Brigitte Thibault en finale de la LPGA dans une fin captivante!
Les qualifications automnales de la PGA et de la LPGA sont une période d’émotions qui peuvent aller dans toutes les directions. Brigitte Thibault, d’Équipe Canada, en est la plus réjouissante.
Après la profonde déception d’Étienne Papineau, son coéquipier de Pinegrove éliminé par un seul coup en toute fin avec le malheureux boguey commis sur la distance de trois pieds alors qu’il n’avait besoin que d’une normale pour atteindre la deuxième étape, voilà que Brigitte brille avec maestria et éclat à Venice, en Floride, en se qualifiant pour la finale de la LPGA.
La golfeuse de Rosemère, âgée de 26 ans, a terminé avec un score de 67.
« Mon meilleur pointage de tous les temps! » commente Brigitte sur Facebook avec l’ajout d’un bonhomme ultra-sourire pour bien s’assurer qu’on sache bien son bonheur, et avec raison.
BOND PRODIGIEUX
Il faut savoir que ce 67 de Brigitte Thibault représente le troisième plus bas résultat de l’ensemble de la sortie finale, après ses 73, 75 et 69 précédemment.
Il lui fallait finir 45e ou mieux pour accéder à la finale en Alabama, au début de décembre .
Or, sa performance, aussi spectaculaire qu’opportune, lui a permis de bondir 53 rangs en seulement 18 trous pour terminer 29e au classement cumulatif.
AUTRES CHIFFRES À RETENIR
Il faut aussi savoir que la fiche de moins quatre au total des quatre jours de Brigitte Thibault l’a aidée à sceller la fin de semaine avec un coussin d’un coup grâce à deux oiselets tardifs obtenus aux 16e et 17e trous pour un 32 au dernier neuf trous, et moins sept sur ses onze derniers trous lorsqu’on inclut le combo oiselet-aigle aux 8e et 9e.
Aussi parmi les aspirantes, Josée Doyon, de la Beauce, a été écartée pour la suite à plus 24.
Ah non, pas ça à Étienne Papineau!
« Golf is a b****! » Le vétéran Dave Lévesque a tout résumé en quelques mots la fin absolument arrache-cœur et déchire-moral d’Étienne Papineau, d’Équipe Canada et de Pinegrove, en ouverture des qualifications automnales Korn Ferry, la semaine dernière.
Grâce à ses cartes de 70, 67, 67 et de 70 en conclusion à Lincoln, au Nebraska, il n’avait besoin que d’une normale pour accéder à la phase 2.
Un coup de départ logé au centre de l’allée et le vert atteint en deux sur la distance de 147 verges devaient normalement compléter la besogne.
SI PROCHE ET SI LOIN À LA FOIS
Un premier roulé de 25 pieds en montant, frappé avec un peu trop de vigueur en raison du stress de la situation, a dépassé la cible de trois pieds avec un retour en descendant, cette fois, pour venir tout compliquer.
C’était le premier triple de la semaine et plus encore, sa fiche sur les verts étant de 61 réussites en 61 tentatives jusque-là pour les roulés à cinq pieds ou en-deçà.
Pour raccourcir le supplice d’une histoire cruelle, il fallait -9 au cumulatif, ce qui représente un coup de trop.
« C’est à la table de pointage que la réalité est venue me chercher en-dedans. Je jouais du bon golf avec la bonne attitude de gagnant et une préparation top notch », écrit-il sur Facebook.
Quand est la prochaine fois où les conditions pourront à nouveau être réunies de la sorte, lui qui est âgé de 30 ans?
La situation est d’autant plus regrettable que, faute de résultats, Papineau avait été dépouillé, plus tôt ce mois-ci, de sa permanence Korn Ferry, valide depuis deux ans.
Au-dessus de tout, il est une excellente personne.
Un rude travailleur, Étienne Papineau est un homme brisé. « Ma saison a été longue et très exigeante mentalement avec beaucoup de déceptions et de remises en question. J’ai besoin d’une longue pause pour décrocher », demande-t-il à son public.
MESSAGE PORTEUR
Les réactions d’encouragement de la famille du golf n’ont pas tardé.
« Prends le repos et utilise le revers de fortune pour revenir fort », suggère l’ex-champion des PGA du Québec et Canada, Dave Lévesque.
« Crois-le ou non, tu vies la plus belle période. Le plus important, c’est ton prochain coup et ton attitude. Golf is a bitch! Tu n’as pas atteint ton plein potentiel. Tu gardes la tête haute et tu continues de travailler », ajoute-t-il en défilant une série de conseils à son jeune ami ravagé.
« Tu as toute ma confiance », de terminer Dave Lévesque, qui a connu ce type de mésaventure à un haut niveau à ses années compétitives.
Sage réflexion à Étienne Papineau!
QUI A FAIT QUOI AILLEURS?
Sur la coche avec une ronde à faire en vertu de ses résultats de 67, 68 et 72 au New Jersey, William Duquette était en bonne posture pour obtenir son ticket.
