Vente du Club de golf Le Portage
C’est dans une proportion de 72% du vote que les membres ont officiellement accepté la vente du Club de golf Le Portage de L’Assomption à Éric Riendeau, un entrepreneur dont l’entreprise familiale évolue dans le domaine de la viande.
L’approbation d’un minimum de 66 2/3% était requise pour que cette transaction se concrétise. Le montant de la transaction n’a pas été rendu public.
Le nouveau propriétaire, qui est dans la jeune quarantaine, envisage maintenir la vocation actuelle du terrain et de ses installations, même qu’il est disposé à y investir les montants requis pour leur faire suivre une cure de rajeunissement.
« M. Riendeau a accepté une servitude d’obligation notariée qui assure le maintien de la vocation actuelle pendant plusieurs années, indique le président du Club de golf Le Portage, Michel Fafard. Ces précautions ont été prise afin d’éviter toutes formes de spéculations concernant l’utilisation du terrain qui, déjà, est zoné vert. »
Une première offre d’achat a été soumise au conseil d’administration du club en décembre dernier. Une série de négociations ont suivi jusqu’à ce que cette offre soit bonifiée et satisfasse le conseil d’administration de l’établissement au point d’en faire la recommandation à l’assemblée des membres.
« Nous n’étions pas pris à la gorge et aurions pu fonctionner pendant encore quelques années, soutient le président. Par contre, il y avait des investissements à prévoir pour moderniser le parcours et les installations et cela aurait exigé un effort supplémentaire des membres. »
Selon Michel Fafard, le nouveau propriétaire est très au fait des travaux qui sont à effectuer puisqu’il est membre du club depuis trois ans.
Amis de… Berthier !
Le directeur de golf et professionnel, Martin Genest, demeure en poste, tout comme le surintendant, Dany Rousseau. Fait inusité, Genest a également vécu la vente du Club de golf de Berthier, en 2008.
« C’est différent de la vente qui a eu lieu à Berthier, alors qu’on avait procédé par appel d’offres et non, comme c’est le cas ici, d’une vente négociée entre l’acheteur et le c.a. à la suite d’un mandat qui lui a été accordé par ses actionnaires », a-t-il mentionné.
Les propriétaires du Club de golf de Berthier, Éric Bruneau, Martin Gaudreault et David Brochu, et celui du club Le Portage, Éric Riendeau, se connaissent.
« M. Riendeau est un jeune entrepreneur qui est orgueilleux et qui veut réussir », glisse Michel Fafard.
« On a vu ce qui s’est passé à Berthier avec le nouveau pavillon et tout, ajoute Martin Genest. Alors, j’imagine que le nouveau propriétaire va y aller de quelques bons investissements. Je suis vraiment enthousiaste en ce qui a trait à l’avenir du club Le Portage. »
Perception à changer
« Le but du c.a. et des membres était aussi d’assurer la pérennité de ce club qui a fêté ses 50 ans l’an passé, reprend Michel Fafard. Nous profitons d’une belle situation géographique et nous avons un superbe parcours. Il nous reste maintenant à changer la perception des nombreux amateurs qui croient que Le Portage est un club privé et que le golfeur public ne peut y avoir accès. »
Inutile de dire que, dès cette année, l’accent sera mis sur l’accueil et le service à la clientèle. Pour le reste, Michel Fafard accompagnera le nouveau propriétaire dans le processus de transition qui pourrait prendre de deux à trois ans avant d’être complété.
Une fiche au-dessus de ,500
Le Tournoi des Maîtres de cette année ne nous aura pas fait vivre un grand suspense, mais la victoire de Bubba Watson a eu quelque chose de rafraîchissant.
D’abord, parce que ça fait maintenant six fois que ce tournoi est remporté par un gaucher au cours des onze dernières années, soit depuis que la victoire est allée au Canadien Mike Weir en 2003. Par la suite, il y a eu Phil Mickelson trois fois et Bubba Watson à deux occasions.
Au baseball, on parlerait d’une moyenne au bâton de ,546. Compte tenu du grand nombre de golfeurs gauchers chez nous, au Québec, cette statistique signifie peut-être quelque chose ou, du moins, démontre que jouer de ce côté ne représente vraiment plus un handicap. Donc, les golfeurs gauchers ont maintenant des modèles à suivre et des noms auxquels s’identifier.
