 oiselets et commis zéro bogey lors de sa journée magique.
Hadwin, qui a terminé deuxième avec son cumulatif de -19, devient le 9e joueur à briser la marque de 60 à la PGA, mais le premier Canadien à le faire dans la grande ligue.
Danny King a joué 58 et James Love aussi 59, l’automne dernier. C’était dans un tournoi invitation aux Bermudes et en qualifications de la série Web.com.
Bravo au trio.
« Mon but est simple : gagner » – Tiger
Vous avez été parmi les très nombreux sceptiques du retour à la PGA que Tiger Woods effectuera à la fin du mois au tournoi Farmers Insurance de San Diego après un an et demi d’absence? Si oui, bienvenue dans le club du principal intéressé.
« Très honnêtement, j’ai eu mes doutes moi aussi », admet de façon surprenante Tiger dans son blogue de janvier.
Cela étonne en ce sens que même une si longue éclipse ne peut faire autrement que provoquer une réflexion chez n’importe quel athlète sur son avenir. Force est de reconnaître qu’on n’a pas beaucoup lu, vu ou entendu souvent le Tigre verbaliser ses craintes et même ses hésitations dans sa carrière. Du moins pas en public.
COUPE RYDER, TERRAIN À NORMALES TROIS ET DONALD TRUMP
En plus d’exprimer ses souhaits pour la nouvelle année, le vainqueur de 79 tournois au circuit américain dont 14 dans les grands chelems aborde sur les récents moments de sa vie.
Il parle du parcours de sa compagnie d’architecture qui a des contrats sur la table de travail.
Il a élaboré un concept de 12 trous à normales trois.
« J’ai été initié au golf sur des « par » trois. Il faut y voir alors que les rondes prennent cinq heures », dit-il.
Il revient sur son rôle d’adjoint au capitaine de la Coupe Ryder, même si, admettons-le, son attitude n’a jamais été d’être deuxième dans rien.
Même si ses résultats personnels sont curieusement en deca des attentes lors de ces rencontres USA-Europe, il précise avoir absolument été ravi de l’expérience victorieuse auprès de Davis Love III.
« Lors d’un souper, les joueurs se sont levés d’un trait en arborant un chandail sur lequel il était écrit Make Tiger Great Again! », raconte-t-il, touché par le geste.
Ouvrons une parenthèse : Jim Fury a été confirmé très judicieusement la semaine passée pour prendre la barre des Américains en prévision des prochaines rencontres de 2018 au Golf National de France, près de Paris.
Eh bien, Tiger suivra à son tour éventuellement comme capitaine. Puisque Phil Mickelson est une autre valeur sure, il ne reste qu’à déterminer l’ordre entre les deux, soit qui sera le capitaine à Whistling Straits, au Wisconsin, en 2020 ou à Rome en 2022 au plus tard.
Tiger dévoile des détails aussi de sa récente partie de golf présidentielle. Après Bill Clinton, George W. Bush, ainsi que Barack Obama, il a joué récemment en compagnie de Donald Trump.
« Nous n’avons pas eu de match parce que j’étais en test d’équipement. Nous avons joué pour le plaisir. J’ai été impressionné par les distances atteintes par une personne de 70 ans », commente-t-il.
Le duo Woods-Trump a eu des discussions sans précision sur la teneur. Mais on revient sur les retrouvailles de Tiger avec la compétition.
POURQUOI CETTE FOIS SERAIT LA BONNE
Après San Diego du 26 au 29 janvier, Tiger ira aux Émirats arabes du 2 au 5 février. Il reviendra à la PGA pour conclure février aux tournois Genesis à Los Angeles (16 au 19) et à la classique Honda de Palm Beach (23 au 26), tout proche de chez lui à Jupiter, en Floride.
En passant, une autre de ses compagnies en gestion d’événements organise le Genesis. Sa fondation est aussi impliquée pour montrer qu’il ratisse large.
Tiger a renoué avec la compétition en décembre dans le cadre du Challenge Hero, une exhibition coordonnée par la firme de Tiger évidemment.
Ses cartes de 74, 65, 70 et 76 l’ont placé 15e sur un peloton de 17 participants triés sur le volet et il demande de ne pas trop se fier à ce résultat.
« Les enfants et moi avons été très malades (gastro) la semaine avant. Je venais de perdre dix livres », indique-t-il.
Cette fois, il pense que son retour fonctionnera à 41 ans et malgré qu’il soit relégué 652e au monde.
« Je sais que c’est possible », affirme-t-il.
Il explique la raison de cette confiance alors qu’il n’était certain de rien il y a un an.
« J’ai trimé dur aux entraînements. Mon amour du golf n’a pas changé et mon corps me permet maintenant d’aller de l’avant. En combinant cela au support d’énormément de gens, des amis et des joueurs, j’ai toutes les raisons d’être optimiste », poursuit-il à propos de son avenir.
Enfin, qu’elle est son ambition?
« Je trime dur à l’entraînement. Mon but est simple : gagner », écrit le Tigre qu’on garde comme mots de la fin.
S’il y a quelqu’un qui sait trop bien que la victoire s’occupe de tout lorsqu’elle survient, c’est bien Tiger Woods.