Une recrue chez les professionnels, le golfeur de Laval-sur-le-Lac a toutefois dû se contenter de 74 en conclusion pour un cumulatif de -3 et donc trois coups de trop pour poursuivre.
***
À Albuquerque, au Nouveau-Mexique, Brandon Lacasse, du Blainvillier, a aussi raté par trois coups.
Ses comptes ont été de 70, 75, 70 et 69 pour la normale.
Au total, ils étaient six du Québec en action lors de la première des deux semaines de la phase deux.
Joey Savoie (Pinegrove) avec 75, 69, 70 et 70 au Nebraska, Laurent Desmarchais (Cowansville) avec 71, 76, 74 et 78 à Alburquerque, de même que Brandon Rattray (La Vallée du Richelieu) avec 76, 77, 77 et 71 au New Jersey, complétaient la délégation.
Tous les huit doivent maintenant attendre un an avant de pouvoir se reprendre.
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Cette semaine, Raoul Ménard (Pinegrove) et Rémi Chartier (Royal Montréal-Naples) prennent la relève à West Palm Beach et Ocala.
Le golf d’automne: Le meilleur golf
Le golf d’automne, c’est le meilleur golf!
Il y a une certaine poésie qui entoure le jeu de golf en automne. L’air est plus vif, les foules se dispersent et le parcours lui-même semble plus calme, comme s’il pouvait enfin souffler après les chaleurs de l’été. Si vous en parlez à des golfeurs chevronnés, nombre d’entre eux vous diront que l’automne est la saison idéale secrète pour le golf. Voici pourquoi le golf d’automne n’est pas seulement agréable, c’est le meilleur golf qui soit.
1. Le temps parfait pour se concentrer
Les après-midis étouffants et les coups de soleil ne sont plus que des souvenirs. L’automne crée des conditions idéales pour jouer : l’air frais et confortable, l’humidité moins accablante font en sorte que parcourir les 18 trous devient un vrai plaisir plutôt qu’une corvée. Les matins vivifiants aiguisent vos sens, et cette légère fraîcheur donne à votre élan un regain d’énergie. Vous pouvez vous concentrer davantage sur votre jeu et moins sur la chaleur.
2. Un décor naturel au faîte de sa splendeur
Peu de sports vous offrent une telle occasion d’admirer la nature autant que le golf, et l’automne transforme chaque partie en une carte postale émouvante. Allées dorées, érables rouges ou orangés, herbes longues de teinte ambrée : un bonheur pour les yeux. Même une partie médiocre semble plus agréable lorsqu’on est entouré d’un paysage digne d’une couverture de magazine de voyage. La brume matinale qui s’élève de l’allée? C’est le genre de chose dont vous vous souviendrez tout l’hiver.
3. Parcours plus calmes (et moins coûteux)
À la fin de l’été, de nombreux golfeurs occasionnels rangent leurs bâtons et les tertres se libèrent, donnant lieu à des parties plus sereines. Et l’on trouve souvent de meilleures heures de départ à prix réduit, sans compter que plusieurs terrains de golf proposent des forfaits d’automne au rabais avant de fermer pour l’entretien hivernal. Moins d’achalandage égale moins d’attente, un meilleur rythme de jeu et une ambiance de golf aussi agréable que la saison elle-même.
4. Meilleure perception de la balle
Il y a quelque chose dans l’air automnal, cette sensation nette et sèche, qui rend les contacts solides avec la balle encore plus satisfaisants. Bien sûr, elle ne va peut-être pas aussi loin lorsque les températures sont plus fraîches, mais cela fait partie du charme. Vous êtes obligé de réfléchir, de vous adapter, de vraiment jouer au golf. Le gazon a également tendance à être plus souple, ce qui donne à vos fers un son parfait et cristallin. Le golf d’automne récompense la sensation plutôt que la force, la précision plutôt que la puissance.
5. Une saison de réflexion
Le golf et la réflexion vont de pair, et l’automne est la saison la plus propice à l’introspection dans ce sport. Chaque partie évoque l’année écoulée, devient une occasion d’apprécier les progrès accomplis, de savourer des moments privilégiés et de clôturer la saison de golf à sa manière. Un certain rythme s’impose : le craquement des feuilles sous les pieds, le jeu plus lent, les ombres qui s’allongent sur la 17e allée. C’est l’essence même du golf : simple, serein et profondément satisfaisant.
6. Une atmosphère différente au pavillon
Une fois le dernier roulé dans la coupe, rien de mieux que de rentrer au pavillon pour déguster un plat réconfortant, un cidre chaud ou une bière d’après partie au coin du feu. Le golf d’automne ne se limite pas au parcours, c’est aussi une question de convivialité et de confort. Les conversations durent plus longtemps, les rires viennent plus facilement. C’est cette dimension du jeu qui vous rappelle pourquoi vous l’aimez tant.