Si c’est Mike Weir, on découvre un travaillant, un technicien qui s’est formé à force de bûcher avec toutes ses énergies.
Si c’est Watson, c’est qu’on développe des liens d’appartenance à un groupe d’athlètes naturels qui passent plus d’heures à jouer sur un terrain que sur le terrain d’exercice.
Si c’est Mickelson, c’est qu’on aime être dans l’entre deux. Le talent naturel est indéniable, mais il a développé ses techniques à force d’étudier et de travailler.
Trois gauchers, trois styles. Quel est votre préféré?
L’année des sans-noms
Qui aurait dit qu’en date du 1er avril, Tiger Woods, Henrik Stenson, Phil Mickelson, Rory McIlroy et Ernie Els n’auraient aucune victoire à leur fiche au sein du Circuit de la PGA? D’autant plus que cette année, la saison est déjà vieille de six mois en raison du nouveau calendrier de tournois qui a débuté le 10 octobre 2013.
À la place de ces grands noms, on retrouve ceux des Jimmy Walker (trois victoires), Patrick Reed (deux victoires), Chris Kirk, Harris English, Scott Stallings, Chesson Hadley, Russell Henley, John Senden, Matt Every et, depuis hier, Steven Bowditch qui l’a emporté en se contentant de jouer 76, quatre coups au-dessus de la normale.
Avouez que ce n’était pas très excitant.
Je n’ai rien contre ces golfeurs. Même que je dis tant mieux pour eux : grâce à leur première victoire, ils ont mérité le droit d’être vus des amateurs pendant deux ans et de jouer au Tournoi des Maîtres. On devrait donc avoir assez de temps pour se familiariser avec les plus productifs du groupe.
Là où je ressens une sorte de malaise, c’est quand je vois que les noms des plus connus n’ont aucune victoire en 25 tournois et que, pire encore, ils ne sont pas du groupe des meneurs durant tout le week-end. Vive la parité dirons certains, mais je ne suis pas convaincu que c’est avec un nouveau-venu qui s’éclate chaque semaine qu’on attirera (ou gardera) l’intérêt des amateurs. Je ne pense pas qu’on fera la promotion des tournois avec ces sans-noms… À moins qu’un Jimmy Walker ou un Patrick Reed en gagne trois autres dont un majeur!
Depuis le début du calendrier 2013-2014, le seul véritable gros nom à avoir gagné un tournoi et figuré parmi les meilleurs à chaque tournoi a été Adam Scott. Bubba Watson, Webb Simpson et Dustin Johnson ont gagné chacun un tournoi mais ils n’ont jamais paru enflammés. On ne les a pas vu se battre avec leur fer droit entre les dents.
J’ai hâte au Tournoi des Maîtres et au Championnat des joueurs qui suivra pour voir si l’un ou l’autre de ces joueurs saisira le témoin laissé par Woods depuis 2008 ou si la tendance actuelle se poursuivra.
Cette semaine, le Circuit de la PGA est encore au Texas avec le dernier tournoi préparatoire au premier événement majeur de l’année. Qui l’emportera? L’an passé, les grands honneurs ont appartenu à D.A Points. Depuis, il s’est qualifié aux rondes finales 15 fois en 28 tournois et signé seulement cinq résultats dans le top 25.
À chacun ses munitions!
À la recherche de nouvelles balles? Voici peut-être ce qu’il vous faut.
TaylorMade Project (a)
Grâce à la nouvelle technologie « Soft Tech », l’enveloppe en uréthane de la nouvelle balle Project(a) de TaylorMade offre un maximum d’effet rétro autour des verts pour le golfeur moyen. Cette balle en trois pièces n’offre aucun compromis pour ce qui est de la distance, et ce, pour chaque bâton utilisé.
Titleist Velocity
À sa troisième année d’existence, la balle Titleist Velocity s’adresse aux golfeurs qui possèdent une moins grande vitesse d’élan. Axée sur la distance, les alvéoles de la balle Velocity ont été uniformisées de façon à ce que la descente de la trajectoire de la balle soit plus allongée. Résultat : un maximum de distance.
Callaway Super Soft
Il s’agit de la balle deux pièces possédant la plus basse compression avec 38. Le tout combiné à une enveloppe souple ou les alvéoles sont disposées selon la technologie HEX permettant une trajectoire plus perçante, et ce, peu importe les conditions. Offerte aussi en jaune.
