Le Tigre a de nouvelles vraies priorités
Bien sûr que le Tournoi des Maîtres s’annonce très différent en fin de semaine sans Tiger Woods, qui a été opéré pour corriger un très sévère problème d’hernie discale.
Même si son quatrième et plus récent veston vert remonte à 2005, il y est toujours demeuré un acteur principal sur la grande scène d’Augusta n’y ayant depuis terminé qu’une seule fois hors du top 10.
Depuis 20 ans, la première question qui venait à l’idée des amateurs n’était pas ‘Qui mène au classement?’ On demandait plutôt : Combien le Tigre a-t-il joué?
Soit dit en passant, saviez-vous que le Tournoi des Maîtres est la seule étape du grand chelem qu’il n’avait jamais manqué?
Cela dit, Tiger n’avait vraiment aucune autre option que de se faire soigner.
Les résultats ne mentent pas : 80e au Farmer’s Insurance ; abandon au Honda ; 25e au Doral, avec sa pire carte à vie en dernière ronde (79) ; et désistement chez son ami Arnold (Palmer), à Orlando. Il avait complété seulement dix rondes au sein du Circuit de la PGA cette année, ce qui est tout sauf normal pour le numéro un mondial cinq fois victorieux en 2013.
Moins une question d’âge
La disette au grand chelem remontant à l’Omnium de États-Unis de 2008 se poursuit donc et risque de se prolonger encore davantage.
Vrai que la médecine multiplie les miracles, mais Tiger a le dos immensément sollicité avec son élan.
Les espoirs de revenir en juin pour l’Omnium américain tel que le souhaite le convalescent le plus connu des verts apparaissent très optimistes, voire prématurées.
L’essentiel chez Tiger actuellement est de ne rien précipiter. Plein de gens parlent d’âge, des années qui filent pour les records, dont celui de Jack Nicklaus au grand chelem. Et pourtant, le temps n’est pas (pour le moment) une priorité d’urgence du Tigre.
Jack Nicklaus n’a-t-il pas gagné deux tournois majeurs à 40 ans? Puis, n’avait-il pas 46 ans lors de son dernier couronnement à Augusta?
Phil Mickelson avait 43 ans lors de son premier succès à l’Omnium britannique l’été dernier. Sans tomber dans l’âgisme, Tom Watson était à quelques semaines de son 60e anniversaire lors du même tournoi en 2009, lorsqu’un bogey au 72e trou l’a fait s’incliner en prolongation devant le « casseur de party » qu’était alors Stewart Cink.
Perspectives des records
Parlons-en des records.
Le compte à ce jour est 82-79 en faveur de Sam Snead, ce qui veut dire que Tigre a la nouvelle marque au bout de son fer droit. Côté grand chelem, vous serez aussi étonné que c’est match nul, au même âge, dans le duel Nicklaus-Woods.
Quoique le score soit de 18-14 en faveur de Jack pour le total de victoires majeures, ce dernier avait très curieusement aussi 38 ans lorsqu’il s’est adjugé son 14e titre majeur, lors du Championnat de la PGA de 1975.
Le plus grand défi de Tiger Woods n’est pas de battre le temps comme de recouvrer à 100% la santé et la confiance.
Le golf a considérablement changé. Jack Nicklaus avait Palmer, Gary Player, Billy Casper, Lee Trevino. Puis, plus tard Johnny Miller et, surtout, Tom Watson à surveiller.
Aujourd’hui, ils sont 20, 30 et même plus à avoir des chances réelles de l’emporter cette semaine à Augusta, incluant le Canadien Graham DeLaet, ce qui démontre que le Tournoi des Maîtres demeurera relevé même sans Tiger Woods.
Bon week-end!
Le Tournoi des Maîtres et Équipe Canada

« Augusta » James : un prénom tout indiqué pour l’un des grands espoirs de l’équipe nationale amateur du Canada.
Augusta est née le jour d’ouverture du Tournoi des Maîtres de 1993, ce qui a incité ses parents, deux passionnés de golf, à prénommer ainsi leur fille. Âgée de 20 ans et étudiante de première année à l’Université North Carolina State, Augusta adore son prénom.
« Il me rappelle l’importance du golf dans ma vie et dans celle de ma famille », dit-elle.