Finalement, c’est le golf à son état le plus pur
Le golf d’automne n’a pas besoin de fanfare ni de tournois fastueux. Il est synonyme de paix, de précision et de perspective. Que vous cherchiez à battre votre dernier record personnel ou que vous souhaitiez simplement profiter du paysage avant les premières neiges, c’est le golf dans sa forme la plus authentique : calme, magnifique et plein d’émotion.
Alors, enfilez une couche de vêtements supplémentaire, apportez une thermos de café chaud et rendez-vous au premier tertre. L’automne vous appelle, et vous pourrez jouer sur votre parcours préféré sous une lumière parfaite.
Billets de choix pour l’Omnium canadien RBC 2026 en vente à prix préférentiel
Réservez votre place au TPC Toronto d’Osprey Valley dès maintenant pour profiter d’un bon prix avant le Nouvel An
OAKVILLE, ON – Golf Canada, en partenariat avec RBC, annonce aujourd’hui que des billets de choix sont maintenant disponibles pour l’Omnium canadien RBC 2026 qui aura lieu du 10 au 14 juin au TPC Toronto d’Osprey Valley (North Course) à Caledon, en Ontario.
La 115e édition du Championnat national ouvert de golf masculin du Canada revient au TPC Toronto après un premier passage électrisant sur le site de ce club hôte qui a marqué la riche histoire de l’Omnium canadien RBC, alors que le Néo-Zélandais Ryan Fox a défait Sam Burns au terme d’une prolongation de quatre trous sur le 18e trou à normale 5 de 576 verges.
« Nous sommes ravis d’offrir aux amateurs de golf la possibilité de réserver dès maintenant leur place pour l’Omnium canadien RBC 2026 et de garantir les meilleurs prix avant le Nouvel An, a déclaré Ryan Paul, directeur du tournoi de l’Omnium canadien RBC. D’autres annonces excitantes suivront au cours des prochains mois, notamment concernant les participants et les expériences offertes aux spectateurs, alors que nous retournons au TPC Toronto après une finale mémorable en juin dernier. »
Évènement sportif annuel qui compte parmi les plus prestigieux au Canada, l’Omnium canadien RBC 2026 propose trois choix de billets pour permettre aux amateurs de golf de vivre l’expérience électrisante du golf professionnel en personne au Championnat national ouvert de golf masculin du Canada. Les options de billets en prévente à tarif préférentiel comprennent :
- Billet d’un jour : Accès au site de l’Omnium canadien RBC n’importe quel jour, du mercredi au dimanche (en vente pour une durée limitée, tant qu’il en reste).
- Billet hebdomadaire : Accès au site pour toute la semaine du tournoi, de mercredi à dimanche inclusivement.
- Billet hebdomadaire au Pavillon Sleeman (anciennement le Club 1904) : Accès pendant les quatre jours de jeu du Championnat, du jeudi au dimanche inclusivement.
Le TPC Toronto est l’une des destinations canadiennes de golf les plus prisées, avec ses trois parcours classés dans le Top 100 par SCOREGolf Magazine. En 2023, le parcours nord (North Course) conçu par Doug Carrick a fait l’objet d’importantes rénovations sous la direction de l’architecte réputé Ian Andrew en consultation avec le PGA TOUR afin que le site puisse accueillir des compétitions de grande envergure comme des championnats mondiaux.
Tout en assistant à du golf de classe mondiale au TPC Toronto, les amateurs pourront chanter à tue-tête leur meilleure interprétation d’Ô Canada et vivre les sensations fortes de l’emblématique trou de la « Patinoire (Rink Hole) », en plus de déguster les mets et boissons haut de gamme que propose l’allée Fare Way mettant en vedette The Keg.
Le bénéficiaire officiel de bienfaisance de l’Omnium canadien RBC est First Tee – Premier départ Canada. Dans le cadre de l’engagement du championnat en faveur du golf junior, l’admission est gratuite toute la semaine pour les enfants de 12 ans et moins.
Pour acheter des billets ou obtenir de plus amples informations sur l’Omnium canadien RBC 2026, veuillez visiter le site omniumcanadienrbc.com.
Automne québécois, Ottawa, PQ, retour de la formule « Skins » et autres nouvelles
Il vous reste une vieille carte routière aux coins roulés des États-Unis dans un tiroir? Sortez-la. Elle pourrait être fort utile pour aider à localiser les aspirants québécois en action lors des qualifications de la PGA (Korn Ferry) et de la LPGA.
La représentation y est en surnombre (9), ce qui explique l’étendue du territoire à ratisser.
Étienne Papineau et Joey Savoie sont à Lincoln, Nebraska; Laurent Desmarchais et Brandon Lacasse à Albuquerque, Nouveau-Mexique; William Duquette et Brandon Rattray à Galloping Hill, New Jersey; alors que Raoul Ménard est en solitaire à Ocala, Floride.
En même temps, Josée Doyon et Brigitte Thibault sont réunies en examens « Q. Series » à Venice, en Floride.
Les qualifications, autant du côté féminin que masculin, représentent un très long et stressant marathon nous transportant jusqu’en décembre.
