TaylorMade Golf présente les fers, le mini-bois de départ et la balle AeroBurner
Suite au lancement du bois de départ AeroBurner™ en janvier, la société TaylorMade Golf procède a annoncé le lancement des fers AeroBurner, du mini-bois de départ AeroBurner et de la balle de golf AeroBurner Pro; trois produits qui viennent compléter la gamme AeroBurner en 2015 et qui procurent vitesse, distance et puissance du tertre de départ au vert.
Fers AeroBurner

Les fers AeroBurner sont dans la même foulée que les bois de métal AeroBurner. Conçus pour procurer à la fois vitesse et distance, les fers AeroBurner présentent une face avec un coefficient de restitution (COR) maximal visant à optimiser la vitesse de la balle lors de l’impact. Tous les fers sont munis d’un centre de gravité (CG) bas qui procure à la fois un envol élevé et une remarquable sensation. Aussi, la tête offre un moment d’inertie (MOI) élevé, ce qui assure une indulgence et une constance accrues sur tous les coups.
D’un point de vue esthétique, les fers AeroBurner sont munis d’une tête au fini mat foncé, comme les fers SpeedBlade. Le fini plus foncé réduit l’éblouissement projeté par la face du bâton tout en lui donnant un look raffiné. La lame plus longue, le déport plus accentué et la bordure supérieure plus épaisse procurent un sentiment de confiance au joueur à la position initiale.
Disponibles au prix de détail à partir du mercredi 18 mars.
Mini-bois de départ AeroBurner

Le mini-bois de départ constitue une toute nouvelle catégorie chez TaylorMade, en offrant du 2 pour 1 aux joueurs: un substitut au bois de départ ou un bois 3 de rechange. Le nouveau mini-bois de départ offre bon nombre des caractéristiques des autres bois de métal AeroBurner. Comme tous les bois de métal AeroBurner, le mini-bois de départ AeroBurner est “fait de vitesse ”.
Le mini-bois de départ AeroBurner est un bâton avec une nouvelle forme aérodynamique, une face plus mince, une couronne en relief au centre et un nouveau bourrelet pour le hosel visant à maximiser la vitesse de la tête du bâton lors de la descente. Grâce à un CG bas et avancé, le mini-bois de départ procure à la fois un envol comparable à celui d’un bois de départ et une précision exceptionnelle. De plus, le mini-bois de départ est muni de la plus grande pochette d’accélération à surface libre parmi tous les bois de métal TaylorMade, ce qui accroît la zone d’impact tout en réduisant la rotation.
Sur le plan esthétique, les ingénieurs ont donné à la couronne du mini-bois de départ AeroBurner un nouveau fini mat blanc, une face en PVD noir et un graphique linéaire pour un alignement plus facile et plus précis de la face du bâton. Le modèle TP est muni d’un plus long hosel, d’une semelle plus plate et d’un angle d’ouverture plus prononcé.
Disponible au prix de détail à partir du 27 mars, le mini-bois de départ AeroBurner sera offert en deux modèles, de série et TP.
Balle de golf AeroBurner Pro

La balle de golf AeroBurner Pro est une balle en trois morceaux conçue pour procurer une vitesse élevée à l’impact. Le contrôle d’effet et la sensation de douceur sont le résultat de l’interface entre le SPIN MANTLE™ de TaylorMade et l’enveloppe exclusive IOTHANE®.
La balle AeroBurner Pro sera disponible à partir du 6 mars au prix de détail de 29,99$ la douzaine.
Pour plus d’informations, visitez www.taylormadegolf.ca.
L’exemple de Dustin Johnson
Dans le but d’atteindre l’excellence, et ce, peu importe la discipline, je suis convaincu qu’il faut inévitablement atteindre un « gouffre personnel » pour atteindre ou revenir au sommet. Et si ce n’est pas le cas, se relever peut être pénible. Très pénible!