Geoff, son père, est professionnel attitré au Loyalist Golf Club de Bath, en Ontario, sa ville natale. Quel est son plus beau souvenir du Tournoi des Maîtres? De l’avoir regardé en famille, dans le confort du salon. Un regret, pourtant : elle doute qu’elle aura le temps de suivre le tournoi de cette année en raison du calendrier d’entraînement de la NCAA.

Derek Ingram, entraîneur-chef de l’équipe nationale masculine, se souvient de la victoire de Mike Weir au Tournoi des Maîtres de 2013 comme si c’était hier. Ce Winnipegois avoue même avoir séché une larme ou deux en voyant Weir enfiler le veston vert.
« J’en ai pleuré de bonheur, dit-il en riant. Je suis un patriote invétéré et, à l’évidence, le golf est une partie très importante de ma vie. »
Ingram a assisté à l’exploit de Weir depuis le vestiaire d’un pavillon de golf au Mexique. Il était alors l’entraîneur de l’équipe canadienne qui tentait de se qualifier pour le championnat mondial junior.
«Nous venions tout juste de nous qualifier, et on a joué l’hymne national du Canada en hissant le drapeau. C’est un moment unique que je n’oublierai jamais. »

La Québécoise Anne-Catherine Tanguay garde aussi du Tournoi des Maîtres un souvenir émotif. Membre de l’équipe nationale féminine du Canada, elle avait prédit que Bubba Watson remporterait le tournoi de 2012 et sa première victoire dans un championnat majeur.
Aujourd’hui étudiante de dernière année à l’Université de l’Oklahoma, elle en garde un souvenir vivace en raison du comportement de Watson après son triomphe.
« C’était très touchant et rempli d’émotion, dit-elle. C’est difficile d’oublier une telle victoire. »
Âgée de 23 ans, Anne-Catherine aimerait voir Rory McIlroy occuper l’avant-scène après sa défaite décevante en 2011. Elle suivra le tournoi depuis les installations de golf de l’Université de l’Oklahoma.

Ann Carroll, entraîneure de la formation féminine de développement, se rappelle le légendaire Tournoi des Maîtres de 1986 qui s’était soldé par la victoire de Jack Nicklaus à l’âge de 46 ans.
« J’en ai encore le frisson quand je pense à son score de 30 sur le neuf de retour, affirme Ann Carroll. J’étais dans mon petit appartement de Tallahassee alors que je fréquentais l’Université Florida State. Gary, le fils de Jack, y étudiait lui aussi, ce qui donne une dimension spéciale à mon souvenir. »
Ann préparera une fête du Tournoi des Maîtres en espérant assister à un dénouement dramatique qui tournera à l’avantage d’un second violon.

Garrett Rank membre de l’équipe nationale amateur masculine, croise les doigts : il souhaite de tout cœur que le Saskatchewannais Graham DeLaet soit dans la course jusqu’à la fin. Âgé de 26 ans, Garrett est lui-même venu à un cheveu de participer au Tournoi des Maîtres de 2012.
Diplômé de l’Université de Waterloo, Rank a perdu le 36e et dernier trou du Championnat mid-amateur des États-Unis et, du coup, son visa pour le Tournoi des Maîtres. Malgré tout, cette expérience reste pour cet Ontarien d’Elmira son plus beau souvenir du Tournoi des Maîtres, lui qui espère un jour avoir une autre chance d’y participer.

Tristan Mullally, entraîneur-chef de l’équipe nationale féminine, a eu le plaisir de fouler le parcours lors du Tournoi des Maîtres de 2003.
Mullally était sur place pour s’imprégner de l’atmosphère et pour reconnaître le parcours en tant qu’entraîneur de Graeme McDowell, un golfeur renommé. Cette année-là, McDowell a raté sa qualification, si bien que lui et Mullally ont pu fouler le parcours et assister à la victoire de Mike Weir.
« Ce fut une expérience unique, de dire Mullally. Il faut être sur place pour comprendre le coefficient de difficulté d’Augusta. »
Autre souvenir cher : le triomphe de Nick Faldo au Tournoi des Maîtres de 1996 qui a vu l’Anglais combler un déficit de six coups pour vaincre Greg Norman, à court de moyens en fin de parcours.