Le processus est réparti en trois étapes chacune de 72 trous, la finale de la LPGA devient du golf extrême en étant la finale à 90.
Concernant la pression, les résultats décideront de l’entièreté des activités 2026 à savoir dans quels circuits et où elles et ils seront éligibles à évoluer. Bonne chance!
FÉLICITATIONS
Elles vont au Fairmont Manoir Richelieu, lequel appartient maintenant au groupe des établissements distingués de la Clé Michelin à l’instar de son voisin Le Germain.
OTTAWA RECONNAÎT LE TALENT D’ICI
Séparée que par une rivière, l’Ottawa Valley Association est beaucoup aussi celle de l’Outaouais, alors que des cinq intronisations à son Temple de la renommée, trois ont eu des carrières ayant transité au Québec.
Commençons le trio avec Danielle Nadon, grande dame du golf de la région.
Après ses débuts dans le métier à l’âge précoce de 17 ans, au club Chaudière devenu maintenant Château Cartier, les 47 ans qu’elle totalise au sein de son sport l’ont menée à la présidence de la PGA ottavienne deux fois et à celle de l’Omnium canadien à la LPGA.
En plus, il y a les prix d’excellence, notamment dans l’enseignement, qu’il faut ajouter à son palmarès.
L’organisme remonte aux années 1920 pour honorer Ernie Wadelam. Il a été pro à l’Île d’Orléans et au Kent avant d’aller poursuivre sa carrière dans la capitale fédérale.
Titulaire de la PGA canadienne (pro ou adjoint) à trois occasions, en plus du Québec dans les rangs amateurs, figure parmi les faits marquants au palmarès de Marc-Étienne Bussières.
Originaire de Gatineau, il est un maître-d’œuvre à succès de l’Académie Longchamp, à Sherbrooke.
Kurtis Barkley et Bob Henry sont les autres intronisés 2025.
LE SKIN GAMES RESSUSCITE APRÈS 17 ANS
Ce n’est pas la réunification des Beatles comme nouvelle, mais ce n’est pas rien non plus l’annonce du retour prochain du Skin Games, abandonné depuis 2008.
Parce que la date sera le 28 novembre, donc le Black Friday avec la surdose de ventes et de football, la diffusion commencera dès 9 h le matin, sur Prime Video d’Amazon, en direct du terrain Panther National, une création de Jack Nicklaus, à Palm Beach.
Le quatuor d’élite sera formé de Justin Thomas, Xander Schauffele et Tommy Fleetwood, donc trois parmi les six premiers joueurs au monde, de même que Keegan Bradley, capitaine de la Coupe Ryder qui est encore déçu.
Un changement bien réfléchi se trouve dans les bourses. Tout le monde débute avec un million de dollars en banque. Pour la suite, les quatre pourraient devoir fouiller dans leur réserve d’énergie pour ajouter au suspense. Le magot final sera ainsi déterminé selon l’ensemble du niveau de jeu.
DILEMME QUI N’EST PAS UN
Un sujet « chaud » ces temps-ci consiste à déterminer si les clubs de golf devraient garder le pied sur le frein pour la prévision hivernale avec le beau temps annoncé?
Le pari pourrait s’avérer dispendieux le printemps prochain si jamais l’hiver devait frapper sans avertissement.
En passant, la météo au Manitoba prévoit 20 centimètres de… neige!
DERNIÈRE HEURE
Marc-André Piette est nommé professionnel à La Vallée du Richelieu. Il arrive de l’Outaouais. Le paternel, Gerry, va être fier.
FAUSSE RUMEUR!
Absolument fausse la rumeur à propos de la nouvelle garantie en vigueur, depuis le début du mois dans le cadre de la loi 29, à l’effet que l’obsolescence programmée s’applique à notre driver lorsqu’il commence à frapper trop croche! Bis lorsque le fer droit perd la cible!
À la semaine prochaine!
Les lauréats Méritas TaylorMade 2025 sont…
Mario Bouchard, qui prend sa retraite dans les honneurs, et William Blanchard, qui officialise son appartenance à l’élite y rejoignant son père, Carlo, ressortent parmi les faits saillants de la soirée Méritas TaylorMade 2025 de la PGA du Québec.
Bouchard avait informé à la mi-saison le président de Royal Québec de son non-retour l’an prochain.
Blanchard, du club Fontainebleau-Rosemère, est double joueur de l’année au classement général et chez les adjoints. Son père, Carlo Blanchard, a été trois fois champion du Québec.
Sans surprise, Sylvie Schetagne, de Golf Tonus, obtient le prix féminin au jeu, en espérant qu’il mène à une participation accrue chez la gente féminine.
Un autre doublé réussi a été celui de pro en titre et d’entraîneur de Jean-Charles Côté-Sauvé et d’Alexandre Ouellette, tous deux du Blainvillier.
Voici la liste officielle des choix. Les lauréats Méritas du Québec deviennent finalistes aux récompenses d’excellence de l’année à la PGA du Canada.