Prenons l’exemple de Dustin Johnson, qui est loin d’être pénible. D’une part, je respecte énormément son courage d’avoir annoncé ouvertement, la saison dernière, qu’il mettait une pause sur sa carrière afin de régler des problèmes personnels.
Peu importe la nature de ses problèmes, ils ont eu l’effet d’une claque au visage. Positivement, étant donné les succès actuels du long cogneur américain. Il semble être en paix avec son passé et surtout projette une belle assurance pour l’avenir, ce qui en fait un prétendant sérieux pour les tournois majeurs cette saison, en plus d’un robuste pilier pour représenter le pays de l’Oncle Sam (Coupe des Présidents, Coupe Ryder, Jeux olympiques).
Rory McIlroy est un autre exemple que je range dans le même classeur que Dustin Johnson. Ses pertes de contrôle en 2011 et en 2013 font en sorte qu’il a du faire face à l’adversité au grand jour, devant les médias, et ce, à une période où sa carrière était simplement au stade de l’inauguration. Maintenant au sommet de l’échelle mondiale golfique, le golfeur nord-irlandais remplit son rôle à merveille et la génération de golfeurs derrière lui laisse présager un futur excitant pour notre sport.
J’ai soulevé les exemples de Dustin Johnson et Rory McIlroy, mais sachez qu’il y en a une tonne dans le monde sportif professionnel. En résumé, selon moi, il est impératif de perdre à haut niveau dans la première moitié de sa carrière professionnelle. On apprend davantage dans la défaite que dans la victoire et ça forge évidemment le caractère d’un athlète.
Je ne sais pas si vous me voyez venir avec tout ça, mais voici ma question : est-ce que Tiger Woods a déjà connu des échecs au golf qui lui ont permis d’atteindre son « gouffre personnel »? Selon moi, la première véritable claque sportive au visage de Tiger a été celle de Y.E Yang, en 2009, lors du championnat de la PGA. Avant cette mésaventure, Tiger Woods était irréprochable, à tout point de vue. Et je crois que ça le rattrape malheureusement.
J’ai l’impression qu’il combat plus difficilement les embuches des dernières saisons et celle qu’il négocie présentement s’attaque à quelque chose d’identitaire. Alors, j’y vais d’une prédiction pour le Tournoi des Maîtres : nous serons déçus, mais pas surpris de sa performance.
Un dernier mot sur le tournoi de la semaine dernière. J’ai une statistique qui fera plaisir à ceux et celles qui croient que les sportifs sont trop grassement payés : après quelques trous de joués lors de la première journée, Thomas Bjorn a déclaré forfait pour le tournoi et recevra tout de même un chèque de 42 000 dollars … américains, s’il vous plaît! Selon Statistique Canada, c’est un peu plus de 52 000 dollars canadiens à l’heure actuel, soit environ 5000 $ de plus que le salaire moyen québécois. « Merci bonsouère! »
Du Blue Monster au parcours Copperhead
Les joueurs se dirigent maintenant sur la côte ouest floridienne pour y disputer le Championnat Valspar. Probablement l’un des plus beaux défis qui m’a été donné de jouer dans ma carrière de golfeur. Le parcours Copperhead d’Innisbrook demande un arsenal complet de coups et de créativité pour pouvoir le dompter, et encore! Si vous êtes essoufflés sur le vert du 15e trou, respirez un grand coup. Les trois derniers trous du parcours se nomment le « Snake Pit ». Il vous mordillera certainement un brin, mais sans venin, toutefois. C’est ouvert au public, alors je vous suggère de mettre ça sur votre « Bucket List ».
C’est en fin de semaine que se tiendra le Salon ExpoGolf à la Place Forzani. Si vous désirez profiter de rabais substantiel sur vos droits de jeu cette saison, c’est l’endroit idéal!
Ce que vous devez retenir de la Classique Honda
Avant d’y aller avec quelques commentaires secs et précis, disons simplement qu’il a été difficile de suivre la Classique Honda, le weekend dernier, tellement il y a eu des délais en raison des fortes pluies. À un certain moment, on avait l’impression d’être dans un autre fuseau horaire.