Nike RZN Red/White
La nouvelle gamme de balles Nike RZN possède un noyau plus léger ce qui permet à la balle d’être beaucoup plus stable étant donné que le poids est en périphérie. Les modèles Red et White possèdent tous les deux trois couches. Cependant, la balle Nike RZN Red est axée sur l’envolée, tandis que la Nike RZN White est plus souple au touché.
Titleist NXT Tour/NXT Tour S
Voici deux modèles qui ont été améliorés au niveau de la souplesse de l’enveloppe et de la structure des alvéoles. Ces deux modèles offrent le même ratio d’effet-rétro que les populaires Pro V1 et Pro V1x sur les coups de départs et les fers longs. Même si elle ne possède que deux couches, la NXT Tour S propose un couvert plus souple que la NXT Tour à trois pièces.
Bridgestone B330/B330S/B330RX/B330RXS
Cette famille de quatre balles est de retour en 2014 avec des noyaux fabriqués avec de l’eau. La technologie « Hydro Core » permet de minimiser considérablement l’effet rétro des coups de départ pour un maximum de distance. Selon Bridgestone, c’est la vitesse de votre élan qui détermine lequel de ces quatre modèles de balles vous convient le mieux dans le but de maximiser votre distance.

Titleist Velocity
Des produits fidèles à leur réputation
On ne pourra jamais reprocher au fabricant Titleist de ne pas être fidèle à sa vision et sa réputation. Peu importe les tendances et les nouveautés technologiques, cette entreprise fonctionne à sa manière et ça marche depuis plus de 80 ans. À preuve : Titleist est tout simplement l’équipement le plus utilisé au golf.
Fers Titleist 712U – 229 $
Une alternative aux joueurs élites qui désirent un meilleur contrôle de la trajectoire de leur balle comparativement avec un bâton hybride. Forgée et construite à partir d’un acier-carbone 1025, la tête du fer 712U offre une semelle plus large qu’un fer long tout en gardant un look ultra classique.
Fers Titleist 714 AP1 – 899 $
La cavité interne a été modifiée afin d’améliorer l’indulgence du fer. À l’intérieur, on retrouve toujours un poids en tungstène, situé dans le bout du fer. Pour maximiser la trajectoire de votre balle, le centre de gravité est progressif, donc plus bas pour les fers longs et plus haut pour les fers courts.
Fers Titleist 714 AP2 – 1199 $
Outre la grosseur de leur tête et leur processus forgé, les fers AP2 possèdent une cavité interne conçue différemment que les fers AP1, afin d’offrir une plus grande aisance de manoeuvre. De plus, une deuxième insertion en tungstène a été placée dans le talon, ce qui crée un plus long moment d’inertie.
Fers Titleist 714 CB et MB – 1099 $
Voici deux modèles de fers forgés qui ont été légèrement raffinés si on les compare à leurs prédécesseurs. Chaque fer offre très peu d’indulgence, mais un maximum de sensations, ce que les puristes adorent.
Cocheur Vokey SM5 – 149 $
Les nouvelles rainures TX3 qu’on retrouve sur les cocheurs Vokey SM5 proposent une toute nouvelle formule pour les cocheurs de 54 degrés et moins. Elles sont plus étroites et profondes, ce qui permet un meilleur contrôle de distance et de trajectoire. Avec six différentes semelles offertes selon l’angle du bâton, les cocheurs Vokey proposent pas moins de 21 combinaisons distinctes.
Balle Titleist Pro V1 et Pro V1x – 53$/dz.
La fabrication du noyau est faite à partir d’un nouveau procédé informatique qui permet de le fabriquer avec une meilleure densité. Résultat : un meilleur transfert d’énergie. L’enveloppe en élastomère est plus durable comparativement aux modèles antérieurs.
Bois de départ 913 D2 et D3 – 449 $
L’ajustement « Sure Fit Tour » permet toujours d’ajuster indépendamment l’angle au repos et l’angle d’ouverture de ce bâton. Ce mécanisme propose 16 positions différentes pour convenir à toutes les trajectoires. Le modèle D3 possède 15 cc de moins que la version D2 et offre un centre de gravité plus rapproché du point de percussion idéal, ce qui donne une trajectoire de coup plus perçante.