LES LAURÉATS TAYLORMADE 2025 DE LA PGA DU QUÉBEC
| Pro-gestionnaire : | Mario Bouchard, Royal Québec |
| Pro en titre : | Jean-Charles Côté-Sauvé, Le Blainvillier |
| Classe A : | Alexandra Pelletier, Country Club |
| Joueur par excellence au classement général et dans la catégorie des adjoints : | William Blanchard (Rosemère-Fontainebleau) |
| Joueuse par excellence : | Sylvie Schetagne, Golf Tonus |
| Joueur pro de club : | Billy Houle, Joliette |
| Joueur sénior : | Martin Plante, Balmoral |
| Enseignant : | Keven B. Tremblay, La Tempête |
| Entraîneur par excellence : | Alexandre Ouellette, Le Blainvillier |
| Programme junior : | Philippe Croteau, Pinegrove |
| Apprenti : | Pascal Garneau, Golf 3-R |
| Boutique par excellence : | Pinegrove |
| Prix Top 25 : | Thomas Ducharme, Venise |
| Représentant de l’année : | Jean-Philippe Piché, Callaway |
Sudarshan Yellamaraju obtient sa carte du PGA TOUR dans un dénouement spectaculaire
Le Canadien Sudarshan Yellamaraju accède au plus haut niveau du golf masculin.
Âgé de 24 ans et originaire de Mississauga, en Ontario, Yellamaraju a obtenu sa carte du Circuit PGA TOUR pour la saison prochaine en terminant 19e au classement de la saison du Korn Ferry Tour, à l’issue de la ronde finale du Championnat KFT disputée dimanche à French Lick, en Indiana. Les 20 premiers du classement accèdent au PGA TOUR.
Yellamaraju abordait la semaine au 20e rang. Grâce à une troisième ronde consécutive de 71 (-1) dimanche, il a grimpé au 19e rang et conclu le tournoi à -2, à égalité en 24e position.
Le Canadien a toutefois dû patienter nerveusement. Après un excellent départ, il a commis trois bogueys consécutifs aux trous numéros 14 à 16. Il a ensuite réussi des normales aux deux derniers trous, ce qui lui a permis de conserver sa place dans le top 20 une fois tous les joueurs rentrés au pavillon.
Yellamaraju en était à sa deuxième saison sur le Korn Ferry Tour. Il avait remporté le Bahamas Great Abaco Classic en janvier, ce qui l’a propulsé dans la course à une place sur le PGA TOUR.
Son parcours vers le PGA TOUR est unique. Né en Inde, il a immigré avec sa famille à Winnipeg à l’âge de quatre ans, puis a déménagé dans la région du Grand Toronto à 11 ans. Il a remporté le Championnat amateur de l’Ontario à 16 ans, mais n’a pas poursuivi ses études aux États-Unis, expliquant plus tôt cette année qu’il n’avait pas reçu suffisamment de bourses pour que ce soit viable. Il est donc passé professionnel immédiatement après le secondaire.
Yellamaraju a joué sur le PGA TOUR Americas en 2022 et 2023 avant d’obtenir son statut sur le Korn Ferry Tour en 2024. Il avait terminé 99e au classement des points la saison dernière.
Par ailleurs, Stuart Macdonald, de Vancouver, a pris le 6e rang du Championnat KFT à -8. À trois coups du meneur avant la ronde finale, Macdonald devait l’emporter pour se hisser dans le top 20 du classement de la saison.
Myles Creighton, de Digby, en Nouvelle-Écosse, a également raté le top 20, terminant à égalité en 43e position lors de ce tournoi.
Les deux joueurs ont toutefois obtenu leur place à l’étape finale de l’école de qualification du PGA TOUR plus tard cette année, grâce à leur position dans le top 50 du Korn Ferry Tour.
L’Américain Chandler Blanchet a remporté le tournoi de fin de saison avec un score de -14.
Retour sur «sec-tembre», l’art de redonner, un as du ski honoré au… golf et plein d’autres nouvelles
Météomédia s’adjuge à la fois les prix de la réalité et de la créativité des mots en évoquant « sec-tembre » dans son bilan du mois passé.
La province entière a été en déficit de pluie. Selon les régions, les moyennes ont été de 30 à 50% inférieures.
La température a été de plus .5 à 1.5 degré même si ça semblait souvent davantage collant.
Le soleil a fait du temps supplémentaire, ce dont on ne se plaindra pas non plus. Le nombre d’heures a haussé à 233 de luminosité comparativement à 182.
Pour la suite, il y a de quoi être optimiste. C’est un mois d’octobre plus doux qu’habituellement que les experts observent dans leurs radars.
GRAND COEUR ET TALENT VONT ENSEMBLE
C’est le cas de Rory McIlroy et Tommy Fleetwood, alors que les héros de la Coupe Ryder procèdent à des dons respectifs de 10,9 millions $ pour les sans-abris et six millions de dollars auprès de l’aide à l’enfance.
Disons que cela aide à réconcilier avec le golf suite au désastre inexcusable du comportement du public américain à la Coupe Ryder.