Bref, sachez que la conférence de presse du gagnant Padraig Harrington a été pratiquement un spectacle. Simple et généreux, tout en buvant avec intensité son Coke Diète, l’Irlandais y est allé de plusieurs commentaires très intéressants et il s’est même permis, à quelques occasions, de commencer à répondre aux questions avant même que les journalistes aient terminé de les poser. Épique!
Ce qu’il y a de bon à retenir
– Si vous êtes dans la quarantaine… vous pouvez encore gagner! C’est-ti pas une bonne nouvelle ça!
– Le sympathique golfeur irlandais avoue ouvertement qu’il avait les « yips » (mouvements saccadés des mains à l’impact) en 2012… Est-ce que Tiger Woods le fera avant 2018? Pardon, je n’ai pas pu résister!
– Les gens qui ont du succès sur les plus grands circuits professionnels sont ceux qui ne s’attardent pas à réfléchir… ils exécutent sans être des « thinker ».
– Quand vous pratiquez au terrain d’exercice, parfois le déclic doit être mental et non technique… c’est un état d’esprit que l’on doit rechercher et c’est exactement ce à quoi Padraig Harrington a fait référence au terme de sa victoire en prolongation.
– Ce ne sont pas tous les joueurs européens qui ont l’habitude de jouer rapidement. Padraig… avance!
– Tous les jeunes loups ont techniquement de beaux élans… Faux. Observez Daniel Berger. Loin d’être une copie d’Adam Scott, le jeune Berger possède toutefois un élan fougueux et puissant. Un élan complètement naturel qui nous rappelle que l’important, c’est dans la zone d’impact que ça se passe. Et grâce à une maturité exemplaire, ce jeune américain est dans les parages pour encore longtemps.
– La coïncidence de la semaine : la semaine dernière, James Hahn a remporté l’Omnium Northern Trust en siégeant au 297e rang mondial. Cette semaine, Padraig Harrington a remporté la Classique Honda en occupant le… 297e rang mondial. Pas vilain! Je suis convaincu que l’Anglais Steve Webster (maintenant 297e au monde) croit en ses chances.
– Si on se fie aux prévisions météorologiques du mois de mars et que vous avez la ferme intention de jouer au golf au début du mois d’avril, je vous suggère le sud des États-Unis.
Tous les golfeurs devraient soutenir la Fédération nationale de golf du Canada
J’ai récemment eu la chance de participer à l’Assemblée générale annuelle de Golf Canada, du mercredi 10 février au dîner de remise des prix, le samedi 14. Je siège à deux comités, placements et compétitions, et je suis très impressionné par le professionnalisme qui caractérise les réunions des comités et du Conseil d’administration de l’association. Il ne fait pas de doute que Golf Canada assume ses responsabilités de gouvernance, notamment parce qu’il doit faire rapport à Sport Canada et respecter ses politiques.
Au cours de l’assemblée, un nouveau modèle d’adhésion a été proposé, qui sera implanté graduellement au fil des trois prochaines années. Je suis d’accord avec ce modèle et je recommande instamment à tous les golfeurs canadiens de se brancher sur Golf Canada, du moins sur la version gratuite de l’adhésion. Pour l’heure, nous comptons 300 000 membres sur une population golfique active de plus de 1,5 million, sans compter quelque 3 000 000 de golfeurs « intéressés ». On en saura bientôt davantage sur ce nouveau modèle d’adhésion puisqu’un nouveau site Web sera développé au cours des prochains mois.
Chaque profession possède un organisme de direction ou de réglementation qui défend les intérêts de ses membres. L’appartenance à ces organismes s’accompagne de cotisations annuelles. Comptables, avocats, professionnels du placement, médecins, enseignants syndicats : tous doivent payer des cotisations, et il n’y a là rien de surprenant. De même, tous les sports ont besoin de financement pour des domaines tels que les règles, la croissance, les archives, les championnats, le développement des joueurs et l’organisme même. Le golf ne fait pas exception.