S’entraîner pour l’équipe nationale amateur
Faire partie de l’équipe nationale amateur est un objectif très noble. Et qui n’est pas facile non plus.
Il est extrêmement difficile de mesurer le succès dans le sport de compétition. Il arrive que l’excitation du moment l’emporte. La pression est énorme : il faut performer, grandir, se développer à un rythme au moins égal à celui de ses pairs.
Une fois dans l’équipe, il faut s’entraîner intensément pour pouvoir devancer ses adversaires. Les golfeurs travaillent entre autres la mécanique, la force et la préparation mentale. Les voici à l’œuvre dans la vidéo ci-dessous.
Pour les rares élus, poursuivre sur sa lancée est une autre histoire. Disons-le franchement : les athlètes de compétition ont besoin de soutien. Ils ne peuvent réussir tout seuls.
Comment parvenir au sommet? Il faut commencer modestement, au niveau régional par exemple. Les associations provinciales donnent la chance de faire partie d’équipes régionales et provinciales bien munies. Idéalement, les membres de l’équipe régionale débouchent sur l’équipe provinciale. C’est ensuite la formation nationale de développement et, éventuellement, l’équipe nationale amateur.
Encore une fois, cela est plus facile à dire qu’à faire – surtout au golf où le succès se mesure sur le tableau des résultats.
Tous les athlètes sont suivis par les associations provinciales et Golf Canada par le truchement de la base de données Sporting DNA. Les résultats et les statistiques servent souvent de points de référence pour identifier les talents et les futurs candidats à l’équipe provinciale et nationale.
Pour en savoir plus sur les programmes Haute performance, contactez directement l’association provinciale intéressée.
Pour appuyer Équipe Canada, cliquez ici.
Encore des décisions…
Golf Canada, à titre d’Organisme national du sport et de corps administratif du golf, de concert avec le R&A et la USGA, annonce les dernières révisions apportées à l’édition 2014-2015 des Décisions sur les règles du golf. C’est avec fierté que Golf Canada collabore étroitement avec R&A Rules Limited et la USGA afin d’effectuer les mises à jour régulières des Règles du golf et des Décisions sur les règles du golf.

L’année des sans-noms
Qui aurait dit qu’en date du 1er avril, Tiger Woods, Henrik Stenson, Phil Mickelson, Rory McIlroy et Ernie Els n’auraient aucune victoire à leur fiche au sein du Circuit de la PGA? D’autant plus que cette année, la saison est déjà vieille de six mois en raison du nouveau calendrier de tournois qui a débuté le 10 octobre 2013.
À la place de ces grands noms, on retrouve ceux des Jimmy Walker (trois victoires), Patrick Reed (deux victoires), Chris Kirk, Harris English, Scott Stallings, Chesson Hadley, Russell Henley, John Senden, Matt Every et, depuis hier, Steven Bowditch qui l’a emporté en se contentant de jouer 76, quatre coups au-dessus de la normale.
Avouez que ce n’était pas très excitant.
Je n’ai rien contre ces golfeurs. Même que je dis tant mieux pour eux : grâce à leur première victoire, ils ont mérité le droit d’être vus des amateurs pendant deux ans et de jouer au Tournoi des Maîtres. On devrait donc avoir assez de temps pour se familiariser avec les plus productifs du groupe.
Là où je ressens une sorte de malaise, c’est quand je vois que les noms des plus connus n’ont aucune victoire en 25 tournois et que, pire encore, ils ne sont pas du groupe des meneurs durant tout le week-end. Vive la parité dirons certains, mais je ne suis pas convaincu que c’est avec un nouveau-venu qui s’éclate chaque semaine qu’on attirera (ou gardera) l’intérêt des amateurs. Je ne pense pas qu’on fera la promotion des tournois avec ces sans-noms… À moins qu’un Jimmy Walker ou un Patrick Reed en gagne trois autres dont un majeur!
Depuis le début du calendrier 2013-2014, le seul véritable gros nom à avoir gagné un tournoi et figuré parmi les meilleurs à chaque tournoi a été Adam Scott. Bubba Watson, Webb Simpson et Dustin Johnson ont gagné chacun un tournoi mais ils n’ont jamais paru enflammés. On ne les a pas vu se battre avec leur fer droit entre les dents.