COUPE RYDER… LA SUITE
En plus de la victoire sur le terrain, les Européens ont aussi triomphé dans les auditoires avec 8,8 millions de personnes sur SkySports versus 3.2 à NBC pour le plus anémique total en 25 ans.
DEBBIE SAVOY MOREL REND HOMMAGE À JOSÉE PÉRUSSE
En continuité à une carrière à faire jouer les autres au golf, Josée Pérusse pourra dorénavant le faire davantage pour elle au club de Sherbrooke.
Les nouvelles en prévision de l’an prochain que rapporte André Rousseau font que Josée, populaire directrice de golf, demeurera proche des membres, qu’elle poursuivra son enseignement (été comme hiver dans des installations en salle) et qu’elle maintiendra son tournoi à succès strictement féminin, mais qu’elle sera moins aux opérations quotidiennes.
Bref, bienvenue à la semi-retraite très méritée, madame!
À l’instar de Debbie Savoy Morel, Josée est une précurseure et un modèle au golf féminin. D’ailleurs, Debbie lui rend hommage.
« Bien que Josée était une solide joueuse dans les rangs amateurs provinciaux, son passage chez les pros n’a pas été effectué pour aller vers la compétition. Sa motivation a toujours vraiment été de pouvoir partager davantage sa passion avec les gens de l’Estrie, commente Debbie. Josée a fait la différence. Bravo pour la carrière. »
Malgré ses liens avec Sherbrooke, d’où elle est aussi diplômée universitaire en éducation physique, Josée Pérusse est un talent d’Asbestos. C’est au parcours de la mine qu’elle a appris son golf chez les juniors et peaufiné son jeu dans les rangs amateurs avant d’y être promue professionnelle la première en remplacement de son mentor, feu Connie Dion.
UN AS AUTANT DES VERTS QUE DES PENTES
Toutes nos félicitations à Robert Fugère, dont c’est demain, le 7 octobre, l’intronisation au Temple de la renommée du Québec. La cérémonie présidée par Marcel Paul Raymond se tient à son club Rivermead, à Gatineau.
Ce sportif multi-talents a tout ravi dans les rangs seniors et en… ski.
Il a été coéquipier de la légendaire Nancy Greene avec l’équipe canadienne en Europe.
Habile descendeur, il a été titulaire national, membre de l’élite aux Championnats du monde et un brave concurrent à la mythique épreuve de Kitzbühel, laquelle équivaut au ski ce qu’Augusta représente dans les événements de la série des grands classiques du sport.
Bravo encore, Monsieur Fugère!
MODÈLE DE L’ENVIRONNEMENT
Dans les lauréats de l’année déjà déterminée, il y a Owl’s Head Ski-Golf, en Estrie, qui enlève le prix de la catégorie du tourisme responsable.
L’hommage possède la particularité de rayonner plus large que le golf et le sport, celui-ci étant décerné par l’Alliance de l’ensemble de l’industrie au Québec.
DE LA VISITE POUR CONCLURE LE CENTENAIRE
Ça va jaser golf à l’hôtel Fairmont du Manoir Richelieu.
L’Association des clubs de golf du Québec a choisi l’endroit centenaire pour y tenir son congrès annuel du 18 au 21 novembre.
RETENEZ BIEN LE NOM!
Blades Brown a joué 60 au circuit Korn Ferry après 61, 62 et 63 deux fois plus tôt cette année. Cela fait peur. Le jeune homme n’a que 18 ans!
26
Le nouveau total de gagnantes différentes à la LPGA avec la victoire de Youmin Hwang à Hawaii, en fin de semaine dernière.
MESSAGE D’ESPOIR
Il est offert par Jean-Marie LaForge, auteur d’un trou d’un coup. Ne désespérez pas.
Il faut savoir que le vétéran professionnel de La Tuque est âgé de 91 ans!
Une mention spéciale à Lise Grimard pour son as réalisé à Sherbrooke. La dame a 89 ans.
AUTRE SPORT DE BALLE ET DE BÂTON
Allez les Jays malgré la nostalgie toujours présente de nos Expos!
La PGA et Étienne Papineau, Joey Savoie confirmé à la série latino, premier test de la LPGA réussi pour Brigitte Thibault et autres nouvelles
Une carrière est déjà assez compliquée qu’Étienne Papineau n’avait définitivement pas besoin de cette erreur de la PGA.
Le « double boguey » de l’organisation est d’avoir accepté par accident, plus tôt ce mois-ci, un joueur non-éligible à un évènement du Korn Ferry Tour, ce qui allait cruellement faire de Papineau une victime.
En effet, le résultat éventuel de l’intru allait reléguer Étienne au 121e rang, alors que seuls les 120 premiers étaient admis à l’étape à venir, du 2 au 5 octobre, à Columbus en Ohio.
DU DÉSESPOIR À LA DEUXIÈME VIE
« J’étais au dîner et je n’avais pas le goût de parler à personne », dit le porte-couleurs d’Équipe Canada et du club Pinegrove en reconstituant les péripéties dans un témoignage Facebook.