Saviez-vous que le golf est le sport de participation no 1 au Canada?
Le hockey est deuxième. Cliquez ici pour en savoir plus. Pourtant, 10% seulement des golfeurs contribuent financièrement à la gouvernance de ce sport. Cela doit changer et le nouveau modèle d’adhésion y veillera. Le lien ci-dessous renvoie à un résumé des propos de Scott Simmons, chef de la direction de Golf Canada.
Assemblée générale annuelle de Golf Canada – Cliquez ici
Félicitations à Doug Alexander pour une année merveilleuse de leadership. Paul McLean succède à une grosse pointure et je suis convaincu que lui aussi aura un mandat fabuleux. Si vous vous demandez ce que fait la Fédération nationale de golf du Canada, veuillez cliquer sur le lien des rapports des comités. Vous y trouverez pour chaque comité les faits saillants de 2014 et les objectifs de 2015. Je suis ESTOMAQUÉ de constater les efforts que font les bénévoles et les membres du personnel pour faire du golf le sport de toute une vie.
Rapports des comités – Cliquez ici
Golf Canada contribue à la création de héros. Corey Conners (Listowel, ON) et Brooke Henderson (Smiths Falls, ON) ont deux atteint la finale des championnats amateurs masculin et féminin des États-Unis en 2014. Nick Taylor a gagné un tournoi du Circuit PGA TOUR et la carrière de Graham DeLaet sur ce même circuit progresse à pas de géant. Voici quelques-uns des exploits de nos joueurs en 2014.

Le golf est maintenant un sport olympique et sera au programme des Jeux panaméricains de Toronto cet été. Applaudissez nos héros et soutenez Golf Canada, l’organisme qui fait du golf un sport où plaisir et réussites vont de pair.
Kelly Roberts est le Premier Vice Président, Gestionnaire de portefeuille, de la Financière Banque nationale Gestion de patrimoine. Il est membre des comités des placements et des compétitions de Golf Canada. Natif de London, en Ontario, il est le champion junior du Canada de 1971 et le double champion amateur de l’Ontario (1972, 1973). Roberts a été intronisé au Temple de la renommée de la Golf Association of Ontario en 2006.
FootJoy : une chaussure inspirée d’un pont
Réputé pour fabriquer des chaussures de golf d’allure conventionnelle, la compagnie FootJoy a lancé, le 15 janvier, un modèle nettement plus athlétique mais très stable puisqu’il s’inspire des lignes du pont Leonard P. Zakim Bunker Hill à Boston, au Massachusetts.
La chaussure Hyperflex fait donc son entrée sur le marché quelques jours avant le début de la foire mondiale d’Orlando. On la distingue par son matériel innovateur appelé FlexGridTMexiskeleton, qui permet à la chaussure d’être à la fois très légère, très stable et très bien coussinée.
Selon la compagnie, la chaussure Hyperflex sera plus résistante aux mouvements latéraux que toutes les autres chaussures à filets déjà sur le marché. Elle est offerte en quatre agencements de couleurs qui la rendent jeune et très distincte des autres marques.
Les héros méconnus du golf
Amis, joignez-vous à moi et levons notre verre à la santé de ces personnes dévouées grâce auxquelles nos parcours, qui chaque jour nous font la vie belle (ou dure), vivent et respirent.
Portons un toast aux surintendants de tout le Canada, à leur savoir-faire prodigieux, à leur ingéniosité, à leur vision et, surtout, à ce don qu’ils ont de trouver un juste équilibre.
Comment, en effet, s’y prennent-ils?
Leur métier a beau être soumis aux caprices de Dame Nature, ils trouvent le moyen d’aménager un terrain où chacun – maître golfeur, golfeur du dimanche, homme, femme, junior, aîné, débutant, long et court cogneur – est confronté à un défi stimulant. En même temps, ils parviennent à render le golf agréable et intéressant, tout en préservant les traditions et l’intégrité du vénérable sport. Voilà un tour de passe-passe extrêmement délicat.