J’ai hâte au Tournoi des Maîtres et au Championnat des joueurs qui suivra pour voir si l’un ou l’autre de ces joueurs saisira le témoin laissé par Woods depuis 2008 ou si la tendance actuelle se poursuivra.
Cette semaine, le Circuit de la PGA est encore au Texas avec le dernier tournoi préparatoire au premier événement majeur de l’année. Qui l’emportera? L’an passé, les grands honneurs ont appartenu à D.A Points. Depuis, il s’est qualifié aux rondes finales 15 fois en 28 tournois et signé seulement cinq résultats dans le top 25.
À chacun ses munitions!
À la recherche de nouvelles balles? Voici peut-être ce qu’il vous faut.
TaylorMade Project (a)
Grâce à la nouvelle technologie « Soft Tech », l’enveloppe en uréthane de la nouvelle balle Project(a) de TaylorMade offre un maximum d’effet rétro autour des verts pour le golfeur moyen. Cette balle en trois pièces n’offre aucun compromis pour ce qui est de la distance, et ce, pour chaque bâton utilisé.
Titleist Velocity
À sa troisième année d’existence, la balle Titleist Velocity s’adresse aux golfeurs qui possèdent une moins grande vitesse d’élan. Axée sur la distance, les alvéoles de la balle Velocity ont été uniformisées de façon à ce que la descente de la trajectoire de la balle soit plus allongée. Résultat : un maximum de distance.
Callaway Super Soft
Il s’agit de la balle deux pièces possédant la plus basse compression avec 38. Le tout combiné à une enveloppe souple ou les alvéoles sont disposées selon la technologie HEX permettant une trajectoire plus perçante, et ce, peu importe les conditions. Offerte aussi en jaune.
Nike RZN Red/White
La nouvelle gamme de balles Nike RZN possède un noyau plus léger ce qui permet à la balle d’être beaucoup plus stable étant donné que le poids est en périphérie. Les modèles Red et White possèdent tous les deux trois couches. Cependant, la balle Nike RZN Red est axée sur l’envolée, tandis que la Nike RZN White est plus souple au touché.
Titleist NXT Tour/NXT Tour S
Voici deux modèles qui ont été améliorés au niveau de la souplesse de l’enveloppe et de la structure des alvéoles. Ces deux modèles offrent le même ratio d’effet-rétro que les populaires Pro V1 et Pro V1x sur les coups de départs et les fers longs. Même si elle ne possède que deux couches, la NXT Tour S propose un couvert plus souple que la NXT Tour à trois pièces.
Bridgestone B330/B330S/B330RX/B330RXS
Cette famille de quatre balles est de retour en 2014 avec des noyaux fabriqués avec de l’eau. La technologie « Hydro Core » permet de minimiser considérablement l’effet rétro des coups de départ pour un maximum de distance. Selon Bridgestone, c’est la vitesse de votre élan qui détermine lequel de ces quatre modèles de balles vous convient le mieux dans le but de maximiser votre distance.

Titleist Velocity
Un bon tournoi pour Max Gilbert
De retour en Floride, plus précisément à Harbor Hills qui recevait la série NGA, le Québécois Max Gilbert a terminé les quatre jours de la compétition avec une fiche de -6.
Malgré des cartes de 68, 71, 74 et 68, Gilbert a dû se contenter du 26e échelon, à 13 coups du vainqueur, l’Américain Dominic Bozzelli.
Voilà qui démontre à quel point il faut jouer de l’excellent golf dans les circuits d’apprentissage si l’on veut un jour accéder à un niveau plus élevé.
Gilbert a mérité un chèque de 1 100$.
Autre lundi pour Sara-Maude
Sara-Maude Juneau est au travail en ce dernier lundi de mars. Pour la deuxième fois en trois tournois, le Circuit Symetra doit prolonger ses activités d’une journée en raison du mauvais temps.
Après sa cinquième place la semaine dernière, Sara-Maude occupe le neuvième échelon d’un tournoi disputé à Longwood, en Floride. Elle se retrouve à huit coups de l’Américaine Hannah Yun qui coiffe le classement.
Occasion ratée par Maude-Aimée
Deuxième la semaine dernière dans un tournoi du Circuit Symetra, la Sherbrookoise Maude-Aimée LeBlanc avait obtenu une promotion à la LPGA pour participer à la Classique KIA, à Carlsbad, dans la région de San Diego.