Bois d’allée Titleist 913F et 913F.d – 279 $
Tout comme les bois de départ, il est possible d’acheter séparément un ensemble de poids interchangeables afin de personnaliser la tête de votre bâton selon vos préférences. La version 913F.d possède une face plus large et diminue l’effet rétro lors de l’envol.
Quelques faits intéressants :
Le nom Titleist provient du diminutif « titlist » qui signifie « Title Holder » en anglais, soit « Tenant du titre » dans la langue de Molière.
En plus d’être l’inventeur de la balle Titleist, Phillip W. Young a été le premier à concevoir un robot qui effectue des élans de golf, dans le but de tester ses propres balles de golf.
La première fois qu’une balle Titleist a été mise en jeu officiellement, c’était lors de l’Omnium des Etats-Unis, en 1949.

Fers Titleist 714 AP1
Autres bois de départ, bois d’allée et hybrides
À la recherche d’un nouveau bois de départ, bois d’allée ou d’un hybride? Voici peut-être ce qu’il vous faut!
Bois de départ Wilson Staff FG Tour M3 – 349,99 $
C’est maintenant au tour de Wilson Staff d’offrir son tout premier bois de départ ajustable. Six positions d’angles d’ouverture sont possibles, tandis que trois pesées amovibles permettent de modifier le poids de la semelle dans le but d’optimiser la trajectoire de la balle.
Bois de départ Mizuno JPX-EZ – 319,99 $
La philosophie derrière ce bois de départ est d’aider le golfeur moyen et non le golfeur professionnel. Vous retrouverez donc un centre de gravité très bas pour élever votre trajectoire de balle en plus d’un embout ajustable à huit positions facile à utiliser.
Bois de départ FT Optiforce – 429,99 $
Offert en deux versions : 440 cc et 460 cc. Ce bois de départ possède une combinaison intéressante au niveau de l’ajustement et de la légèreté. De plus, la face possède les technologies VFT et hyperbolique pour maximiser le transfert d’énergie.
Bois d’allée Cleveland 588 – 209,99 $
L’objectif technologique de ce tout nouveau bois d’allée Cleveland 588 est d’être le plus léger possible afin de maximiser la vitesse de votre élan. Au total, ce bois d’allée pèse 300 grammes, grâce, en partie, à une tige de 52 grammes.
Bois d’allée PING G25 – 259,99 $
Cette tête de 165cc possède la face la plus mince produite par les ingénieurs PING. De plus, cette dernière s’amincie davantage vers les parois afin de maximiser le transfert d’énergie à l’impact.
Hybride Adams Pro – 229,99 $
Le nouvel hybride Adams Pro possède l’une des têtes les plus petite sur le marché avec seulement 95cc. La technologie « Velocity Slot » permet à une plus grande partie de la face d’être plus flexible lors de l’impact. Une version Pro Mini est également offerte.
Hybride Adams Pro DHy – 229,99 $
Pour ceux qui préfèrent davantage de manœuvrabilité qu’un hybride sans pour autant sacrifier de l’indulgence, le nouvel hybride Adams DHy est offert selon quatre angles d’ouverture. Ayant le look d’un fer, la cavité arrière est complètement pleine offrant ainsi une semelle très large pour de meilleurs contactes avec le sol.

Bois de départ Mizuno JPX-EZ
Adam Scott va-t-il s’en remettre cette fois?
Après avoir mené par huit coups à un certain moment durant l’Invitation Arnold Palmer, Adam Scott s’est effondré en jouant 76 lors du dernier tour. Ses difficultés ne sont pas sans rappeler ses contreperformances des deux dernières années à l’Omnium britannique.
En 2012, l’Australien alors âgé de 31 ans a laissé filer l’avance de quatre coups qu’il avait en inscrivant des bogeys sur les quatre derniers trous. La victoire est finalement allée au vétéran Ernie Els.
L’an dernier, le champion en titre du Tournoi des Maîtres menait par un coup quand il a entrepris le dernier neuf de retour. Il a encore connu des ennuis et a laissé un autre vétéran, Phil Mickelson, s’enfuir avec la victoire.
Avec un peu plus de chance (ou de précision) ce n’est pas une, mais bien cinq victoires majeures que Scott aurait à sa fiche.