Et quel dévouement! Debout avant l’aube, ils travaillent de longues heures pour notre plaisir à nous, mais sans jamais se plaindre. Ce sont de grands connaisseurs pour qui la gestion du gazon et l’état du sol n’ont pas de secret. De plus, ils contribuent à la rentabilité des parcours en prévenant les maladies susceptibles d’affliger le gazon. Le plus souvent à l’insu de tous.
Ils sont familiers avec les angles solaires, l’aération, l’irrigation, la conservation et la plantation des arbres. Et, ne l’oublions surtout pas, ils vouent un immense respect à la durabilité écologique. Les surintendants s’efforcent de ne pas abuser de produits chimiques afin de préserver la vie sauvage et les habitats naturels. Chaque jour, ils cherchent à réduire davantage l’empreinte du golf sur l’environnement tout en conservant la santé du gazon.
Voilà des hommes et des femmes qui dépassent le cadre de leurs obligations professionnelles. Tout en servant de passerelle entre le parcours et la direction, les propriétaires, le comité des verts et les membres usagers, plusieurs surintendants agissent comme ambassadeurs de la marque. Par le truchement des relations avec les médias, de la promotion et de la formation, ils sensibilisent le public à leur club, à leur métier, au sport. Ils sont les touche-à-tout par excellence du golf.
Je vous demande maintenant de lever votre verre encore plus haut pour bien marquer votre appui aux surintendants, pour les remercier de tous leurs efforts. Certains d’entre eux ont besoin d’un soutien encore plus affirmé, ayant récemment été les témoins impuissants d’un cataclysme.
Je pense aux inondations destructrices de l’an dernier en Alberta et, cette année, au carnage hivernal qu’ont subi des parcours de l’Ontario, de l’Alberta et du Québec. Certains établissements ont même du fermer leurs portes à jamais, d’autres pour quelques mois, le temps que la nature récupère de cet hiver exceptionnel.
Certains, mal informés ou qui tiennent pour acquises les normes existantes, cherchent un bouc émissaire. Malheureusement, les surintendants portent trop souvent le poids de la chose. Comme si la pression n’était pas déjà assez forte, ils sont en butte à des critiques injustes pour des situations hors de leur contrôle.
Dans la conjoncture actuelle, où les budgets sont serrés, les ressources mises à mal et l’industrie aux prises avec divers problèmes, dont le mauvais temps, il importe de soutenir inconditionnellement nos surintendants. Encourageons-les,de même que leur personnel dévoué, plutôt que de les condamner péremptoirement. Manifestons notre respect envers cette fraternité d’experts et reconnaissons leur rôle indispensable.
Dans son merveilleux ouvrage The Spirit of St. Andrews, Alister MacKenzie écrit :
«Un bon surintendant veille sur son gazon et passe des nuits blanches jusqu’à ce qu’il ait résolu les problèmes qui l’affligent.»
Lors de votre prochaine partie, prenez le temps de regarder alentour et posez- vous cette simple question: sans les surintendants, qu’adviendrait-il du golf?
Que feriez-vous?
Tout au long de l’année, nous avons demandé aux golfeurs ce qu’ils feraient pour rendre leur sport plus attrayant. Une solution toute simple est souvent revenue. Elle ne coûte rien à mettre en œuvre et elle permet à tous les adeptes – hommes, femmes, jeunes et aînés – d’avoir plus de plaisir. Quelle est cette solution miracle? Il s’agit tout bonnement de mettre l’ego de côté et de jouer depuis les jalons où l’on a de meilleures chances de succès. Le journaliste Robert Thompson a examiné de plus près le mouvement Partir des tertres avancés.
Arthur Little et sa femme Jan Leeming possèdent un terrain de golf appelé Province Lake, au Maine. Selon eux, les parcours sont trop longs, non seulement pour les golfeurs moins habiles, mais aussi pour pratiquement tous les joueurs qui ne figurent pas parmi les meilleurs au monde. Un jour, le couple a écrit à Mike Keiser, propriétaire de la célèbre villégiature de golf Bandon Dunes, en Oregon, pour lui dire qu’ils trouvaient les jalons avancés de Bandon Dunes encore trop longs.