Deux scores de 76, dont un 40 sur son neuf de retour final, ne lui ont pas suffi pour demeurer en action au cours de la fin de semaine.
Des produits fidèles à leur réputation
On ne pourra jamais reprocher au fabricant Titleist de ne pas être fidèle à sa vision et sa réputation. Peu importe les tendances et les nouveautés technologiques, cette entreprise fonctionne à sa manière et ça marche depuis plus de 80 ans. À preuve : Titleist est tout simplement l’équipement le plus utilisé au golf.
Fers Titleist 712U – 229 $
Une alternative aux joueurs élites qui désirent un meilleur contrôle de la trajectoire de leur balle comparativement avec un bâton hybride. Forgée et construite à partir d’un acier-carbone 1025, la tête du fer 712U offre une semelle plus large qu’un fer long tout en gardant un look ultra classique.
Fers Titleist 714 AP1 – 899 $
La cavité interne a été modifiée afin d’améliorer l’indulgence du fer. À l’intérieur, on retrouve toujours un poids en tungstène, situé dans le bout du fer. Pour maximiser la trajectoire de votre balle, le centre de gravité est progressif, donc plus bas pour les fers longs et plus haut pour les fers courts.
Fers Titleist 714 AP2 – 1199 $
Outre la grosseur de leur tête et leur processus forgé, les fers AP2 possèdent une cavité interne conçue différemment que les fers AP1, afin d’offrir une plus grande aisance de manoeuvre. De plus, une deuxième insertion en tungstène a été placée dans le talon, ce qui crée un plus long moment d’inertie.
Fers Titleist 714 CB et MB – 1099 $
Voici deux modèles de fers forgés qui ont été légèrement raffinés si on les compare à leurs prédécesseurs. Chaque fer offre très peu d’indulgence, mais un maximum de sensations, ce que les puristes adorent.
Cocheur Vokey SM5 – 149 $
Les nouvelles rainures TX3 qu’on retrouve sur les cocheurs Vokey SM5 proposent une toute nouvelle formule pour les cocheurs de 54 degrés et moins. Elles sont plus étroites et profondes, ce qui permet un meilleur contrôle de distance et de trajectoire. Avec six différentes semelles offertes selon l’angle du bâton, les cocheurs Vokey proposent pas moins de 21 combinaisons distinctes.
Balle Titleist Pro V1 et Pro V1x – 53$/dz.
La fabrication du noyau est faite à partir d’un nouveau procédé informatique qui permet de le fabriquer avec une meilleure densité. Résultat : un meilleur transfert d’énergie. L’enveloppe en élastomère est plus durable comparativement aux modèles antérieurs.
Bois de départ 913 D2 et D3 – 449 $
L’ajustement « Sure Fit Tour » permet toujours d’ajuster indépendamment l’angle au repos et l’angle d’ouverture de ce bâton. Ce mécanisme propose 16 positions différentes pour convenir à toutes les trajectoires. Le modèle D3 possède 15 cc de moins que la version D2 et offre un centre de gravité plus rapproché du point de percussion idéal, ce qui donne une trajectoire de coup plus perçante.
Bois d’allée Titleist 913F et 913F.d – 279 $
Tout comme les bois de départ, il est possible d’acheter séparément un ensemble de poids interchangeables afin de personnaliser la tête de votre bâton selon vos préférences. La version 913F.d possède une face plus large et diminue l’effet rétro lors de l’envol.
Quelques faits intéressants :
Le nom Titleist provient du diminutif « titlist » qui signifie « Title Holder » en anglais, soit « Tenant du titre » dans la langue de Molière.
En plus d’être l’inventeur de la balle Titleist, Phillip W. Young a été le premier à concevoir un robot qui effectue des élans de golf, dans le but de tester ses propres balles de golf.
La première fois qu’une balle Titleist a été mise en jeu officiellement, c’était lors de l’Omnium des Etats-Unis, en 1949.

Fers Titleist 714 AP1
Autres bois de départ, bois d’allée et hybrides
À la recherche d’un nouveau bois de départ, bois d’allée ou d’un hybride? Voici peut-être ce qu’il vous faut!