Trois bogueys commis sur les quatre derniers trous n’avaient déjà pas aidé le moral.
Il admet avoir eu les larmes avec tant de labeur devenant obsolète, lui qui était supposément éliminé.
« Dans ma tête, je venais de perdre ma job », affirme-t-il à propos de son état d’esprit du moment.
Il faut reconnaître que d’être relégué aux misères des qualifications n’est pas l’idéal à 29 ans.
C’est à ce moment de grande déception, lire de désolation, que la PGA se pointe à sa table sans s’annoncer et lui demande un entretien.
On lui explique la situation invraisemblable et dans une décision qui l’honore, la PGA assumait d’abord la responsabilité de l’inexactitude.
Dans ces circonstances, il sera quand même du prochain rendez-vous, une motion ayant été prise pour hausser le peloton de 120 à 121 inscrits juste pour lui.
Le défi reste cependant intégral. Il lui faut maintenant remonter, cette semaine, parmi les 100 premiers de l’année pour garder son éligibilité au circuit Korn Ferry l’an prochain et dans les 75 premiers pour être de la finale qui suivra dans deux semaines.
« Ce n’est jamais fini avant que ce soit fini », affirme le survivant.
2026
Un emploi déjà sécurisé en prévision de 2026 à l’international est celui de Joey Savoie, dont le retour à la série PGA TOUR Americas est affaire classée.
Il fallait terminer 80e ou mieux dans les points de fin d’année à la Coupe Fortinet, lesquels achevaient dimanche dernier à Surrey, en Colombie-Britannique, et le porte-couleurs d’Équipe Canada et de Pinegrove a conclu 77e.
C’est un recul sur sa place au club des 15 premiers il y a un an et cela est hormis sa victoire à la Coupe Canada de Victoriaville au cours de l’été, l’évènement étant indépendant.
PREMIÈRE ÉTAPE FAITE!
Une autre preuve que l’automne est arrivé s’avère le début des qualifications aux grands circuits aux États-Unis.
C’est ainsi que Brigitte Thibault disputait les pré-sélections de la LPGA du Texas, la semaine dernière.
La joueuse du club Rosemère-Fontainebleau, aussi membre d’Équipe Canada, a enregistré des pointages de 71, 71 et 74 pour progresser.
Son prochain test suivra en Californie à la mi-octobre.
Malheureusement, Céleste Dao, de Summerlea, et Sarah-Ève Rhéaume, de Royal Québec, ont raté leur examen en Floride. Elles devront maintenant patienter un an.
IN MEMORIAM
Une régulière dans l’entourage de la PGA, Makena White, d’Ottawa, est décédée. Partenaire de Jake Knapp, elle n’avait que 28 ans. « Être aimée de Mak représentait un cadeau de la vie tellement elle était généreuse de son attention », commente une amie dans les condoléances.
ROYAL QUÉBEC CHOISIT DAVID RIVEST
Le comité du club plus que centenaire de Royal Québec (1874 et donc 151 ans d’existence) officialise publiquement son choix au poste de la direction générale. David Rivest devient le nouvel administrateur principal en succession à Mario Bouchard.
La fonction à Royal Québec est l’une des très convoitées pour son histoire (deuxième plus ancien club en Amérique, un an après le Royal Montréal) et la qualité du site privé de 36 trous.
David Rivest arrive de La Vallée du Richelieu depuis les huit dernières années. Stratège, communicateur et chef de file, le succès de l’Académie de La Vallée est entre autres le sien parmi les dossiers menés et réussis.
Il possède aussi un bagage associatif.
Royal Québec et son président, Louis Julien, ont choisi une compétence. Leur travail a été minutieux, ayant été entrepris dès l’été lorsque Mario Bouchard a fait part de son nouveau choix de carrière. La semaine dernière, les membres l’ont honoré pour ses 14 ans de service.
David Rivest débutera à Royal Québec dès le 3 novembre.
Question d’optimiser le transfert des responsabilités, Mario Bouchard, qui a succédé à Marc Grenier, demeurera autour jusqu’à l’assemblée générale en février prochain.
RETOUR GAGNANT DES CARABINS
Comment se sentent les Carabins d’avoir remporté le titre québécois la semaine dernière sur le parcours trifluvien Le Marthelinois? Contre le Rouge et Or comme rival, la réponse est que c’est très long d’y parvenir.
Cette réussite s’avère une première depuis 1961.
« Aucun joueur de l’équipe actuelle n’était encore né il y a 24 ans », relève d’ailleurs le site officiel.
L’année aura définitivement été celle des Carabins avec la victoire lors des deux étapes du calendrier régulier à Le Portage et à La Bête.
De minces écarts de quatre coups au Championnat et de huit pour l’ensemble des activités devant le Rouge et Or ont été suffisants dans chaque situation.
Le succès des Carabins est certainement celui de la constance en plaçant cinq de leurs représentants parmi les sept premiers du classement général.