“Je leur ai répondu de jouer d’où ils voulaient”, m’a expliqué Keiser en déambulant sur les allées de son plus récent projet, le Cabot Links de Nouvelle- Écosse.
Ce n’est pas ce que Leeming et Little avaient souhaité entendre. Ils voulaient des distances précises et avaient fait des recherches pour étayer leur approche. Ils ont découvert, par exemple, que l’idée de faire jouer les femmes à partir de jalons conférant une longueur de 5 300 verges au parcours, comme c’est l’habitude dans bien des clubs, est une erreur. Selon le couple, nombre de golfeuses devraient jouer sur des parcours de 4 200 verges, alors que les distances pour les hommes devraient totaliser 6 300 verges. Avec l’aide de Keiser, Leeming et Little ont donc créé les jalons “Bleu royal”, encore plus avancés que ne l’étaient auparavant les jalons les plus courts.
“Il y a des gens qui jouent depuis les jalons Bleu royal et qui nous disent qu’ils n’ont jamais eu autant de plaisir”, rapporte Ben Cowan-Dewar, copropriétaire de Cabot Links, où les jalons Bleu royal ramènent le terrain à 3 700 verges. “Nous voulons que les clients qui utilisent ces jalons se sentent comme de vrais golfeurs, et ces jalons sont très populaires chez les femmes et les juniors”, ajoute-t-il.
Le responsable de Cabot Links n’est pas le seul à tenter de convaincre davantage de golfeurs d’adopter ces jalons rapprochés. L’idée de raccourcir le parcours a fait son chemin depuis environ un an, dans le sillage du mouvement Partir des tertres avancés selon lequel la plupart des adeptes du golf – tant les hommes que les femmes – jouent à partir des mauvais tertres. En soi, l’idée n’est pas nouvelle et plusieurs organisations, dont Golf Canada et la PGA du Canada, en font la promotion : en avançant d’un jalon, les golfeurs gagnent du temps tout en ayant plus de plaisir. En vertu de cette approche, les golfeurs devraient choisir certains jalons en fonction de la distance qu’ils colleter à un 18 trous totalisant 6 700 à 6 900 verges, donc il peut partir des jalons les plus éloignés. Par contre, si votre coup de départ atteint 150 verges, vous devriez jouer à partir de jalons avancés qui ramènent le parcours à une longueur de 4 400 à 4 600 verges.
“Les parcours de conception traditionnelle, comme on en construit encore de nos jours, sont beaucoup trop longs et difficiles, affirme Little. Ils prennent trop de temps à jouer. Les propriétaires et les architectes ont une fixation : ils aménagent des terrains de golf plus longs, correspondant aux habiletés des joueurs d’élite, afin de les inscrire au palmarès des “meilleurs parcours”. Par conséquent, l’expérience golfique n’est pas agréable pour les golfeurs ordinaires, les débutants et les aînés.”
TaylorMade Golf lance les R15
CARLSBAD, CALIF – La société TaylorMade Golf, qui fabrique les bois de départ les plus populaires auprès des professionnels de la PGA depuis maintenant 14 ans, est fière de lancer les R15, la gamme de bois de métal haute performance la plus techniquement avancée de son histoire. La gamme, qui comprend des bois de départ et d’allée et des bâtons Rescue, ramène à l’avant-scène la prestigieuse série R de la société – une marque qui a révolutionné l’industrie des bois de métal pendant plus d’une décennie.
Le bois de départ R15, disponible à partir du 9 janvier 2015, fera le bonheur des golfeurs tant en magasin que sur le tertre de départ. Offert en noir et en blanc, il sera muni d’une agréable tête en forme de poire de deux dimensions possibles – 460 ou 430 cm3. Avec ses quatre angles d’ouverture possibles – 9,5°, 10,5°, 12° et 14° – le R15 pourra être précommandé à partir du 12 décembre. TaylorMade s’attend à ce que son R15 devienne le bois de départ le plus populaire au sein des grands circuits professionnels en 2015.