Bois de départ Wilson Staff FG Tour M3 – 349,99 $
C’est maintenant au tour de Wilson Staff d’offrir son tout premier bois de départ ajustable. Six positions d’angles d’ouverture sont possibles, tandis que trois pesées amovibles permettent de modifier le poids de la semelle dans le but d’optimiser la trajectoire de la balle.
Bois de départ Mizuno JPX-EZ – 319,99 $
La philosophie derrière ce bois de départ est d’aider le golfeur moyen et non le golfeur professionnel. Vous retrouverez donc un centre de gravité très bas pour élever votre trajectoire de balle en plus d’un embout ajustable à huit positions facile à utiliser.
Bois de départ FT Optiforce – 429,99 $
Offert en deux versions : 440 cc et 460 cc. Ce bois de départ possède une combinaison intéressante au niveau de l’ajustement et de la légèreté. De plus, la face possède les technologies VFT et hyperbolique pour maximiser le transfert d’énergie.
Bois d’allée Cleveland 588 – 209,99 $
L’objectif technologique de ce tout nouveau bois d’allée Cleveland 588 est d’être le plus léger possible afin de maximiser la vitesse de votre élan. Au total, ce bois d’allée pèse 300 grammes, grâce, en partie, à une tige de 52 grammes.
Bois d’allée PING G25 – 259,99 $
Cette tête de 165cc possède la face la plus mince produite par les ingénieurs PING. De plus, cette dernière s’amincie davantage vers les parois afin de maximiser le transfert d’énergie à l’impact.
Hybride Adams Pro – 229,99 $
Le nouvel hybride Adams Pro possède l’une des têtes les plus petite sur le marché avec seulement 95cc. La technologie « Velocity Slot » permet à une plus grande partie de la face d’être plus flexible lors de l’impact. Une version Pro Mini est également offerte.
Hybride Adams Pro DHy – 229,99 $
Pour ceux qui préfèrent davantage de manœuvrabilité qu’un hybride sans pour autant sacrifier de l’indulgence, le nouvel hybride Adams DHy est offert selon quatre angles d’ouverture. Ayant le look d’un fer, la cavité arrière est complètement pleine offrant ainsi une semelle très large pour de meilleurs contactes avec le sol.

Bois de départ Mizuno JPX-EZ
Adam Scott va-t-il s’en remettre cette fois?
Après avoir mené par huit coups à un certain moment durant l’Invitation Arnold Palmer, Adam Scott s’est effondré en jouant 76 lors du dernier tour. Ses difficultés ne sont pas sans rappeler ses contreperformances des deux dernières années à l’Omnium britannique.
En 2012, l’Australien alors âgé de 31 ans a laissé filer l’avance de quatre coups qu’il avait en inscrivant des bogeys sur les quatre derniers trous. La victoire est finalement allée au vétéran Ernie Els.
L’an dernier, le champion en titre du Tournoi des Maîtres menait par un coup quand il a entrepris le dernier neuf de retour. Il a encore connu des ennuis et a laissé un autre vétéran, Phil Mickelson, s’enfuir avec la victoire.
Avec un peu plus de chance (ou de précision) ce n’est pas une, mais bien cinq victoires majeures que Scott aurait à sa fiche.
Le week-end dernier, il a totalisé 63 coups roulés durant les deux dernières rondes (32 dimanche). Ses trois coups roulés du 16e trou, lorsqu’il avait une occasion d’aigle sur une distance de 20 pieds lui ont coupé les jambes, mais c’était prévisible car il avait réussi un seul coup roulé de plus de six pieds durant la journée. Lors du premier tour, sur le même parcours, il avait eu besoin de 23 coups roulés seulement pour ramener une carte de 62, 10 coups sous la normale.
Est-ce que Scott va s’en remettre cette fois? Car dimanche, tout au long de son neuf de retour, il avait l’air drôlement inquiet. Son cadet, Steve Williams, a porté le sac de Tiger Woods lors de six de ses huit victoires à Bay Hill, aurait peut-être dû l’aider un peu plus à contrôler ses nerfs.
Quoi qu’il en soit, la vie continue. Aujourd’hui et demain, Scott sera justement au Augusta National pour des rondes d’entraînement. Par la suite, pendant que le circuit se transporte pour une tournée de deux semaines au Texas, il s’accordera un repos et on ne le reverra pas avant le Tournoi des Maîtres.