Le week-end dernier, il a totalisé 63 coups roulés durant les deux dernières rondes (32 dimanche). Ses trois coups roulés du 16e trou, lorsqu’il avait une occasion d’aigle sur une distance de 20 pieds lui ont coupé les jambes, mais c’était prévisible car il avait réussi un seul coup roulé de plus de six pieds durant la journée. Lors du premier tour, sur le même parcours, il avait eu besoin de 23 coups roulés seulement pour ramener une carte de 62, 10 coups sous la normale.
Est-ce que Scott va s’en remettre cette fois? Car dimanche, tout au long de son neuf de retour, il avait l’air drôlement inquiet. Son cadet, Steve Williams, a porté le sac de Tiger Woods lors de six de ses huit victoires à Bay Hill, aurait peut-être dû l’aider un peu plus à contrôler ses nerfs.
Quoi qu’il en soit, la vie continue. Aujourd’hui et demain, Scott sera justement au Augusta National pour des rondes d’entraînement. Par la suite, pendant que le circuit se transporte pour une tournée de deux semaines au Texas, il s’accordera un repos et on ne le reverra pas avant le Tournoi des Maîtres.
Au 19e : ne manquez pas la première émission de la saison
C’est cet après-midi, à 16h30, que sera présentée Au 19e sur les ondes de RDS. Animée par Michel Lacroix, cette émission d’une demi-heure est consacrée exclusivement au golf.
La série comprend 18 émissions.
Les deux premières sont des émissions spéciales consacrées aux nouveautés dans le domaine de l’équipement. L’équipe d’Au 19e vous ramène des reportages à cet égard en provenance de la plus grande foire du golf au monde présentée annuellement à Orlando, Floride.
Cette émission sera présentée quatre fois en reprise, soit les :
- dimanche 23 mars à 14h
- mardi 25 mars à 1h30
- mercredi 26 mars à 11h30
- jeudi 27 mars à 13h30
Pour les meilleures histoires de golf, il ne faut pas manquer Au 19e!
Défi Speedpocket de TaylorMade
Afin de promouvoir ses fers Speedpocket, le fabricant TaylorMade a installé des terrains d’exercices en plein centre des villes de Toronto, London, New York et San Francisco et a laissé les amateurs de golf faire l’essai de ses nouveaux bâtons dans le cadre d’une promotion jamais vue.
Ces amateurs ont eu la chance de s’élancer avec un fer-6 conventionnel, puis avec le tout nouveau fer-6 SpeedBlade de TaylorMade. Ils pouvaient ainsi comparer les résultats de leurs coups, à savoir à quelle distance était frappée leur balle. La mesure était prise par un appareil FlightScope, qui affichait automatiquement les statistiques sur un tableau central.
Un gagnant était élu dans chacune des villes participantes et l’identité du champion mondial « Speed Pocket » a ensuite été dévoilée peu de temps après.
À Toronto, le 11 mars dernier, un fer-6 SpeedBlade a même été distribué gratuitement aux 500 premiers participants.
Pour courir la chance de remporter l’un des 2500 SpeedBlade disponibles, inscrivez-vous au www.golftown.com d’ici le 17 mars prochain.
Une nouvelle chaussure plus stable
La compagnie Adidas Golf a récemment ajouté à sa collection sa nouvelle chaussure pure 360. Celle-ci fait partie de la prochaine génération de chaussures adipure.
La collection présente un style épuré, des silhouettes classiques, des semelles ultra-flexibles et des matériaux de qualité permettant ainsi au pied et au corps de se déplacer aisément à partir du sol.
Pour obtenir la combinaison parfaite de confort et de stabilité, les concepteurs des chaussures pure 360 ont utilisé le cuir le plus fin et le plus doux possibles, en plus de faire appel à des technologies de construction innovantes de première qualité.
Dustin Johnson, qui est l’un des porte-paroles de Adidas Golf depuis 2007, a été le premier golfeur à essayer les nouvelles chaussures pure 360 lors du Tournoi des Champions Hyundai, en janvier dernier.
« Ce sont les chaussures les plus confortables que je n’ai jamais portées, a dit Johnson, un gagnant de huit tournois au sein du Circuit de la PGA. Dès que j’ai commencé à les porter, j’ai tout de suite su qu’elles étaient drôlement confortables. »