“Le R15 vient couronner nos réalisations de calibre international en termes de technologies de pointe des 15 dernières années,” a déclaré Brian Bazzel, Directeur principal, Création de produits, Bois de métal. “Il procure une performance incroyable, il est magnifique et il s’adapte aux joueurs de tous les niveaux. Nous y avons incorporé toutes nos connaissances en matière de bois de métal et les joueurs le constateront et le sentiront élan après élan. C’est un bois de départ vraiment unique.”
Adaptabilité
Il y a plus de 10 ans, avec sa gamme r7 Quad, TaylorMade a révolutionné l’industrie du golf en permettant aux joueurs d’ajuster le poids de leur bois de départ. Au fil des ans, nos ingénieurs ont à la fois accru et facilité la répartition du poids dans la tête du bâton afin d’aider les joueurs à améliorer leur jeu.
Grâce au dispositif Front Track placé à l’avant du R15, l’ajustement d’un bois de départ TaylorMade n’a jamais été aussi rapide et facile. Le dispositif est muni de deux poids coulissants de 12,5 grammes chacun (25g au total). Comparativement au populaire SLDR, la tête du R15 permet de déplacer 5 g de plus et elle est plus légère de 4 g. À l’aide de notre clé dynamométrique, le joueur peut desserrer et déplacer les poids sur le talon pour un léger crochet à gauche, sur la pointe pour un léger crochet à droite ou au centre pour une trajectoire plus stable.
De plus, le R15 est muni d’un manchon exclusif qui permet au joueur de modifier l’angle d’ouverture de la face et l’angle d’inclinaison de la tige en fonction de la trajectoire désirée. Une simple rotation du manchon permet au joueur de choisir parmi 12 réglages différents pour modifier de façon incrémentielle les angles d’inclinaison et d’ouverture de la tige et de la face (avec un écart de 4°).
En résumé, les poids coulissants et le manchon permettent au joueur d’ajuster le bois de départ R15 avec une précision extrême.
Conçu pour la distance
La performance exceptionnelle du R15 est surtout attribuable à son centre de gravité (CG) bas et avancé – une répartition de poids stratégique expérimentée avec le SLDR et qui procure une vitesse de balle accrue et moins de rotation.
Le CG du R15 est encore plus bas et plus avancé grâce au dispositif Front Track situé 12 mm plus près de la pointe et au poids additionnel de 40 grammes à l’avant. Au total, 75% de la masse se situe à l’avant du bois de départ.
Grâce à son CG bas et avancé, son dispositif d’ajustement à l’avant et ses nouveaux poids coulissants, le R15 aide à réduire de 100 à 200 T/M la rotation de la balle et à accroître de 0,5 à 1,0 degré l’angle d’envol, comparativement au SLDR 460.
Dimensions et couleurs
Le R15 de 460 cm3 est conçu pour le joueur qui recherche un maximum d’indulgence et de confiance sur le tertre de départ, alors que le R15 430 a une forme qui ressemble beaucoup à celle des plus prestigieux modèles TaylorMade des dernières années. La dimension à la position initiale est passablement plus petite pour ainsi répondre aux besoins des joueurs qui préfèrent une plus petite dimension à la position initiale. Le R15 430 procure également la plus faible rotation de balle sur le marché.
La couronne du R15 affiche un fini blanc satin très attrayant avec une face et une semelle en PVD d’un noir contrastant. Le fort contraste entre la couronne et la face facilite l’alignement de la face à la position initiale. TaylorMade s’attend à ce que la majorité de ses ambassadeurs sur le circuit optent pour le R15 avec une couronne blanche.
Une version en noir lustré sera disponible exclusivement avec le R15 460.