Le tir groupé est signé Anthony Jomphe (deuxième à -3), Antoine Gaudet, Alexandre Gélinas, William Cartier-Watchorn et Émile Cauchon.
LE ROUGE ET OR TOUJOURS PRÉSENT
« Depuis 2016 que je suis avec le programme et une seule fois auparavant sommes-nous passés près de l’emporter », rappelle l’entraîneur-chef recrue, Gabriel Massé-Barbeau, au sujet de la rareté du moment.
Une mention va au mentor et prédécesseur, Daniel Langevin, devenu conseiller spécial.
Sachez que le Rouge et Or est et demeure toujours une force, ayant enlevé les trois autres titres de 2025.
Il y a les honneurs individuels de Sara-Maude Martel (sixième succès de suite) et de Félix Dubé (total de -8 pour les trois jours). L’équipe féminine (début d’Élizabeth Asselin à la barre) complète le tour du chapeau.
Comprendre l’examen par les pairs du Système universel de handicap
L’un des principes fondamentaux du Système universel de handicap (WHS) est l’équité. Pour que les golfeurs de tous les niveaux puissent concourir sur un pied d’égalité, les indices de handicap doivent refléter le plus fidèlement possible les habiletés démontrées par les joueurs. L’examen par les pairs est un élément crucial pour y parvenir. Ce principe vise à assurer la transparence, la responsabilité et l’intégrité dans le jeu.
Qu’est-ce que l’examen par les pairs?
Dans le contexte du handicap, l’examen par les pairs est le processus par lequel d’autres golfeurs, des membres du club et des responsables peuvent consulter et, si nécessaire, remettre en question les scores soumis par un joueur aux fins du calcul du handicap. Ce mécanisme garantit que le dossier de scores d’un joueur est ouvert à un examen raisonnable, ce qui favorise une culture de confiance au sein du club.
Le concept est simple : le golf est en grande partie un sport autorégulé. En l’absence d’un arbitre pour superviser chaque ronde, les joueurs sont eux-mêmes responsables de l’enregistrement et de l’attestation de leurs scores, dans l’esprit véritable du jeu. L’examen par les pairs sert de mécanisme de protection dans ce système autogéré, permettant à la communauté golfique de préserver l’intégrité du dossier de chaque golfeur.
Qu’attend-on des golfeurs?
Pour que l’examen par les pairs soit efficace, les golfeurs doivent :
- Soumettre tous les scores admissibles : cela inclut les résultats des tournois et les parties amicales jouées conformément aux Règles du golf, afin que l’index de handicap reflète précisément le niveau de jeu.
- Faire preuve d’intégrité et d’honnêteté : les joueurs ne doivent pas tricher avec leurs scores dans le but de manipuler leur handicap.
- Respecter les Règles du golf : une bonne connaissance des règles et leur application constante assurent l’équité des scores entre les joueurs et les parcours.
- Soutenir les autres membres : en cas d’irrégularités ou de préoccupations concernant le dossier de scores d’un joueur, il est encouragé de les soulever de manière constructive auprès du comité de handicap du club.
- Attester les scores lorsque requis : en compétition officielle, signer la carte de score d’un concurrent représente une forme directe d’examen par les pairs.
- Maitriser les règles du handicap : une compréhension de base du WHS permet aux golfeurs de savoir quelles actions sont autorisées sur le terrain et lors de l’enregistrement des scores.
Avantages pour le club
L’examen par les pairs renforce la communauté golfique du club de plusieurs manières :
- Favorise l’équité : en décourageant la manipulation des scores et en encourageant la responsabilité, les compétitions sont remportées grâce au talent plutôt qu’à un handicap douteux.
- Renforce la confiance : quand tous les joueurs évoluent sur un pied d’égalité, cela favorise la confiance dans le système et l’environnement du club.
- Soutiens le comité sur le handicap : l’examen par les pairs fournit au comité des commentaires précieux, l’aidant à identifier et à investiguer des anomalies ou des tendances de scores inattendues.
- Favorise la participation : quand les membres ont confiance dans le système, ils sont plus enclins à s’inscrire aux compétitions et aux activités du club.
Avantages pour le Système universel de handicap
Sur une échelle globale, l’examen par les pairs est crucial pour l’intégrité du Système universel de handicap (WHS) :
- Il assure que l’indice de handicap d’un joueur est transférable et pertinent à l’échelle internationale.
- Il offre une mesure de protection cohérente et axée sur les joueurs contre les abus du système.
- Il préserve la réputation du WHS comme étant une mesure équitable et fiable du niveau de compétence.
Le golf est depuis longtemps considéré comme un sport d’honneur. L’examen par les pairs perpétue cette tradition dans le contexte actuel du Système universel de handicap. En faisant preuve d’ouverture, d’honnêteté et de solidarité, les golfeurs ne protègent pas seulement l’intégrité de leur propre handicap, mais ils contribuent également à maintenir l’équité du jeu au sein de leur club et dans le monde entier.