Bois d’allée et Rescue
Offert en quatre angles différents – 15°, 16,5°, 19° et 20,5° -, le bois d’allée R15 (299,99$) constitue le bois d’allée le plus ajustable de TaylorMade. Muni du même dispositif Front Track que le bois de départ, le bois d’allée R15 utilise un seul poids en tungstène de 25 grammes qu’on peut facilement faire glisser à l’aide de la clé dynamométrique de TaylorMade pour favoriser un léger crochet à gauche ou à droite. Le dispositif Front Track joue également le rôle d’une pochette d’accélération en augmentant la zone d’impact idéale et en diminuant la vitesse de rotation. Tout comme le bois de départ, le bois d’allée R15 est muni d’un manchon de 4° pour un ajustement optimal de l’angle d’ouverture.
Les bois d’allée et Rescue R15 ont été mis au point suite aux commentaires de nos ambassadeurs sur le circuit pour ainsi répondre aux exigences des meilleurs joueurs au monde. Tout comme le Rescue original de TaylorMade, le nouveau R15 (239,99$, 339,99$ TP) présente une tête en forme d’arachide, qui obtient généralement la faveur de nos professionnels sur le circuit. La tête plus petite (99 cm3) offre plus de polyvalence qu’un hybride classique et répond davantage aux besoins du joueur qui aime modeler ses coups.
TaylorMade a également incorporé une pochette d’accélération à surface libre au Rescue R15, ce qui accroît la vitesse de la balle et réduit la rotation. Muni de la nouvelle tige Fujikura Speeder 77 Evolution, le bâton possède également un manchon d’ouverture de 3 degrés qui permet au joueur de s’adapter aux écarts de distance entre les bois d’allée, les bâtons Rescue et les fers longs. Les ingénieurs de TaylorMade ont veillé à ce que le bâton procure une trajectoire plus neutre pour ainsi éviter de tirer la balle comment c’est parfois le cas avec les bâtons hybrides destinés aux joueurs avec une marge d’erreur élevée.
Pour plus d’informations, visitez taylormadegolf.ca.
Callaway Golf signe Phil Mickelson à long terme
La compagnie Callaway Golf s’est entendue sur les termes d’un contrat de plusieurs années avec le golfeur Phil Mickelson, a-t-on appris mercredi.
« Quand j’ai joint l’équipe de Callaway, il y a dix ans, je savais que je prenais la meilleure décision de ma carrière, a-t-il dit. Et je suis toujours aussi convaincu de cette décision aujourd’hui. Soutenu par des technologies innovantes, des produits de pointe et l’encours du groupe R&D qui travaille en étroite collaboration avec moi, je crois sincèrement que ces prochaines années seront les meilleures de ma carrière. »
Depuis le début de sa carrière, Mickelson a entre autres remporté cinq tournois majeurs, en plus de signer la victoire à 42 reprises sur le circuit PGA Tour. Il continuera ainsi à jouer avec des bâtons, une balle et un sac d’équipement de marque Callaway.
« Nous sommes ravis de prolonger notre partenariat avec Phil, a affirmé le président et CEO de Callaway Golf, Chip Brewer. Il signifie énormément pour nous et il continue de nous inspirer à développer l’équipement de golf le plus innovateur qui soit. »
Callaway Golf lance deux nouveaux bois de départ.
Callaway Golf procède aujourd’hui au lancement de deux nouveaux modèles de bois de départ qui s’inscrivent dans la tradition Big Bertha.
Le nouveau bois de départ Big Bertha Alpha 815 permet d’effectuer des coups qui donnent à la balle moins de rotations à la minute, ce qui leur procurent plus de distance et de tolérance aux impacts imprécis.
Quant au modèle Big Bertha Alpha 815 DD (Double Black Diamond), il a été conçu pour les joueurs de meilleur niveau. Son nombre de rotations est extrêmement bas, ce qui génère encore plus distance à la suite d’un bon impact.
Ces deux nouveaux bois de départ seront en magasin à compter du 13 novembre, à un prix de détail suggéré, respectivement, de 449,99$ et de 499,99$.